Une jeune algérienne violée et tuée par un yéméni à la Mecque

Une jeune fille mineure âgée de 14 ans, partie en compagnie de son père à la Mecque pour la Omra (petit pèlerinage), a été violée hier matin avant d’être tuée par un saoudien qui, selon certaines sources, appartiendrait à un groupe radical.
Le criminel a profité de l’absence du père de la jeune Sarah, parti pour la prière de l’aube, pour s’introduire dans sa chambre dans l’hôtel « Rachidine » sis dans l’avenue de Ghaza et l’a violer avant de la jeter du 19ème étage. La malheureuse est tombée au balcon du 14ème étage. Selon certaines sources, la fillette se serait jetée en fuyant la bête sauvage qui voulait l’agresser.
La victime Benouis Sarah, âgée de 14 ans est une algérienne, son père est originaire de Tlemcen et sa mère d’origine française. Elle était partie en compagnie de son père pour effectuer la Omra (petit pèlerinage) à la Mecque.
Le criminel a été arrêté par les services de sécurité saoudiens. Certaines sources ont annoncé que celui-ci était bangladeshi, mais selon les enquêteurs, le mis en cause était de nationalité yéménite et avait deux autres complices arrêtés eux aussi.
De nombreux membres de la délégation algérienne à la Mecque se sont rassemblés devant le consulat d’Algérie pour demander l’intervention du consul Salah Atiya.
Selon les mêmes sources, tous les pèlerins algériens ont quitté l’hôtel « Rachidine » pour des raisons sécuritaires et aussi pour les besoins de l’enquête.

Ennahar/ Souak Karima

Des Algériens effectuant la Omra ont violemment manifesté, hier mercredi, dans les rues de La Mecque, provoquant un important déploiement des forces de sécurité saoudiennes.

Tout le quartier de Ghaza, mitoyen de la Grande Mosquée de La Mecque, où généralement logent les pèlerins algériens et maghrébins, a été bouclé par les forces de sécurité, qui tentaient tant bien que mal de calmer la colère des Algériens.

A l’origine de ces manifestations, la mort d’une Algérienne, tombée du 5e étage d’un hôtel de ce quartier où logent des immigrants asiatiques. La jeune fille, dont l’âge et l’identité n’ont pas été révélés par la police saoudienne, est tombée du 5e étage de cet hôtel et est morte sur le coup. Les premiers éléments de l’enquête médicolégale ont établi qu’elle a été violée.

Tout le quartier de Ghaza a été en fait fermé par les manifestants algériens, qui s’y sont rassemblés en grand nombre. Ils ont notamment demandé la présence des plus hautes autorités sécuritaires saoudiennes et celles de l’ambassadeur d’Algérie.

Selon les premiers éléments de cette pénible affaire, rapportée par les médias en ligne saoudiens, et reprise, notamment, par Al Sharq Al Awsat et Al Quds El Arabi sur leurs sites, le commissariat de police de Ghaza a reçu mercredi un appel selon lequel une jeune femme est morte sur le coup après une chute du 5e étage. L’appel faisait état également du rassemblement des pèlerins algériens, qui avaient fermé les accès à ce quartier populaire de La Mecque, qui ceinture la Grande Mosquée. Selon les premières analyses médico-légales, il s’est avéré que la jeune Algérienne a été violée, avant de tomber de l’immeuble et de mourir. Le corps de la défunte a été transféré à la morgue de l’hôpital Fayçal, et une enquête a été ouverte.

Deux immigrés asiatiques, un Yéménite et un Bangladeshi, qui travaillent dans cet hôtel, ont été arrêtés, des soupçons pesant sur eux par les services de police. Par ailleurs, des sources policières saoudiennes ont indiqué que le ressortissant yéménite aurait avoué. En outre, la police saoudienne, notamment celle du district de Guerrara dont dépend le quartier Ghaza, est à la recherche de deux Bangladeshis, qui seraient impliqués dans cette affaire. L’enquête, en cours, devrait notamment établir si l’Algérienne a été jetée ou s’est elle-même jetée du 5e étage. Aucune indication sur les motifs de sa présence à La Mecque n’a été donnée, ni si elle effectuait la Omra ou si elle réside dans le royaume wahhabite.

