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Le ministère de la Jeunesse et des Sports vient de mettre les dernières touches sur le projet de loi portant prévention de la violence dans les stades.
Ce projet sera répressif envers tous ceux qui ont un passif dans les actes de violence dans les stades, et réprimera tout aussi vigoureusement les auteurs d’actes agressifs physiquement et verbalement, et concernera non seulement le public, mais aussi les personnes qui gravitent dans et autour des stades, dont la presse. Des amandes allant de 5 à 200 millions sont prévus à cet effet.
Les services spécialisés du ministre de la Jeunesse et des Sports ont aussi proposé des peines d’emprisonnement allant de 3 mois à 5 ans, selon la gravité des délits. Les mineurs seront concernés par des peines plus légères que celles prévues pour les adultes. Les organisateurs aussi n’échappent pas aux infractions, si les actes de violence sont liés aussi à une piètre organisation des événements sportifs. Les journalistes, qui ont poussé à la violence et à la haine n’échappent pas non plus à ce projet, qui tend à responsabiliser tous les acteurs des événements sportifs. Ainsi, une « liste noire » des supporters interdits d’entrer aux stades sera bientôt connue au niveau des services du ministère de l’Intérieur.
Ce projet, qui sera soumis bientôt à l’approbation et à l’amendement, comblera le déficit et palliera à un manque flagrant de moyens de dissuasion au niveau des stades. Mi-répressif, mi-préventif, ce projet de loi sera évidemment balisé de toutes parts et fera figure d’outil de lutte contre la violence dans les stades.
Les gens qui porteront un couteau en entrant dans un stade seront lourdement réprimés, tout comme les alcooliques et les supporters entrant dans un état d’ébriété évident. De ce fait, le projet tend d’abord, à prévenir, la répression sera l’ultime recours pour endiguer un fléau qui commence à faire peur...
Ce projet sera répressif envers tous ceux qui ont un passif dans les actes de violence dans les stades, et réprimera tout aussi vigoureusement les auteurs d’actes agressifs physiquement et verbalement, et concernera non seulement le public, mais aussi les personnes qui gravitent dans et autour des stades, dont la presse. Des amandes allant de 5 à 200 millions sont prévus à cet effet.
Les services spécialisés du ministre de la Jeunesse et des Sports ont aussi proposé des peines d’emprisonnement allant de 3 mois à 5 ans, selon la gravité des délits. Les mineurs seront concernés par des peines plus légères que celles prévues pour les adultes. Les organisateurs aussi n’échappent pas aux infractions, si les actes de violence sont liés aussi à une piètre organisation des événements sportifs. Les journalistes, qui ont poussé à la violence et à la haine n’échappent pas non plus à ce projet, qui tend à responsabiliser tous les acteurs des événements sportifs. Ainsi, une « liste noire » des supporters interdits d’entrer aux stades sera bientôt connue au niveau des services du ministère de l’Intérieur.
Ce projet, qui sera soumis bientôt à l’approbation et à l’amendement, comblera le déficit et palliera à un manque flagrant de moyens de dissuasion au niveau des stades. Mi-répressif, mi-préventif, ce projet de loi sera évidemment balisé de toutes parts et fera figure d’outil de lutte contre la violence dans les stades.
Les gens qui porteront un couteau en entrant dans un stade seront lourdement réprimés, tout comme les alcooliques et les supporters entrant dans un état d’ébriété évident. De ce fait, le projet tend d’abord, à prévenir, la répression sera l’ultime recours pour endiguer un fléau qui commence à faire peur...