L’assassin présumé de la jeune officier de police d’Adrar, Chérifa Hadj Brahim, 31 ans, a été placé, mardi 3 juillet à 3h du matin, sous mandat de dépôt, par le juge d’instruction du tribunal d’Aoulef, une daïra située à 240 km du chef-lieu de wilaya.
C’est pour incompétence juridictionnelle que le procureur près le tribunal d’Adrar a confié l’affaire au parquet d’Aoulef. Pour rappel, le 17 juillet dernier vers 8h, le corps de l’officier de police Chérifa Hadj Brahim a été découvert la gorge tranchée. Le meurtrier avait exécuté son forfait la veille, tard dans la nuit, et avait abandonné sa victime sur la route de la pénétrante Est de la ville d’Adrar. Le lendemain, les enquêteurs avaient cru à la thèse d’un acte terroriste au vu de la signature et à la manière cruelle avec laquelle la pauvre policière avait été assassinée. Cependant, les soupçons se sont vite dirigés vers son chef hiérarchique, le commissaire de la police judiciaire, répondant aux initiales de B. A., un irréprochable quinquagénaire et père de famille. Selon certaines rumeurs, ce dernier aurait entretenu des liens avec la victime et que c’est sur cette base qu’il est devenu le suspect numéro 1. Il se serait présenté, le 16 juillet, tard dans la soirée, au domicile de la défunte et l’aurait invitée pour une balade nocturne en voiture, mais avec l’intention de l’éliminer. Le mobile du meurtre, toujours selon la rumeur, serait de la faire taire, car celle-ci détenait des dossiers compromettants sur lui et qu’elle avait l’intention d’en informer ses supérieurs.
el watan
C’est pour incompétence juridictionnelle que le procureur près le tribunal d’Adrar a confié l’affaire au parquet d’Aoulef. Pour rappel, le 17 juillet dernier vers 8h, le corps de l’officier de police Chérifa Hadj Brahim a été découvert la gorge tranchée. Le meurtrier avait exécuté son forfait la veille, tard dans la nuit, et avait abandonné sa victime sur la route de la pénétrante Est de la ville d’Adrar. Le lendemain, les enquêteurs avaient cru à la thèse d’un acte terroriste au vu de la signature et à la manière cruelle avec laquelle la pauvre policière avait été assassinée. Cependant, les soupçons se sont vite dirigés vers son chef hiérarchique, le commissaire de la police judiciaire, répondant aux initiales de B. A., un irréprochable quinquagénaire et père de famille. Selon certaines rumeurs, ce dernier aurait entretenu des liens avec la victime et que c’est sur cette base qu’il est devenu le suspect numéro 1. Il se serait présenté, le 16 juillet, tard dans la soirée, au domicile de la défunte et l’aurait invitée pour une balade nocturne en voiture, mais avec l’intention de l’éliminer. Le mobile du meurtre, toujours selon la rumeur, serait de la faire taire, car celle-ci détenait des dossiers compromettants sur lui et qu’elle avait l’intention d’en informer ses supérieurs.
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