Un hommage a été rendu, mercredi soir, au regretté de la chanson populaire ( le chaâbi ), Dahmane El-Harrachi, lors d’un gala animé par son fils Kamel, au Théâtre de la ville de Paris...
Durant presque deux heures, Kamel a interprété des chansons de son défunt père, dont ‘Ya rayah’, reprise en chœur par le public, ainsi que des compositions de son premier album ‘Ghana Fenou’, un produit essentiellement dédié à son père. Accompagné par une quinzaine de musiciens et chanteurs de son choix, l’artiste a fait vibrer une salle archicomble aux rythmes de ‘Walahi ma drit’, ‘Ch'hal ayit mesber’ et autre ‘Ila tebghi’, des tubes de son album. Visiblement ému au terme du concert, Kamel s'est dit «très satisfait» de cette première prestation au Théâtre de la ville de Paris. «C’est à la fois une fierté et un plaisir de chanter devant un tel public, dans la Capitale française», a-t-il dit.
Pour le critique spécialisé dans les musiques du monde, Rabah Mezouane, le défunt chanteur a véritablement marqué son époque par des titres devenus des standards ou des classiques. L'auteur de ‘Ya rayah’, un succès repris par Rachid Taha, et plus récemment par Kamel, est tenu pour «une des figures les plus emblématiques de la chanson de l’exil», a dit ce critique. Le concert de Paris marque le trentième anniversaire de la mort de Dahmane El-Harrachi. Chanteur prolifique, Dahmane El-Harrachi, de son vrai nom Abderrahmane Amrani, est décédé le 31 août 1980, dans un accident de voiture, sur la corniche algéroise. Selon Rabah Mezouane, c’est dans les cafés communautaires parisiens que le chanteur, arrivé en France en 1949, se produisait chaque week-end, avec un talent qui faisait l’unanimité parmi la communauté maghrébine. Parmi ses succès indélébiles, ‘Bahja Bidha’, ‘Dak Ezzine Ala Slamtou’, ‘Zouj Hmamat’ et ‘Erayah’, traduite dans plusieurs langues. Son fils Kamel a été un fan de la première heure des chansons de son père. Révélé par les scènes underground parisiennes en 1991, il a hérité de son illustre père cette manière «unique» de jouer du mandole, selon des mélomanes...
Durant presque deux heures, Kamel a interprété des chansons de son défunt père, dont ‘Ya rayah’, reprise en chœur par le public, ainsi que des compositions de son premier album ‘Ghana Fenou’, un produit essentiellement dédié à son père. Accompagné par une quinzaine de musiciens et chanteurs de son choix, l’artiste a fait vibrer une salle archicomble aux rythmes de ‘Walahi ma drit’, ‘Ch'hal ayit mesber’ et autre ‘Ila tebghi’, des tubes de son album. Visiblement ému au terme du concert, Kamel s'est dit «très satisfait» de cette première prestation au Théâtre de la ville de Paris. «C’est à la fois une fierté et un plaisir de chanter devant un tel public, dans la Capitale française», a-t-il dit.
Pour le critique spécialisé dans les musiques du monde, Rabah Mezouane, le défunt chanteur a véritablement marqué son époque par des titres devenus des standards ou des classiques. L'auteur de ‘Ya rayah’, un succès repris par Rachid Taha, et plus récemment par Kamel, est tenu pour «une des figures les plus emblématiques de la chanson de l’exil», a dit ce critique. Le concert de Paris marque le trentième anniversaire de la mort de Dahmane El-Harrachi. Chanteur prolifique, Dahmane El-Harrachi, de son vrai nom Abderrahmane Amrani, est décédé le 31 août 1980, dans un accident de voiture, sur la corniche algéroise. Selon Rabah Mezouane, c’est dans les cafés communautaires parisiens que le chanteur, arrivé en France en 1949, se produisait chaque week-end, avec un talent qui faisait l’unanimité parmi la communauté maghrébine. Parmi ses succès indélébiles, ‘Bahja Bidha’, ‘Dak Ezzine Ala Slamtou’, ‘Zouj Hmamat’ et ‘Erayah’, traduite dans plusieurs langues. Son fils Kamel a été un fan de la première heure des chansons de son père. Révélé par les scènes underground parisiennes en 1991, il a hérité de son illustre père cette manière «unique» de jouer du mandole, selon des mélomanes...