Les autorités consulaires algériennes ont été saisies de cette triste affaire, qui a endeuillé la communauté algérienne établie à La Mecque, alors que celle effectuant le « petit pèlerinage » a violemment manifesté contre ce que certains qualifient déjà comme un meurtre.
le quotidien d'oran

Ya latif ya latif que reste t-il dans ce monde, que des criminels, même à la Mecque ma selkatch

rebbi yerhamha, rebbi eysabar ses parents

allah yerhamha et yessaber ses parents et j'espere aussi que les autoritès algeriennes ne vont pas se taire devant un tel crime odieux

non comment
les yemenites sont connus en arabie
les plus irrespectueux
y a rien qu'a voior leur societé
on se demande en quelle année ils sont
1500 ou 1600

QUE DIEU NOUS PRESERVE DE CE MAL

Allah yerhemha et nous garde de ces monstres et dire que même à la mecque lieu saint y'en a qui profitent et de qui ? de personnes sans défense vraiment c'est de la lâcheté ce criminel doit être poursuivi pour ce qu'il vient de commetre.

partout dans le monde la violence redouble en terme de barbarie ,certaines choses comme c le cas de ce viol suivi de meurtre est inimaginable et on se demande cmt peut on commettre un tel acte

Rabi yarhamha

que risque ce dégénéré ??

la peine capitale certainement

A la base je suis contre la peine de mort, mais parfois comme pour ce cas je reviens dessus !

ils sont ou ceux qui sont sortis ds la rue dénoncer les caricatures du prohete ?

et crier aprés ceux qui ont voulu bruler le coran aux USA ?

comme assez habituellement ,la ou ils doivent agir ,ils sont muets

c'est fou !

des pédophiles a la mecque

pauvre petite , pâuvres parents

et pauvres musulmans !

c'est koi le message et l'image qu'ils donnent de l'islam aprés ce minable acte

L’affaire du viol et du meurtre d’une jeune algérienne à la Mecque connait un développement particulièrement avec l’insistance des pèlerins algériens à punir les responsables de cet acte public, ignoble et près de la mosquée Aicha. Les algériens veulent que la sentence soit exécutée avant qu’ils ne quittent les Lieux Saints de l’islam. Le Consul général à Djeddah, Salah Attiya lui, est intervenu pour calmer les esprits et a réussi à disperser les algériens et des pèlerins d’autres nationalités qui se sont rassemblés en solidarité avec le père de la victime.
Selon les informations qui nous sont parvenues de la Mecque, la jeune algérienne âgée de 15 ans avait demandé mercredi soir la permission de son père d’aller manger avec une femme qui logeait dans le même hôtel. Une heure après, le père de la victime rencontre la femme en question qui lui dit qu’elle n’avait pas vu sa fille. Tout de suite, il entame les recherches et au moment de prévenir les services de sécurité, un des pèlerins lui apprend qu’un corps sans vie venait d’être retrouvé dans l’hôtel adjacent. Il se déplace sur les lieux et identifie le cadavre de sa fille.
Les mêmes faits ont été relatés par le chargé de communication des services de sécurité de la Mecque, Abdel Mohcine El Maymène, cité hier par les quotidiens saoudiens El Watan et Erriadh. Les sources d’Echorouk ont révélé qu’après examen du corps, il est apparu que la victime a reçu plusieurs coups et a été blessée sur différentes parties de son corps, ce qui indique qu’elle a été agressée. Le père de la victime, Boumediene El Khatib a déclaré que sa fille pratiquait le Taekwondo et qu’elle aurait su résister à une agression. Il est certain qu’elle s’est défendu farouchement.
Certains pèlerins joints par téléphone nous ont affirmé qu’elle se serait débattue et aurait même cassé le bras d’un des agresseurs. Pour sa part, le porte-parole de la police, Abdel Mohcine El Maymène, a déclaré que les personnes suspectées d’être impliquées dans la mort de la jeune fille ont été arrêtées et qu’elles seront jugées suivant la charia. Cette déclaration n’a toutefois pas réussi à calmer les pèlerins algériens qui réclament l’exécution de la peine de mort à l’encontre des criminels
La famille de la victime a quitté la Mecque et rejoint la France où le jeune frère doit retourner en classe, et elle a confié aux services consulaires les procédures de l’enterrement à la Mecque. La presse saoudienne arabophone ne parle pas de viol, alors que d’autres journaux anglophones révèlent qu’une des personnes arrêtées, un yéménite, a reconnu qu’il était sur les traces de la jeune fille depuis son arrivée de France. Parmi les suspects également, selon la presse, deux bangladais et deux yéménites qui travaillent à l’hôtel, et les autres squattent dans l’établissement.
Par ailleurs, le directeur général de l’office du Hadj et de la Omra, Cheikh Berbara, a affirmé que l’affaire de l’algérienne tuée à la Mecque, fait actuellement l’objet d’une enquête menée par les autorités saoudiennes. Il a ajouté que les informations qu’il détient tendent à dire que le coupable est yéménite et non bangladais. L’enquête vise à déterminer si la fille est morte parce qu’on voulait la tuer et la jeter de la terrasse de l’hôtel, ou c’est la victime qui s’est jetée pour échapper aux agresseurs.
echourouk

