Il y a fort à craindre que ce genre de tensions se renouvelle encore et encore, dans une région fragilisé depuis les événements de Berriane.
Une violente dispute a opposé des fidèles, dans la nuit de jeudi à vendredi sur le parvis de la mosquée « l’ancien ksar », dans la wilaya de Ghardaïa. Selon nos sources, cette dispute a fait huit blessés, dont certains sérieusement, et ont dû être transportés à l’hôpital pour les soins. Les forces de l’ordre sont intervenus pour mettre fin à la querelle, avant de procéder à l’encerclement des lieux afin d’éviter toute nouvelle surprise et dissuader les deux camps à revenir. Les émeutes de Berriane demeurant dans tous les esprits, la police a littéralement quadrillé ma périphérie pour éviter toute nouvelle dérive.
Selon nos sources, la dispute entre deux camps a éclaté après les prières des « tarawihe » pour se terminer jusqu’à minuit. Les motifs sont liés à la gestion de la mosquée et à la volonté d’une partie des fidèles d’en chasser l’imam, mais il reste des zones d’ombre dans les témoignages et les propos des uns et des autres.
La « âzzaba » ibadite –genre de pouvoir spirituel local- avait aussi de son coté très vite réagi pour désamorcer les choses et apaiser les tensions. Les événements de cette nuit-là sont les premiers du genre en ce mois sacré du ramadan...
echourouk
Une violente dispute a opposé des fidèles, dans la nuit de jeudi à vendredi sur le parvis de la mosquée « l’ancien ksar », dans la wilaya de Ghardaïa. Selon nos sources, cette dispute a fait huit blessés, dont certains sérieusement, et ont dû être transportés à l’hôpital pour les soins. Les forces de l’ordre sont intervenus pour mettre fin à la querelle, avant de procéder à l’encerclement des lieux afin d’éviter toute nouvelle surprise et dissuader les deux camps à revenir. Les émeutes de Berriane demeurant dans tous les esprits, la police a littéralement quadrillé ma périphérie pour éviter toute nouvelle dérive.
Selon nos sources, la dispute entre deux camps a éclaté après les prières des « tarawihe » pour se terminer jusqu’à minuit. Les motifs sont liés à la gestion de la mosquée et à la volonté d’une partie des fidèles d’en chasser l’imam, mais il reste des zones d’ombre dans les témoignages et les propos des uns et des autres.
La « âzzaba » ibadite –genre de pouvoir spirituel local- avait aussi de son coté très vite réagi pour désamorcer les choses et apaiser les tensions. Les événements de cette nuit-là sont les premiers du genre en ce mois sacré du ramadan...
echourouk