Le tribunal de Hussein Dey a statué la fin de la semaine dernière dans une affaire d'agression contre un policier, notamment que ce genre de comportement devient de plus en plus fréquent de la part de nos émigrés.
La victime de cette agression, n'était autre qu'un agent de police, représentant de la loi, et son agression équivaut à une agression conte l'état algérien.
Le mis en cause, né en France, travaille comme ingénieur à Orange Télécom est accusé d'agression contre un agent de police au niveau du tribunal de Hussein Dey, la semaine dernière, où il s'était déplacé dans le but de corriger une erreur survenu sur son acte de mariage. Ce dernier qui portait un short, s'est vu interdire l'accès au tribunal avec ce genre d'accoutrement. L'agent de police lui conseilla d'aller mette des vêtements décents pour pouvoir entrer. Il décida d'attendre son épouse dehors, mais après quelques instants, il essaya d'enter avec une bouteille de Coca Cola à la main, mais l'agent de police l'en empêcha. L'accusé commença alors à crier et le policier l'emmena au poste de police où il lui demanda ses papiers. Il trouva sur lui des comprimés et lui demanda ce que c’était. L’émigré lui rétorqua que c’était de la drogue. Le ton commença alors à monter entre les deux hommes et l’émigré poussa l’agent de police contre la porte métallique le blessant à la tête avant de lui asséner un coup de poing à l’œil et un second à la main lui provoquant une incapacité de travail de 15 jours.
L’accusé reconnaît devant le tribunal les faits, justifiant cela par une réaction aux harcèlements du policier, l’accusant de l’avoir giflé et que c’était la raison pour laquelle il a réagit de cette manière.
La défense, dans sa plaidoirie a considéré les faits comme une atteinte à l’état algérien, que l’accusé n’aurait pas osé se comporter de la façon dans son pays d’accueil, notamment avec les nouvelles mesures que compte prendre Sarkozy contre les immigrés.
Le mis en cause a écopé d’une année de prison ferme et d’une amende de 200.000
ennahar
La victime de cette agression, n'était autre qu'un agent de police, représentant de la loi, et son agression équivaut à une agression conte l'état algérien.
Le mis en cause, né en France, travaille comme ingénieur à Orange Télécom est accusé d'agression contre un agent de police au niveau du tribunal de Hussein Dey, la semaine dernière, où il s'était déplacé dans le but de corriger une erreur survenu sur son acte de mariage. Ce dernier qui portait un short, s'est vu interdire l'accès au tribunal avec ce genre d'accoutrement. L'agent de police lui conseilla d'aller mette des vêtements décents pour pouvoir entrer. Il décida d'attendre son épouse dehors, mais après quelques instants, il essaya d'enter avec une bouteille de Coca Cola à la main, mais l'agent de police l'en empêcha. L'accusé commença alors à crier et le policier l'emmena au poste de police où il lui demanda ses papiers. Il trouva sur lui des comprimés et lui demanda ce que c’était. L’émigré lui rétorqua que c’était de la drogue. Le ton commença alors à monter entre les deux hommes et l’émigré poussa l’agent de police contre la porte métallique le blessant à la tête avant de lui asséner un coup de poing à l’œil et un second à la main lui provoquant une incapacité de travail de 15 jours.
L’accusé reconnaît devant le tribunal les faits, justifiant cela par une réaction aux harcèlements du policier, l’accusant de l’avoir giflé et que c’était la raison pour laquelle il a réagit de cette manière.
La défense, dans sa plaidoirie a considéré les faits comme une atteinte à l’état algérien, que l’accusé n’aurait pas osé se comporter de la façon dans son pays d’accueil, notamment avec les nouvelles mesures que compte prendre Sarkozy contre les immigrés.
Le mis en cause a écopé d’une année de prison ferme et d’une amende de 200.000
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