Les ex membres du ballet national ont réussi leur première sortie avec le public, après qu’ils eurent demandé l’asile politique au Canada. En effet, ils ont pu présenter un spectacle magnifique dans une grande salle au niveau d’un centre d’asile dans le cadre des célébrations de la fin de l’année.
Le journal Echorouk est le seul journal algérien qui a pu assister à ce premier spectacle animé par les ex sept membres du ballet national. Pour rappel leur fuite au Canada a fait couler beaucoup d’encre en Algérie. Ce spectacle intitulé « contemporain hip » était du style Hip Hop. Il a duré une demi-heure. Les présents l’ont beaucoup applaudi tout en criant « Bravo Algeria ». Le chanteur de Rap Ben Chahra Belkacem a accompagné le groupe dans l’une des scènes. Avant que Mouloud (un membre de la troupe) ne présente un sketch qui a énormément plu à l’assistance. Ce premier spectacle est le premier pas de la troupe vers le professionnalisme, estime un des sept membres de la troupe. Ce premier spectacle intervient après que les ex membres du ballet national eurent accompli toutes les procédures administratives et judiciaires liées à la demande d’asile politique auprès des services de l’immigration à la ville canadienne de Montréal. Suite à l’accomplissement de ces formalités, chacun des sept membres a obtenu une autorisation d’asile politique valable pour une durée de cinq (5) années. Durant cette période les danseurs vivront sous la protection des autorités canadienne et des lois internationales portant sur la protection des droits de l’homme, et ce, en attendant que leurs dossiers soient traités par un juge fédéral relevant du ministère de l’immigration et de la citoyenneté. Au titre de ces procédures, les ex danseurs du ballet national bénéficieront d’une assurance maladie et d’une aide sociale en attendant que des autorisations de travail leurs seront remises. Ces autorisations permettent à leurs détenteurs de pratiquer une activité d’une manière réglementaire. Rappelant, par ailleurs, que le groupe a choisi le mardi dernier l’avocat qui sera chargera de leurs dossiers auprès des services de l’immigration, conformément aux dispositions de la loi canadienne. Soulignant que le service de l’immigration prend en charge les frais de l’avocat dans des cas pareils. L’avocat a commencé son travail le jour même (mardi), en leur interdisant de faire des déclarations aux medias. Il leur a en plus recommandé de rester dans la discrétion, ce qui a rendu la mission de Echorouk difficile. En effet, il a eu beaucoup de difficulté pour entrer en contacte avec eux les derniers jours. Ainsi, Echorouk a contacté directement leur avocat qui a refusé catégoriquement de répondre à nos questions et qui a refusé aussi de poser des questions aux membres du ballet national, auxquels nous avons pu parler auparavant. Pour rappel, les danseurs du ballet national algérien ont donné un spectacle à Montréal à l’occasion du 56e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie. Ils devaient regagner Alger au bout d’une semaine de présence sur le sol canadien.
Mais les projets des jeunes danseurs, dont certains sont encore dans la vingtaine, étaient ailleurs que dans la prestation artistique aussi époustouflante soit-elle. Des diplomates algériens dans ce pays ont tenté de les convaincre d’abandonner cette idée mais sept danseurs ont décidé de rester au canada.
echourouk
Le journal Echorouk est le seul journal algérien qui a pu assister à ce premier spectacle animé par les ex sept membres du ballet national. Pour rappel leur fuite au Canada a fait couler beaucoup d’encre en Algérie. Ce spectacle intitulé « contemporain hip » était du style Hip Hop. Il a duré une demi-heure. Les présents l’ont beaucoup applaudi tout en criant « Bravo Algeria ». Le chanteur de Rap Ben Chahra Belkacem a accompagné le groupe dans l’une des scènes. Avant que Mouloud (un membre de la troupe) ne présente un sketch qui a énormément plu à l’assistance. Ce premier spectacle est le premier pas de la troupe vers le professionnalisme, estime un des sept membres de la troupe. Ce premier spectacle intervient après que les ex membres du ballet national eurent accompli toutes les procédures administratives et judiciaires liées à la demande d’asile politique auprès des services de l’immigration à la ville canadienne de Montréal. Suite à l’accomplissement de ces formalités, chacun des sept membres a obtenu une autorisation d’asile politique valable pour une durée de cinq (5) années. Durant cette période les danseurs vivront sous la protection des autorités canadienne et des lois internationales portant sur la protection des droits de l’homme, et ce, en attendant que leurs dossiers soient traités par un juge fédéral relevant du ministère de l’immigration et de la citoyenneté. Au titre de ces procédures, les ex danseurs du ballet national bénéficieront d’une assurance maladie et d’une aide sociale en attendant que des autorisations de travail leurs seront remises. Ces autorisations permettent à leurs détenteurs de pratiquer une activité d’une manière réglementaire. Rappelant, par ailleurs, que le groupe a choisi le mardi dernier l’avocat qui sera chargera de leurs dossiers auprès des services de l’immigration, conformément aux dispositions de la loi canadienne. Soulignant que le service de l’immigration prend en charge les frais de l’avocat dans des cas pareils. L’avocat a commencé son travail le jour même (mardi), en leur interdisant de faire des déclarations aux medias. Il leur a en plus recommandé de rester dans la discrétion, ce qui a rendu la mission de Echorouk difficile. En effet, il a eu beaucoup de difficulté pour entrer en contacte avec eux les derniers jours. Ainsi, Echorouk a contacté directement leur avocat qui a refusé catégoriquement de répondre à nos questions et qui a refusé aussi de poser des questions aux membres du ballet national, auxquels nous avons pu parler auparavant. Pour rappel, les danseurs du ballet national algérien ont donné un spectacle à Montréal à l’occasion du 56e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie. Ils devaient regagner Alger au bout d’une semaine de présence sur le sol canadien.
Mais les projets des jeunes danseurs, dont certains sont encore dans la vingtaine, étaient ailleurs que dans la prestation artistique aussi époustouflante soit-elle. Des diplomates algériens dans ce pays ont tenté de les convaincre d’abandonner cette idée mais sept danseurs ont décidé de rester au canada.
echourouk