Des médecins exerçant au sein du service des urgences du CHU de Tizi Ouzou ont observé, lundi 7 février, un sit‑in de protestation pour dénoncer le climat d’insécurité qui prévaut au sein de l’établissement hospitalier.
Les grévistes justifient leur recours au débrayage pour attirer l’attention des responsables concernés sur la violence qui se produit de façon récurrente depuis des années. Dans une déclaration rendue publique à cet effet, dont une copie nous est parvenue, les internes en médecine affirment que la situation « est devenue intenable notamment pour les médecins de garde qui travaillent au pavillon des urgences qui subissent toutes sortes d’humiliations, d’insultes, de menaces et parfois d’agressions physiques ».
A plusieurs reprises, des médecins se sont fait agresser par des intrus à l’intérieur même du pavillon des urgences sans que les autorités ne bougent le petit doigt, déplorent les auteurs de la déclaration.
tsa
Les grévistes justifient leur recours au débrayage pour attirer l’attention des responsables concernés sur la violence qui se produit de façon récurrente depuis des années. Dans une déclaration rendue publique à cet effet, dont une copie nous est parvenue, les internes en médecine affirment que la situation « est devenue intenable notamment pour les médecins de garde qui travaillent au pavillon des urgences qui subissent toutes sortes d’humiliations, d’insultes, de menaces et parfois d’agressions physiques ».
A plusieurs reprises, des médecins se sont fait agresser par des intrus à l’intérieur même du pavillon des urgences sans que les autorités ne bougent le petit doigt, déplorent les auteurs de la déclaration.
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