La cellule de soutien juridique pour l’application de la charte pour la paix et la réconciliation nationale, présidée par Azzi Merouane, a reçu plusieurs dossiers de femmes violées durant la décennie noire.
Ces dernières réclament des compensations étant donné qu’elles ont été victime du terrorisme, à l’instar des autres catégories de victimes de la décennie noire. Ces femmes sont tombées enceintes de manière illégale et tentent de trouver une issue pour régulariser leurs situations et celles de leurs enfants illégitimes, comptant sur les dispositions de la réconciliation nationale.
Selon le président de la cellule, invité du forum El Moudjahid hier, ses services ont reçu plusieurs dossiers de ces femmes qui demandent à être réhabilitées dans leurs droits en régularisant leurs situations dramatiques après avoir été violées par les terroristes dans les maquis.
La cellule a proposé de transférer leurs dossiers aux services de sécurité dans le but d’ouvrir des enquêtes dans ce sens.
Une centaine d’autres dossiers ont été reçus par les mêmes services concernant les enfants nés dans les maquis, dont 37 dossiers ont déjà été traités et 63 sont bloqués pour cause de manque de preuves, soit suite à la mort du père ou l’inexistence de témoins.
Ennahar
Ces dernières réclament des compensations étant donné qu’elles ont été victime du terrorisme, à l’instar des autres catégories de victimes de la décennie noire. Ces femmes sont tombées enceintes de manière illégale et tentent de trouver une issue pour régulariser leurs situations et celles de leurs enfants illégitimes, comptant sur les dispositions de la réconciliation nationale.
Selon le président de la cellule, invité du forum El Moudjahid hier, ses services ont reçu plusieurs dossiers de ces femmes qui demandent à être réhabilitées dans leurs droits en régularisant leurs situations dramatiques après avoir été violées par les terroristes dans les maquis.
La cellule a proposé de transférer leurs dossiers aux services de sécurité dans le but d’ouvrir des enquêtes dans ce sens.
Une centaine d’autres dossiers ont été reçus par les mêmes services concernant les enfants nés dans les maquis, dont 37 dossiers ont déjà été traités et 63 sont bloqués pour cause de manque de preuves, soit suite à la mort du père ou l’inexistence de témoins.
Ennahar