Une curieuse épidémie qui se propage rapidement au sein des troupeaux de moutons et de vaches a provoqué la mort de centaines de bêtes. Cette maladie, estiment les observateurs, pourrait baisser les prix des moutons à la veille de l'Aid el Adha.
Les éleveurs de bétail, notamment des moutons, ont exprimé des craintes ces derniers jours dans plusieurs wilayas de l’est du pays et dans les hauts plateaux après la réapparition d’une curieuse épidémie qui se propage rapidement au sein de leurs troupeaux de moutons et de vaches. Cette épidémie à provoqué déjà la mort de centaines de bêtes, notamment dans les régions des hauts plateaux et le nord du Sahara. Selon certains rapports publiés sur internet, cette épidémie est plus dangereuse que les autres maladies connues telles que la langue bleue et la fièvre maltaise, car elle provoque la mort de la bête atteinte en un espace de temps très réduit. En outre, la bête touchée par cette épidémie ne montre aucun signe de maladie ce qui rend le diagnostic quasi-impossible. Selon des sources vétérinaires, cette maladie est apparue ces dernières années en Algérie. Elle a été transportée des régions rurales et des villages marocains situés à la frontière algérienne. Après la détection de cette épidémie, le ministère de la l’agriculture et du développement rural a lancé une vaste campagne de vaccination du cheptel et a mise en place des lois interdisant le transfert du bétail d’une wilaya à une autre sans qu’il soit contrôlé par des vétérinaires afin de limiter la propagation de cette maladie. Mais cette dernière a réapparu ces derniers jours dans certaines wilayas du pays. Les éleveurs ont tiré la sonnette d’alarme à cause de leur impuissance face à cette épidémie qui cause d’importantes pertes de moutons et de vaches. Soulignant que les marchés de moutons connaissent ces derniers jours dans les quatre coins du pays un grand engouement des citoyens qui veulent acheter un mouton de l’Aid el Adha. Certains observateurs estiment que les prix des bêtes de sacrifices ont connu une hausse ces derniers jours à cause de la spéculation d’un coté, et à cause des pluies torrentielles qui se sont abattues ces derniers jours sur plusieurs régions du pays. Ces pluies annoncent une bonne campagne agricole et une abondance du fourrage. Ainsi, les éleveurs ne sont pas contraints de vendre leurs moutons à l’occasion de l’Aid el Adha. D’autres observateurs, en revanche, prévoient des chutes et des baisses sans précédent des prix des moutons dans les prochains jours à cause de cette épidémie qui a causé déjà la mort de centaines de bêtes. Soulignant enfin que les prix des moutons différent d’une région à une autre, et le citoyen attend le moment opportun pour acheter un moutons à un prix « raisonnable », même s’il doit attendre jusqu’à la veille de l’Aid el Adha.
echouroukonline
Les éleveurs de bétail, notamment des moutons, ont exprimé des craintes ces derniers jours dans plusieurs wilayas de l’est du pays et dans les hauts plateaux après la réapparition d’une curieuse épidémie qui se propage rapidement au sein de leurs troupeaux de moutons et de vaches. Cette épidémie à provoqué déjà la mort de centaines de bêtes, notamment dans les régions des hauts plateaux et le nord du Sahara. Selon certains rapports publiés sur internet, cette épidémie est plus dangereuse que les autres maladies connues telles que la langue bleue et la fièvre maltaise, car elle provoque la mort de la bête atteinte en un espace de temps très réduit. En outre, la bête touchée par cette épidémie ne montre aucun signe de maladie ce qui rend le diagnostic quasi-impossible. Selon des sources vétérinaires, cette maladie est apparue ces dernières années en Algérie. Elle a été transportée des régions rurales et des villages marocains situés à la frontière algérienne. Après la détection de cette épidémie, le ministère de la l’agriculture et du développement rural a lancé une vaste campagne de vaccination du cheptel et a mise en place des lois interdisant le transfert du bétail d’une wilaya à une autre sans qu’il soit contrôlé par des vétérinaires afin de limiter la propagation de cette maladie. Mais cette dernière a réapparu ces derniers jours dans certaines wilayas du pays. Les éleveurs ont tiré la sonnette d’alarme à cause de leur impuissance face à cette épidémie qui cause d’importantes pertes de moutons et de vaches. Soulignant que les marchés de moutons connaissent ces derniers jours dans les quatre coins du pays un grand engouement des citoyens qui veulent acheter un mouton de l’Aid el Adha. Certains observateurs estiment que les prix des bêtes de sacrifices ont connu une hausse ces derniers jours à cause de la spéculation d’un coté, et à cause des pluies torrentielles qui se sont abattues ces derniers jours sur plusieurs régions du pays. Ces pluies annoncent une bonne campagne agricole et une abondance du fourrage. Ainsi, les éleveurs ne sont pas contraints de vendre leurs moutons à l’occasion de l’Aid el Adha. D’autres observateurs, en revanche, prévoient des chutes et des baisses sans précédent des prix des moutons dans les prochains jours à cause de cette épidémie qui a causé déjà la mort de centaines de bêtes. Soulignant enfin que les prix des moutons différent d’une région à une autre, et le citoyen attend le moment opportun pour acheter un moutons à un prix « raisonnable », même s’il doit attendre jusqu’à la veille de l’Aid el Adha.
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