L'avocate d’Isabelle Simone, l'ex-compagne de Cheb Mami, Me Marie Dosé, a présenté une opposition à la demande de libération conditionnelle du chanteur sur laquelle la justice statuera aujourd’hui mardi.
La demande de Mami sera dûment examinée par le tribunal d’application des peines de Melun. «La victime n’a pas à intervenir dans l’exécution d’une peine, a réagi l’avocate de l’ex-compagne de Cheb Mami. Mais si cette demande est une demande parentale pour l’autre enfant que Cheb Mami a eu durant sa cavale en Algérie, cela pose problème. Car il n’a pas eu un geste ni un mot pour l’enfant qu’il a eu avec ma cliente, malgré sa demande expresse.»
Selon des sources judicaires, cette requête présentée par l’avocate de Simone n’aura pas d’effet sur la décision de la justice, et Cheb Mami devra bénéficier aujourd’hui de la libération conditionnelle après que sa demande ait été acceptée par le président de la république Nicolas Sarkozy. La justice doit approuvé, selon l’article 17 de la constitution française qui donne le droit au prisonnier ayant un enfant de moins de dix ans, en plus d’une bonne conduite après une année de prison, de bénéficier de la libération conditionnelle.
Toutefois, Mami n’aura pas le droit de quitter le territoire français avant la fin de sa peine dont il reste encore quatre années.
Ennahar/ Rabah A.
La demande de Mami sera dûment examinée par le tribunal d’application des peines de Melun. «La victime n’a pas à intervenir dans l’exécution d’une peine, a réagi l’avocate de l’ex-compagne de Cheb Mami. Mais si cette demande est une demande parentale pour l’autre enfant que Cheb Mami a eu durant sa cavale en Algérie, cela pose problème. Car il n’a pas eu un geste ni un mot pour l’enfant qu’il a eu avec ma cliente, malgré sa demande expresse.»
Selon des sources judicaires, cette requête présentée par l’avocate de Simone n’aura pas d’effet sur la décision de la justice, et Cheb Mami devra bénéficier aujourd’hui de la libération conditionnelle après que sa demande ait été acceptée par le président de la république Nicolas Sarkozy. La justice doit approuvé, selon l’article 17 de la constitution française qui donne le droit au prisonnier ayant un enfant de moins de dix ans, en plus d’une bonne conduite après une année de prison, de bénéficier de la libération conditionnelle.
Toutefois, Mami n’aura pas le droit de quitter le territoire français avant la fin de sa peine dont il reste encore quatre années.
Ennahar/ Rabah A.