selon des sources fiables que le ministère de la culture prépare un rapport détaillé sur les neuf (9) danseurs faisant partie d’une délégation artistique algérienne qui ont profité de leur présence au Canada, à l’occasion d’une tournée artistique pour s’enfuir illégalement de leur résidence. Ces neuf danseurs seront remis aux autorités algériennes dés leur arrestation après que les services diplomatiques algériens au Canada eurent informé les autorités canadiennes de leur fuite.
Les mêmes sources ont souligné, en outre, que le ministère algérien des Affaires Etrangères, seul institution habilitée à suivre ce genre d’affaire, a avisé les autorités canadiennes de la fuite de ces danseurs et a commencé l’élaboration d’un rapport détaillé sur ce sujet. Ce rapport devra être présenté aux autorités canadiennes afin d’arrêter les neuf danseurs « Harragas » qui font partie du ballet national qui se sont évadés de leur résidence. Ces danseurs seront extradés vers l’Algérie dans les plus brefs délais. Selon nos sources, une des danseuses est revenue sur sa décision de rester au Canada et se serait rendue aux services consulaires algériens à Otawa, en étant l’unique institution qui s’occupe des affaires politiques. La danseuse en question a regretté son acte. Soulignant dans le même sillage, que l’ambassade d’Algérie au Canada a entamé les procédures qui s’imposent dans ce genre de situation pour l’extrader vers Algérie. Selon les sources du journal Echorouk, les membres du ballet national en fuite n’ont pas de problèmes d’ordre social. En effet, ils font partie du ballet national depuis plus d’une année et bénéficient de tous leurs droits professionnels. La fuite de ces neuf danseurs relève du phénomène de la Harragas qui pousse de nombreux jeunes à quitter leurs payer à la recherche de meilleures conditions économiques et sociales, explique le ministère des Affaires Etrangères. Selon nos sources, les 16 éléments du ballet national prévoyaient de s’enfuir en groupe dés leur première sortie du territoire algérien. Cependant, la peur des conséquences d’un tel acte illégal à dissuadé certains d’entre eux. Il faut souligner, par ailleurs, que les neuf danseurs se sont rendus au Canada dans le cadre d’une délégation artistique encadrée par le ministère de la culture dans le cadre de la célébration du premier novembre. Les danseurs en question ont profité de leur présence dans ce pays pour s’enfuir de leur hôtel après avoir donné un spectacle de danse à Montréal. Des sources proches du dossier, ont indiqué que la ministre de la culture, Khalida Toumi, a écarté M.K directrice du ballet national après lui avoir laissé le soin de choisir entre la gestion du ballet ou son poste au ministère de la culture. M.K a finalement choisi son poste au ministère de la culture. Par la suite, Khalida Toumi a désigné madame Nedjai à sa place. Dans une déclaration , le directeur général de l’Office National de la Culture et de l’Information (ONCI), Lakhdar Ben Tourki a démenti les informations selon lesquelles les danseurs en fuite relèveraient de l’ONCI. Il a affirmé à ce propos qu’ils relèvent du ballet national, qui relève à son tour du ministère de la culture. Lakhdar Ben Tourki a expliqué, par ailleurs, que l’ONCI dirige la troupe des arts populaires.
echourouk
Les mêmes sources ont souligné, en outre, que le ministère algérien des Affaires Etrangères, seul institution habilitée à suivre ce genre d’affaire, a avisé les autorités canadiennes de la fuite de ces danseurs et a commencé l’élaboration d’un rapport détaillé sur ce sujet. Ce rapport devra être présenté aux autorités canadiennes afin d’arrêter les neuf danseurs « Harragas » qui font partie du ballet national qui se sont évadés de leur résidence. Ces danseurs seront extradés vers l’Algérie dans les plus brefs délais. Selon nos sources, une des danseuses est revenue sur sa décision de rester au Canada et se serait rendue aux services consulaires algériens à Otawa, en étant l’unique institution qui s’occupe des affaires politiques. La danseuse en question a regretté son acte. Soulignant dans le même sillage, que l’ambassade d’Algérie au Canada a entamé les procédures qui s’imposent dans ce genre de situation pour l’extrader vers Algérie. Selon les sources du journal Echorouk, les membres du ballet national en fuite n’ont pas de problèmes d’ordre social. En effet, ils font partie du ballet national depuis plus d’une année et bénéficient de tous leurs droits professionnels. La fuite de ces neuf danseurs relève du phénomène de la Harragas qui pousse de nombreux jeunes à quitter leurs payer à la recherche de meilleures conditions économiques et sociales, explique le ministère des Affaires Etrangères. Selon nos sources, les 16 éléments du ballet national prévoyaient de s’enfuir en groupe dés leur première sortie du territoire algérien. Cependant, la peur des conséquences d’un tel acte illégal à dissuadé certains d’entre eux. Il faut souligner, par ailleurs, que les neuf danseurs se sont rendus au Canada dans le cadre d’une délégation artistique encadrée par le ministère de la culture dans le cadre de la célébration du premier novembre. Les danseurs en question ont profité de leur présence dans ce pays pour s’enfuir de leur hôtel après avoir donné un spectacle de danse à Montréal. Des sources proches du dossier, ont indiqué que la ministre de la culture, Khalida Toumi, a écarté M.K directrice du ballet national après lui avoir laissé le soin de choisir entre la gestion du ballet ou son poste au ministère de la culture. M.K a finalement choisi son poste au ministère de la culture. Par la suite, Khalida Toumi a désigné madame Nedjai à sa place. Dans une déclaration , le directeur général de l’Office National de la Culture et de l’Information (ONCI), Lakhdar Ben Tourki a démenti les informations selon lesquelles les danseurs en fuite relèveraient de l’ONCI. Il a affirmé à ce propos qu’ils relèvent du ballet national, qui relève à son tour du ministère de la culture. Lakhdar Ben Tourki a expliqué, par ailleurs, que l’ONCI dirige la troupe des arts populaires.
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