Un réseau de trafic d'armes et de drogue aidé par des policiers ripoux serait derrière l'assassinat, le 16 juillet, d'une policière à Adrar, selon les premiers éléments de l'enquête menée par les services de sécurité, a-t-on appris vendredi de source bien informée.
La défunte Hadj Brahim Cherifa, 32 ans, faisait partie de l'équipe de recherche et d'investigation de la police. Elle avait participé à plusieurs enquêtes sur le trafic de drogue et d'armes dans la région. Elle dérangeait certains barons de la drogue et des trafiquants d'armes, selon la même source. Elle était connue pour son application et son honnêteté. "Les circonstances de la mort de la policière indiquaient que des policiers étaient complices avec les tueurs", affirme notre source.
Le corps de la policière égorgée avait été découvert dans la zone industrielle d’Adrar par les forces de sécurité alertées par des habitants. Le crime a été commis après le démantèlement par les forces de sécurité d’un vaste réseau de trafic d’armes dans cette région.
tsa
La défunte Hadj Brahim Cherifa, 32 ans, faisait partie de l'équipe de recherche et d'investigation de la police. Elle avait participé à plusieurs enquêtes sur le trafic de drogue et d'armes dans la région. Elle dérangeait certains barons de la drogue et des trafiquants d'armes, selon la même source. Elle était connue pour son application et son honnêteté. "Les circonstances de la mort de la policière indiquaient que des policiers étaient complices avec les tueurs", affirme notre source.
Le corps de la policière égorgée avait été découvert dans la zone industrielle d’Adrar par les forces de sécurité alertées par des habitants. Le crime a été commis après le démantèlement par les forces de sécurité d’un vaste réseau de trafic d’armes dans cette région.
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