La sélection algérienne de football disputera cet après-midi une importante rencontre face à la République centrafricaine dans le cadre des éliminatoires de la CAN 2012.
Le match aura lieu sur la pelouse, très contestée, du stade de Bokanda de Bangui, nouvellement construit par le gouvernement chinois. Après avoir échoué lors de sa première sortie dans cette campagne qualificative face aux Taifa Stars tanzaniens, à Blida, le 3 eptembre dernier (1-1), les hommes du nouveau sélectionneur Abdelhak Benchikha sont du coup dos au mur et la moindre erreur leur serait fatale.
Le groupe en est conscient, malgré les conditions difficiles dans lesquelles il est logé. Ayant établi leur quartier général à l’hôtel du Centre, non loin du stade et de l’aéroport, les coéquipiers de Madjid Bougherra ne semblent pas satisfaits de leurs conditions de séjour, sachant que l’hôtel est loin d’être à la hauteur d’un mondialiste. S’y ajoute la pauvreté et le peu de sécurité qui caractérisent Bangui, en particulier, et la République centrafricaine, en général. Toujours est-il que les Verts sont décidés à réagir et revenir à Alger avec les trois points qui les replaceraient à nouveau dans la course vers la CAN 2012.
Dès leur arrivée à Bangui vendredi en fin d’après-midi, à bord d’un vol spécial de la compagnie Air Algérie, l’équipe nationale s’est vite mise au travail sous la conduite de Benchikha. Une séance de décrassage a eu lieu vendredi soir sur un terrain annexe, avec pour objectif de faire récupérer les joueurs de la fatigue accumulée après ce long voyage qui a duré pas moins de 6 heures. Hier, les Antar Yahia et consorts ont eu droit à un dernier entraînement au stade principal et à l’heure du match, soit 15h. Une séance consacrée au volet technico-tactique.
L’ombre des absents
L’essentiel est que le coach Benchikha est décidé à réussir sa première sortie à la tête de l’équipe nationale A. Pour ce faire, il compte sur l’apport de ses joueurs, estimant que ce rendez-vous étant l’un des derniers. «Ce match appartient aux joueurs. Je n’avais pas un temps suffisant pour préparer convenablement l’équipe sur le plan tactique. J’ai travaillé beaucoup plus le volet psychologique et j’attends un sursaut d’orgueil de leur part», insistait le successeur de Saâdane dans ses différentes sorties médiatiques.Par ailleurs, l’équipe nationale devra se surpasser en dépit de l’absence de plusieurs joueurs pour cause de blessures.
Des forfaits qui risquent de se faire sentir compte tenu de leur poids dans le onze national. Il s’agit de Karim Ziani, Karim Matmour, Amri Chadli, Foued Kadir, Adlène Guedioura et Ryad Boudebouz. Les joueurs disponibles sont tenus de faire appel à leur volonté et puiser, par là même, au fond de leurs tripes pour faire oublier les absents. Une lourde responsabilité sur le groupe de Benchikha qui, au regard de l’optimisme qui le caractérise, semble en mesure de rendre la joie aux millions de supporters déçus par les dernières contre-performances des Verts.
el watan
Le match aura lieu sur la pelouse, très contestée, du stade de Bokanda de Bangui, nouvellement construit par le gouvernement chinois. Après avoir échoué lors de sa première sortie dans cette campagne qualificative face aux Taifa Stars tanzaniens, à Blida, le 3 eptembre dernier (1-1), les hommes du nouveau sélectionneur Abdelhak Benchikha sont du coup dos au mur et la moindre erreur leur serait fatale.
Le groupe en est conscient, malgré les conditions difficiles dans lesquelles il est logé. Ayant établi leur quartier général à l’hôtel du Centre, non loin du stade et de l’aéroport, les coéquipiers de Madjid Bougherra ne semblent pas satisfaits de leurs conditions de séjour, sachant que l’hôtel est loin d’être à la hauteur d’un mondialiste. S’y ajoute la pauvreté et le peu de sécurité qui caractérisent Bangui, en particulier, et la République centrafricaine, en général. Toujours est-il que les Verts sont décidés à réagir et revenir à Alger avec les trois points qui les replaceraient à nouveau dans la course vers la CAN 2012.
Dès leur arrivée à Bangui vendredi en fin d’après-midi, à bord d’un vol spécial de la compagnie Air Algérie, l’équipe nationale s’est vite mise au travail sous la conduite de Benchikha. Une séance de décrassage a eu lieu vendredi soir sur un terrain annexe, avec pour objectif de faire récupérer les joueurs de la fatigue accumulée après ce long voyage qui a duré pas moins de 6 heures. Hier, les Antar Yahia et consorts ont eu droit à un dernier entraînement au stade principal et à l’heure du match, soit 15h. Une séance consacrée au volet technico-tactique.
L’ombre des absents
L’essentiel est que le coach Benchikha est décidé à réussir sa première sortie à la tête de l’équipe nationale A. Pour ce faire, il compte sur l’apport de ses joueurs, estimant que ce rendez-vous étant l’un des derniers. «Ce match appartient aux joueurs. Je n’avais pas un temps suffisant pour préparer convenablement l’équipe sur le plan tactique. J’ai travaillé beaucoup plus le volet psychologique et j’attends un sursaut d’orgueil de leur part», insistait le successeur de Saâdane dans ses différentes sorties médiatiques.Par ailleurs, l’équipe nationale devra se surpasser en dépit de l’absence de plusieurs joueurs pour cause de blessures.
Des forfaits qui risquent de se faire sentir compte tenu de leur poids dans le onze national. Il s’agit de Karim Ziani, Karim Matmour, Amri Chadli, Foued Kadir, Adlène Guedioura et Ryad Boudebouz. Les joueurs disponibles sont tenus de faire appel à leur volonté et puiser, par là même, au fond de leurs tripes pour faire oublier les absents. Une lourde responsabilité sur le groupe de Benchikha qui, au regard de l’optimisme qui le caractérise, semble en mesure de rendre la joie aux millions de supporters déçus par les dernières contre-performances des Verts.
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