Accueil
Charte
Publications
Nouvel enlèvement en Kabylie. Nour Djallal, médecin cardiologue, a été enlevé, mardi matin, par un groupe armé près de la ville de Tizi-Ouzou. L’information est confirmée de sources sécuritaires qui se sont confiées à l’APS. Le phénomène des kidnappings qui touchent particulièrement les régions de Kabylie est devenu un véritable business qui génère des milliards de dinars chaque année.
Le médecin était à bord de son véhicule, en compagnie de sa femme et de ses enfants, lorsqu’il a été intercepté par le groupe armé au lieudit Tala Bounane, dans la commune de Béni Aïssi (daïra de Béni Douala), à environ 7 Km à l’Est de Tizi-Ouzou.
Le groupe armé, qui serait composé de terroristes en activité dans la région de Béni Douala, a contraint le cardiologue, qui exerce au chef-lieu de la wilaya, à l’accompagner vers une destination inconnue, après avoir relâché sa famille.
Le phénomène touche depuis plus de 5 ans particulièrement les régions de Kabylie où l’on dénombré plus d’une soixantaine d’enlèvements au cours de l’année écoulée.
Dans ces régions très fortement boisées où bandits et terroristes peuvent aisément se mouvoir, le choix offert aux victimes est limité : la rançon ou la mort.
Toutefois, les kidnappeurs, souvent très bien renseignés sur leurs victimes et équipés de moyens adéquats (téléphones, armes, voitures..), passent rarement à l’acte fatidique, les familles préfèrant payer de fortes rançons aux ravisseurs plutôt que de mettre en danger la vie des otages.
Résultat : la quasi-majorité des otages sont relâchés après paiement.
Alors que le phénomène se banalise, la population locale s’interroge sur la capacité des services de sécurité, dont les moyens d’écoute, de surveillance, de filature ne sont pas négligeables, à mettre un terme aux enlèvements qui visent industriels, entrepreneurs et enfants de familles aisées.
alg360
Le médecin était à bord de son véhicule, en compagnie de sa femme et de ses enfants, lorsqu’il a été intercepté par le groupe armé au lieudit Tala Bounane, dans la commune de Béni Aïssi (daïra de Béni Douala), à environ 7 Km à l’Est de Tizi-Ouzou.
Le groupe armé, qui serait composé de terroristes en activité dans la région de Béni Douala, a contraint le cardiologue, qui exerce au chef-lieu de la wilaya, à l’accompagner vers une destination inconnue, après avoir relâché sa famille.
Le phénomène touche depuis plus de 5 ans particulièrement les régions de Kabylie où l’on dénombré plus d’une soixantaine d’enlèvements au cours de l’année écoulée.
Dans ces régions très fortement boisées où bandits et terroristes peuvent aisément se mouvoir, le choix offert aux victimes est limité : la rançon ou la mort.
Toutefois, les kidnappeurs, souvent très bien renseignés sur leurs victimes et équipés de moyens adéquats (téléphones, armes, voitures..), passent rarement à l’acte fatidique, les familles préfèrant payer de fortes rançons aux ravisseurs plutôt que de mettre en danger la vie des otages.
Résultat : la quasi-majorité des otages sont relâchés après paiement.
Alors que le phénomène se banalise, la population locale s’interroge sur la capacité des services de sécurité, dont les moyens d’écoute, de surveillance, de filature ne sont pas négligeables, à mettre un terme aux enlèvements qui visent industriels, entrepreneurs et enfants de familles aisées.
alg360