Sarah aurait rencontré une femme avec laquelle elle a échangé son numéro de téléphone mobile. Elles se sont même fixées un rendez-vous pour dîner ensemble. Et puis plus rien.
Contacté par Echorouk, le père adoptif de la défunte Sarah, a bien voulu aborder pour nos lecteurs les circonstances de ce crime abominable. M. Boumediène Khatib révélera, d’emblée, Sarah n'était pas sa fille biologique mais qu’il l’avait élevée, depuis sa tendre enfance et ce suite à une adoption accordée par les autorités françaises du fait que son père vit actuellement à Tlemcen en Algérie.Il reviendra, ensuite, sur cet acte ignoble commis en Terre Sainte. Durant la nuit d'avant-hier et immédiatement après la prière du soir, Sarah aurait rencontré une femme avec laquelle elle a échangé son numéro de téléphone mobile. Elles se sont même fixées un rendez-vous pour dîner ensemble. Et puis plus rien.Dés que son père se rend compte de la disparition de la petite, il en préviendra, aussitôt, les responsables de l’hôtel qui se mettront à sa recherche. Quelques instants après, Boumediène Khatib prendra alors connaissance, dans la douleur, des faits avec la découverte du cadavre de sa fille dans un hôtel mitoyen. Son corps était tacheté de gouttelettes de sang et comportait une blessure grave au pied. On lui a assuré alors qu’elle était tombée du toit de l'hôtel, d’une hauteur estimée à plus de 30 mètres.
Notre interlocuteur s’interroge, par ailleurs, sur les allégations tendant à accréditer le fait que sa fille s’est jetée du haut de cet hôtel : «D’après mes connaissances en physique tout objet pesant 70 kg soit le poids de la défunte se serait écrabouillé. Ce qui m’intrigue c’est l’absence de sang ! ». Il n’accusera toutefois personne. «Je veux seulement la vérité. Comment et pourquoi ma fille est décédée ? »
S’il continue à croire profondément à la destinée, M.Khatib ne peut s’empêcher, néanmoins, de s’interroger sur les circonstances de ce décès. C’est pourquoi, il appellera les autorités saoudiennes à enquêter pour établir la vérité. Cela dit, il ne confirmera ni ne démentira les informations rapportées par la presse faisant accroire que Sarah aurait été violée avant sa mort. Il n’en exclue pas toutefois l’éventualité. Pour lui, l’hypothèse du suicide est battue en brèche notamment par l’absence de sang trouvé en quantité sur place et par le fait qu’il connaît bien sa fille.
Qui était Sarah Khatib?
Sarah Khatib est une jeune fille algérienne résidente à Marseille dans le sud de la France. Elle est née le 1er Octobre1995 et étudiait en première année du cycle secondaire. Son père ou plutôt son tuteur Boumediène Khatib nous révélera que Sarah a obtenue les quatre dernières années consécutives de sa scolarité les félicitations de son école. Elle aspirait à devenir médecin. Elle était assidue dans ses prières. Elle apprenait et récitait le coran. Tout comme elle a accueillie immédiatement avec joie l'idée d’effectuer la Omra proposé par son père.
Contacté par Echorouk, le père adoptif de la défunte Sarah, a bien voulu aborder pour nos lecteurs les circonstances de ce crime abominable. M. Boumediène Khatib révélera, d’emblée, Sarah n'était pas sa fille biologique mais qu’il l’avait élevée, depuis sa tendre enfance et ce suite à une adoption accordée par les autorités françaises du fait que son père vit actuellement à Tlemcen en Algérie.Il reviendra, ensuite, sur cet acte ignoble commis en Terre Sainte. Durant la nuit d'avant-hier et immédiatement après la prière du soir, Sarah aurait rencontré une femme avec laquelle elle a échangé son numéro de téléphone mobile. Elles se sont même fixées un rendez-vous pour dîner ensemble. Et puis plus rien.Dés que son père se rend compte de la disparition de la petite, il en préviendra, aussitôt, les responsables de l’hôtel qui se mettront à sa recherche. Quelques instants après, Boumediène Khatib prendra alors connaissance, dans la douleur, des faits avec la découverte du cadavre de sa fille dans un hôtel mitoyen. Son corps était tacheté de gouttelettes de sang et comportait une blessure grave au pied. On lui a assuré alors qu’elle était tombée du toit de l'hôtel, d’une hauteur estimée à plus de 30 mètres.
Notre interlocuteur s’interroge, par ailleurs, sur les allégations tendant à accréditer le fait que sa fille s’est jetée du haut de cet hôtel : «D’après mes connaissances en physique tout objet pesant 70 kg soit le poids de la défunte se serait écrabouillé. Ce qui m’intrigue c’est l’absence de sang ! ». Il n’accusera toutefois personne. «Je veux seulement la vérité. Comment et pourquoi ma fille est décédée ? »
S’il continue à croire profondément à la destinée, M.Khatib ne peut s’empêcher, néanmoins, de s’interroger sur les circonstances de ce décès. C’est pourquoi, il appellera les autorités saoudiennes à enquêter pour établir la vérité. Cela dit, il ne confirmera ni ne démentira les informations rapportées par la presse faisant accroire que Sarah aurait été violée avant sa mort. Il n’en exclue pas toutefois l’éventualité. Pour lui, l’hypothèse du suicide est battue en brèche notamment par l’absence de sang trouvé en quantité sur place et par le fait qu’il connaît bien sa fille.
Qui était Sarah Khatib?
Sarah Khatib est une jeune fille algérienne résidente à Marseille dans le sud de la France. Elle est née le 1er Octobre1995 et étudiait en première année du cycle secondaire. Son père ou plutôt son tuteur Boumediène Khatib nous révélera que Sarah a obtenue les quatre dernières années consécutives de sa scolarité les félicitations de son école. Elle aspirait à devenir médecin. Elle était assidue dans ses prières. Elle apprenait et récitait le coran. Tout comme elle a accueillie immédiatement avec joie l'idée d’effectuer la Omra proposé par son père.