Djilali Rezkallah, un des fondateurs du groupe Raïna Raï et Amarna, connu pour sa voix et son jeu de scène exceptionnel, résiste malgré la maladie.
Contacté hier par téléphone, le chanteur, qui ne résiste que grâce au soutien et aux dons de ses fans d'Algérie et d'Europe, nous a répondu, quand on lui a posé la question au sujet de son état de santé, avec une émotion indescriptible : «Hadjet Rabbi.»
Le chanteur qui a été au-devant de la scène depuis le début des années 1980, lorsqu'il avait chanté son premier succès Ya Zina, ne s'attendait bien sûr pas à cette maladie qui l'a obligé à passer par la chimiothérapie. Bien accueilli à l'hôpital par un service médical et paramédical, Djilali attend toujours une prise en charge.
On se demande comment le ministère de la Culture n'a pas encore réagi pour aider ce talentueux artiste en l'envoyant pour des soins à l'étranger ou du moins l'aider pour se procurer les médicaments.
Il est très possible que la ministre de la Culture Khalida Toumi, qui est connue pour sa sensibilité face à de telles situations, n'ait pas encore été informée mais il n'est jamais trop tard pour bien faire.
Djilali Rezkellah, qui fait vivre quatre enfants, a été en très grande partie derrière le succès des groupes Raïna Raï qui avait fait fureur au début des années 1980 et Amarna qu'il a rejoint en 1992.
Sur scène, on le reconnaît à ses déplacements, ses pas de danse et ses qarqabou qui ne le quittent jamais. Quand Djilali est sur scène, on est sûr que la soirée sera très animée et que le succès est assuré. Djilali, malgré sa maladie, a accepté de monter sur scène lors du dernier festival de la chanson oranaise et il déclare qu'il va revenir avec des belles surprises pour ses fans.
Nous l'attendons et nous attendons le geste de la ministre de la Culture qui, nous sommes sûrs, ne restera pas insensible à l'appel de Djilali.
le temps
Contacté hier par téléphone, le chanteur, qui ne résiste que grâce au soutien et aux dons de ses fans d'Algérie et d'Europe, nous a répondu, quand on lui a posé la question au sujet de son état de santé, avec une émotion indescriptible : «Hadjet Rabbi.»
Le chanteur qui a été au-devant de la scène depuis le début des années 1980, lorsqu'il avait chanté son premier succès Ya Zina, ne s'attendait bien sûr pas à cette maladie qui l'a obligé à passer par la chimiothérapie. Bien accueilli à l'hôpital par un service médical et paramédical, Djilali attend toujours une prise en charge.
On se demande comment le ministère de la Culture n'a pas encore réagi pour aider ce talentueux artiste en l'envoyant pour des soins à l'étranger ou du moins l'aider pour se procurer les médicaments.
Il est très possible que la ministre de la Culture Khalida Toumi, qui est connue pour sa sensibilité face à de telles situations, n'ait pas encore été informée mais il n'est jamais trop tard pour bien faire.
Djilali Rezkellah, qui fait vivre quatre enfants, a été en très grande partie derrière le succès des groupes Raïna Raï qui avait fait fureur au début des années 1980 et Amarna qu'il a rejoint en 1992.
Sur scène, on le reconnaît à ses déplacements, ses pas de danse et ses qarqabou qui ne le quittent jamais. Quand Djilali est sur scène, on est sûr que la soirée sera très animée et que le succès est assuré. Djilali, malgré sa maladie, a accepté de monter sur scène lors du dernier festival de la chanson oranaise et il déclare qu'il va revenir avec des belles surprises pour ses fans.
Nous l'attendons et nous attendons le geste de la ministre de la Culture qui, nous sommes sûrs, ne restera pas insensible à l'appel de Djilali.
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