Alger- la délégation du ballet national est rentrée hier d’une tournée au Canada avec neuf danseurs de moins. Ces derniers se sont évanouis dans la nature canadienne préférant rester la bas, comme des Harraga plutôt que de rentrer au bled.
La troupe du ballet nationale s’est envolée au Canada fin octobre, dans le cadre d’un programme artistique organisé par l’ambassade d’Algérie à l’occasion du 56ème anniversaire du déclenchement de la guerre de libération, et le festival du monde arabe de Montréal.
Les neuf danseurs Harraga, dont deux sont des femmes ont reçu une formation d’une année dans le domaine de la danse pour représenter l’Algérie aux évènements internationaux, à l’instar du festival africain, organisé jadis par l’Algérie.
Des rumeurs ont circulées, avant le voyage au Canada, sur l’intention de certaines personnes d’y rester, mais les responsables n’ont pas donné de l’importance au sujet et ont tenu à y aller.
La défection de ces artistes, sensés représenter le pays, a été un déshonneur au directeur du ballet national algérien, et particulièrement pour la ministre de la culture, Khalida Toumi, surtout que cette dernière a longtemps ignoré les appels concernant le problèmes de double fonction au niveaux des services de son ministère, préférant désigner le directeur du ballet à un deuxième poste, directeur adjoint au ministère de la culture.
ennahar
La troupe du ballet nationale s’est envolée au Canada fin octobre, dans le cadre d’un programme artistique organisé par l’ambassade d’Algérie à l’occasion du 56ème anniversaire du déclenchement de la guerre de libération, et le festival du monde arabe de Montréal.
Les neuf danseurs Harraga, dont deux sont des femmes ont reçu une formation d’une année dans le domaine de la danse pour représenter l’Algérie aux évènements internationaux, à l’instar du festival africain, organisé jadis par l’Algérie.
Des rumeurs ont circulées, avant le voyage au Canada, sur l’intention de certaines personnes d’y rester, mais les responsables n’ont pas donné de l’importance au sujet et ont tenu à y aller.
La défection de ces artistes, sensés représenter le pays, a été un déshonneur au directeur du ballet national algérien, et particulièrement pour la ministre de la culture, Khalida Toumi, surtout que cette dernière a longtemps ignoré les appels concernant le problèmes de double fonction au niveaux des services de son ministère, préférant désigner le directeur du ballet à un deuxième poste, directeur adjoint au ministère de la culture.
ennahar