Nedjma a écrit:ils sont ou ceux qui sont sortis ds la rue dénoncer les caricatures du prohete ?

et crier aprés ceux qui ont voulu bruler le coran aux USA ?

Penses tu que ces derniers ne se sentent pas concerné ??

bien sure que tout le monde doit se sentir concerner par ce drame

a mon avis nedjma a un peu raison dans le sens ou il faut des pressions pour que vraiment justice soit rendue surtout dans un pays comme l'arabie seoudite ou deja on ne parles de viol

Le Consul général à Djeddah, Salah Attiya lui, est intervenu pour calmer les esprits et a réussi à disperser les algériens et des pèlerins d’autres nationalités qui se sont rassemblés en solidarité avec le père de la victime.

il faut pas justement qu'ils se dispersent trop vite,je me dit quand meme si le meme crime a été perpétré par un non musulman a la mecque la reaction aurait ete certainement autre et la justice aussi.

Selon les riverains de l’hôtel, ou a été retrouvée Sarah gisant dans son sang, « il est fort possible que la jeune fille a été menée de force jusqu’à la terrasse de l’hôtel pour être violée, et qu’elle a choisi de se jeter du haut de l’immeuble plutôt que de se laisser souiller par les criminels ».

L’affaire de la mort suspecte de la jeune fille Sarah continue d’agiter la Mecque toute entière, d’autant plus que les responsables des Lieux-Saints témoignent tous, sans exception, que les Algériens sont parmi les plus studieux et les plus appliqués en matière de religion pendant la période de la « omra », et parmi les plus éloignés des bagatelles et des frivolités qui existent chez d'autres communautés en pareille période.

Aussi, ont-ils tenu à affirmer à Echorouk que la mort de la jeune fille les a beaucoup chagriné, et que les propos indécents de certains organes de presse locale ont été très indignes envers les proches de la jeune fille, allant jusqu’à l’accuser de frivolité…Car comment accuser une jeune fille, mineure de surcroit, venu de France pour voir la foi et la ferveur de l’islam de près se prêter à des effronteries?

Selon les riverains de l’hôtel, ou a été retrouvée Sarah gisant dans son sang, « il est fort possible que la jeune fille a été mené de force jusqu’à la terrasse de l’hôtel pour être violée, et qu’elle a choisi de se jeter du haut de l’immeuble plutôt que de se laisser souiller par les criminels ».

La commission locale chargée des mœurs, appelée « al amr bil maârouf wan nahy âla al moukar », a assuré à Echorouk que les pèlerins algériens « ne se sont jamais rendu coupables de manquements à la sainteté de ces lieux sacrés de l’islam, et qu’au contraire, leur moralité est des plus élevées dans la Mecque ».

L’ambassade d’Algérie en Arabie Saoudite préfère pour le moment laisser la justice faire son travail et s’abstient de faire des déclarations, en attendant les résultats des analyses et de la médecine légale, ainsi que de la police locale.

Dans le cas ou des criminels seront arrêtés à l’issue de cette enquête, alors la punition suprême sera prononcée, à savoir la peine capitale et l’exécution dans un lieu public