Les services de la sûreté de wilaya de Bordj Bou Arréridj ont arrêté, samedi dernier, un individu N. B., âgé de 18 ans, auteur présumé du meurtre du petit Abderrahim, disparu le 9 septembre, la veille de l’Aïd, et dont le corps a été découvert dans un puits pas loin de la maison familiale, précise une source digne de foi.
Cette même source note que le mobile de ce crime semble être un conflit de voisinage. Pour rappel, le corps de l’enfant a été retrouvé, samedi après-midi, dans un puits situé à environ 400 mètres du lieu où habite sa famille. Les recherches menées par les services de la Protection civile ont permis la découverte du corps, lors du curetage du puits. Alertés par cette découverte macabre, les services de police ont vite fait de contacter le père qui a identifié son fils, recherché durant 17 jours. Apprenant la triste nouvelle, le père de Abderrahim, sa mère, ainsi que tous les membres de la famille ont refusé de faire le moindre commentaire à la presse.
La famille attend toujours le résultat de l’autopsie qui aura à déterminer les causes du décès, surtout que plusieurs hypothèses alimentaient la chronique au sein de la population du village d’El Achir, situé sur la RN5, à 10 km de Bordj Bou Arréridj. Certains évoquaient une noyade alors que d’autres n’écartaient pas la possibilité d’un crime. Vingt-quatre heures après la découverte du corps de Abderrahim, âgé de 4 ans, un climat de tristesse règne à El Achir.
Le père, épuisé et très attristé, peine à recevoir les condoléances. Cependant, une question demeure toujours sans réponse : comment un enfant de quatre ans peut-il franchir un grillage barbelé, ouvrir une porte et sauter dans le puits?, s’est demandé un cousin qui nous avait accompagné jusqu’au lieu de la découverte. En effet, l’enclos était cerné par une barrière infranchissable, sauf pour quelqu’un de fort ou d’agile. Sa hauteur dépassait 1,50 m.
Le puits n’était pas loin. La porte en bois était également fermée. A l’intérieur, il faut descendre une marche d’au moins 60 cm pour arriver à la bordure. Pour le père, le puits a déjà été vérifié dès le premier jour de la disparition du petit garçon et rien n’avait été signalé.
L’enquête des services de police dévoilera dans les prochains jours les secrets d’une disparition qui a mis en émoi toute une population. Dans cette atmosphère de psychose, les parents à Bordj Bou Arréridj continuent d’accompagner leurs enfants pour chaque entrée et sortie de classe.
el watan
Cette même source note que le mobile de ce crime semble être un conflit de voisinage. Pour rappel, le corps de l’enfant a été retrouvé, samedi après-midi, dans un puits situé à environ 400 mètres du lieu où habite sa famille. Les recherches menées par les services de la Protection civile ont permis la découverte du corps, lors du curetage du puits. Alertés par cette découverte macabre, les services de police ont vite fait de contacter le père qui a identifié son fils, recherché durant 17 jours. Apprenant la triste nouvelle, le père de Abderrahim, sa mère, ainsi que tous les membres de la famille ont refusé de faire le moindre commentaire à la presse.
La famille attend toujours le résultat de l’autopsie qui aura à déterminer les causes du décès, surtout que plusieurs hypothèses alimentaient la chronique au sein de la population du village d’El Achir, situé sur la RN5, à 10 km de Bordj Bou Arréridj. Certains évoquaient une noyade alors que d’autres n’écartaient pas la possibilité d’un crime. Vingt-quatre heures après la découverte du corps de Abderrahim, âgé de 4 ans, un climat de tristesse règne à El Achir.
Le père, épuisé et très attristé, peine à recevoir les condoléances. Cependant, une question demeure toujours sans réponse : comment un enfant de quatre ans peut-il franchir un grillage barbelé, ouvrir une porte et sauter dans le puits?, s’est demandé un cousin qui nous avait accompagné jusqu’au lieu de la découverte. En effet, l’enclos était cerné par une barrière infranchissable, sauf pour quelqu’un de fort ou d’agile. Sa hauteur dépassait 1,50 m.
Le puits n’était pas loin. La porte en bois était également fermée. A l’intérieur, il faut descendre une marche d’au moins 60 cm pour arriver à la bordure. Pour le père, le puits a déjà été vérifié dès le premier jour de la disparition du petit garçon et rien n’avait été signalé.
L’enquête des services de police dévoilera dans les prochains jours les secrets d’une disparition qui a mis en émoi toute une population. Dans cette atmosphère de psychose, les parents à Bordj Bou Arréridj continuent d’accompagner leurs enfants pour chaque entrée et sortie de classe.
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