es services de la Gendarmerie nationale de la wilaya d’Alger ont établi une liste noire des personnes impliquées dans des avortement clandestins et illégaux. Les mêmes services ont, en outre, établi une autre liste d’appartements et villas de luxe au niveau de la Capitale, transformés par leurs propriétaires en « salles d’opération » où sont effectués les avortements.
Ces lieux ont été transformés en "salles d’opération" où se déroulent des avortements en contrepartie de sommes d’argent qui peuvent atteindre les 30 millions de centimes, et ce avec la complicité de certaines cliniques privées. Cette liste établie par la Gendarmerie nationale comprend plusieurs appartements et villas au niveau de Chéraga et Draria. A Dely-Brahim, les bâtisses situées en face de la petite forêt appelée « Bois des Cars », ont été transformées par leurs propriétaires en «salles d’opération» où sont effectuées des avortements loin des yeux et d’une manière illégale. Nos sources ont expliqué que les investigations menées par les services de la gendarmerie depuis plus de trois (3) mois ont eu lieu après le démantèlement de plusieurs réseaux spécialisés dans les opérations d’avortement. Ces réseaux activent sous la couverture de cliniques privées et avec l’aide de spécialistes en gynécologie, d'infirmières et des femmes de ménage travaillant au niveau des hôpitaux d’Alger, tels que ceux de Mustapha-Pacha, Beni Messous et Bab El-Oued. Les personnes fournissaient les médicaments et les instruments nécessaires pour effectuer ces avortements. En plus des ces villas et appartements, les propriétaires ou gérantes de salons de coiffure pour dames les ont transformés en lieux pour effectuer des avortements d’une manière illégale. De plus en plus de jeunes filles et des mères célibataires recourent à ces pratiques pour se débarrasser d’une grossesse, généralement le fruit d’un rapport extra- conjugal. Nous avons, par ailleurs, appris que les mêmes services enquêtent depuis près de deux mois sur plusieurs personnes activant dans 6 réseaux spécialisés dans des avortements en contrepartie de sommes d’argent allant de 10 à 30 millions de centimes. Ces réseaux utilisent des médicaments importés de marque «Cycotec» et des comprimés dangereux pour la santé qui peuvent provoquer le décès de la mère. Ces réseaux ont fait d’Alger et de ses alentours une plaque tournante. Les personnes travaillant au sein des hôpitaux fournissent les médicaments et les instruments nécessaires à ces réseaux. Les autres membres de ces organisations criminelles, quant eux, ramènent les jeunes femmes qui veulent se débarrasser de leurs fœtus. Les lieux où se déroulent les avortements ressemblent à des étables. Soulignant, enfin, que la brigade d’investigations relevant de la Gendarmerie nationale d’Alger ont démantelé, en l’espace de deux mois, quatre réseaux spécialisés dans avortement de mères célibataires en contrepartie de sommes allant de 7 à 10 millions de centimes. Ces réseaux vendent à chaque femme, pour faciliter son avortement, un comprimé de Cycotec qui coute 3000 DA l'unité..
echourouk
Ces lieux ont été transformés en "salles d’opération" où se déroulent des avortements en contrepartie de sommes d’argent qui peuvent atteindre les 30 millions de centimes, et ce avec la complicité de certaines cliniques privées. Cette liste établie par la Gendarmerie nationale comprend plusieurs appartements et villas au niveau de Chéraga et Draria. A Dely-Brahim, les bâtisses situées en face de la petite forêt appelée « Bois des Cars », ont été transformées par leurs propriétaires en «salles d’opération» où sont effectuées des avortements loin des yeux et d’une manière illégale. Nos sources ont expliqué que les investigations menées par les services de la gendarmerie depuis plus de trois (3) mois ont eu lieu après le démantèlement de plusieurs réseaux spécialisés dans les opérations d’avortement. Ces réseaux activent sous la couverture de cliniques privées et avec l’aide de spécialistes en gynécologie, d'infirmières et des femmes de ménage travaillant au niveau des hôpitaux d’Alger, tels que ceux de Mustapha-Pacha, Beni Messous et Bab El-Oued. Les personnes fournissaient les médicaments et les instruments nécessaires pour effectuer ces avortements. En plus des ces villas et appartements, les propriétaires ou gérantes de salons de coiffure pour dames les ont transformés en lieux pour effectuer des avortements d’une manière illégale. De plus en plus de jeunes filles et des mères célibataires recourent à ces pratiques pour se débarrasser d’une grossesse, généralement le fruit d’un rapport extra- conjugal. Nous avons, par ailleurs, appris que les mêmes services enquêtent depuis près de deux mois sur plusieurs personnes activant dans 6 réseaux spécialisés dans des avortements en contrepartie de sommes d’argent allant de 10 à 30 millions de centimes. Ces réseaux utilisent des médicaments importés de marque «Cycotec» et des comprimés dangereux pour la santé qui peuvent provoquer le décès de la mère. Ces réseaux ont fait d’Alger et de ses alentours une plaque tournante. Les personnes travaillant au sein des hôpitaux fournissent les médicaments et les instruments nécessaires à ces réseaux. Les autres membres de ces organisations criminelles, quant eux, ramènent les jeunes femmes qui veulent se débarrasser de leurs fœtus. Les lieux où se déroulent les avortements ressemblent à des étables. Soulignant, enfin, que la brigade d’investigations relevant de la Gendarmerie nationale d’Alger ont démantelé, en l’espace de deux mois, quatre réseaux spécialisés dans avortement de mères célibataires en contrepartie de sommes allant de 7 à 10 millions de centimes. Ces réseaux vendent à chaque femme, pour faciliter son avortement, un comprimé de Cycotec qui coute 3000 DA l'unité..
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