Il fait partie des neuf films finalistes pouvant prétendre à la nomination pour la section “Meilleur film étranger”, à l’occasion de la 83e cérémonie des Oscars qui se déroulera, le 27 février 2011, à Los Angeles (États-Unis d’Amérique).
Apparemment, le dernier film du réalisateur algérien vivant en France Rachid Bouchareb, Hors-la-loi, continue à plaire et à faire sensation. Contrairement au long métrage Des hommes et des dieux, du réalisateur français Xavier Beauvois, qui n’a ni séduit ni convaincu Hollywood malgré tout le matraquage médiatique qui l’entourait, les différentes distinctions obtenues, ainsi que le soutien de son distributeur américain, Sonys Pictures.
Nominé aux Oscars, le passage du premier cut – 85 à 9 films – ne devait être qu’une formalité pour ce film, pensaient les spécialistes. Mais, surprise, il n’a pas du tout attiré l’attention des “sélectionneurs”, bien qu’il ait obtenu le Grand Prix du jury lors du dernier Festival de Cannes en mai 2010. Il “passe à la trappe” comme déclaré par les médias français.
Abordant l’Algérie, mais sous deux angles différents, la colonisation pour Hors-la-loi et le massacre des moines de Tibhirine pour des Hommes et des dieux, les deux films étaient en perpétuelle compétition. Le premier a été chahuté avant même sa sortie dans les salles de cinéma, alors que le second a bénéficié d’un soutien médiatique “incroyable” pour ne pas dire “effroyable”.
L’on se rappelle bien de toute la polémique qui a entouré le film de Rachid Bouchareb lors de sa participation à la dernière édition du Festival de Cannes 2010, et même avant. Une polémique soulevée par les “nostalgiques du passé colonial”. Sans être un film d’histoire, ce film met en exergue une fiction ayant pour contexte la guerre d’Algérie. Il retrace l’histoire de trois frères aux destins différents, mais menant le même combat, celui de l’indépendance de leur pays, l’Algérie. Ils se retouvent en France. Ils ont vécu différentes évènements du colonialisme français, dont les massacres du 8 Mai 1945. Hors-la-loi figure parmi les neuf films finalistes (In a Better World représentant le Danemark, Incendies pour le Canada…) pouvant prétendre à la nomination pour la section “meilleur film étranger”, à l’occasion de la 83e cérémonie des oscars qui se déroulera, le 27 février 2011, à Los Angeles (États-Unis d’Amérique), organisée par l’Académie des arts et des sciences du cinéma. La liste définitive sera connue le 25 janvier prochain et contiendra cinq longs métrages étrangers. Sur les films (80 environ) qui ont prétendu à cette première sélection, Hors-la-loi termine dans les meilleures places. Être finaliste constitue une fierté en soi, d’une part. D’autre part, cette sélection prouve que ce film répond aux critères de sélection de l’Académie des arts et des sciences du cinéma (organisatrice des Oscars). Concourant sous la bannière Algérie qui participé à hauteur de 24% à son financement, ce film, s’il venait à faire partie de la Short Liste, serait une fierté pour le septième art algérien et l’Algérie également. Mais si le contraire arrive, la déception sera moindre, car il n’a pas démérité, sélectionné pour la plupart des manifestations cinématographiques à travers le monde et remportant, également, plusieurs distinctions dont le Grand Prix du Festival international du cinéma à Damas et le Prix du meilleur film arabe.
Sorti le 5 novembre 2010 dans les salles américaines, le film de Rachid Bouchareb n’a pas cessé de faire parler de lui. Il a réuni les comédiens Sami Bouajila (Abdelkader), Jamel Debbouz (Saïd), Roschdy Zem (Messaoud), Chafia Boudraâ (la mère), Ahmed Benaïssa (le père) et Bernard Blancan (le colonel Faivre).
libertè
Apparemment, le dernier film du réalisateur algérien vivant en France Rachid Bouchareb, Hors-la-loi, continue à plaire et à faire sensation. Contrairement au long métrage Des hommes et des dieux, du réalisateur français Xavier Beauvois, qui n’a ni séduit ni convaincu Hollywood malgré tout le matraquage médiatique qui l’entourait, les différentes distinctions obtenues, ainsi que le soutien de son distributeur américain, Sonys Pictures.
Nominé aux Oscars, le passage du premier cut – 85 à 9 films – ne devait être qu’une formalité pour ce film, pensaient les spécialistes. Mais, surprise, il n’a pas du tout attiré l’attention des “sélectionneurs”, bien qu’il ait obtenu le Grand Prix du jury lors du dernier Festival de Cannes en mai 2010. Il “passe à la trappe” comme déclaré par les médias français.
Abordant l’Algérie, mais sous deux angles différents, la colonisation pour Hors-la-loi et le massacre des moines de Tibhirine pour des Hommes et des dieux, les deux films étaient en perpétuelle compétition. Le premier a été chahuté avant même sa sortie dans les salles de cinéma, alors que le second a bénéficié d’un soutien médiatique “incroyable” pour ne pas dire “effroyable”.
L’on se rappelle bien de toute la polémique qui a entouré le film de Rachid Bouchareb lors de sa participation à la dernière édition du Festival de Cannes 2010, et même avant. Une polémique soulevée par les “nostalgiques du passé colonial”. Sans être un film d’histoire, ce film met en exergue une fiction ayant pour contexte la guerre d’Algérie. Il retrace l’histoire de trois frères aux destins différents, mais menant le même combat, celui de l’indépendance de leur pays, l’Algérie. Ils se retouvent en France. Ils ont vécu différentes évènements du colonialisme français, dont les massacres du 8 Mai 1945. Hors-la-loi figure parmi les neuf films finalistes (In a Better World représentant le Danemark, Incendies pour le Canada…) pouvant prétendre à la nomination pour la section “meilleur film étranger”, à l’occasion de la 83e cérémonie des oscars qui se déroulera, le 27 février 2011, à Los Angeles (États-Unis d’Amérique), organisée par l’Académie des arts et des sciences du cinéma. La liste définitive sera connue le 25 janvier prochain et contiendra cinq longs métrages étrangers. Sur les films (80 environ) qui ont prétendu à cette première sélection, Hors-la-loi termine dans les meilleures places. Être finaliste constitue une fierté en soi, d’une part. D’autre part, cette sélection prouve que ce film répond aux critères de sélection de l’Académie des arts et des sciences du cinéma (organisatrice des Oscars). Concourant sous la bannière Algérie qui participé à hauteur de 24% à son financement, ce film, s’il venait à faire partie de la Short Liste, serait une fierté pour le septième art algérien et l’Algérie également. Mais si le contraire arrive, la déception sera moindre, car il n’a pas démérité, sélectionné pour la plupart des manifestations cinématographiques à travers le monde et remportant, également, plusieurs distinctions dont le Grand Prix du Festival international du cinéma à Damas et le Prix du meilleur film arabe.
Sorti le 5 novembre 2010 dans les salles américaines, le film de Rachid Bouchareb n’a pas cessé de faire parler de lui. Il a réuni les comédiens Sami Bouajila (Abdelkader), Jamel Debbouz (Saïd), Roschdy Zem (Messaoud), Chafia Boudraâ (la mère), Ahmed Benaïssa (le père) et Bernard Blancan (le colonel Faivre).
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