Malgré les mesures strictes prises afin d’empêcher les dizaines de Harraga le long des 1200 kilomètres du littoral et malgré les grands moyens déployés dans ce sens, le nombre des candidats à l’émigration clandestine ne caisse d’augmenter. Attirés par les sirènes de l’autre rive de la méditerranée des centaines de jeunes bravent la mort pour tenter de réaliser le rêve d’accoster au port d’un de leurs pays de rêve. La gente féminine semble elle aussi tentée par la Harga, comme nous l’avons constaté à l’ouest du pays
les matches de football de l’équipe nationale, dans le cadre de la CAN et le Mondial 2010 en Afrique du sud, avaient diminué de manière signifiante le nombre de Harraga, mais le mois de carême n’a pas empêché la reprise de ce phénomène puisque dès le premier jour du Ramadhan, huit Harraga ont été interceptés sur la côte oranaise.
Les gardes côtes ont réussi, durant une période de sept mois, à faire échouer pas moins de 25 tentatives dans lesquelles six femmes, dont quatre étudiantes, une mineure et une autre enceinte, ont été arrêtées.
Trois corps de Harraga repêchés et huit secourus par un pétrolier philippin près d'Oran
Huit Harraga ont été sauvé d’une mort certaine par un pétrolier philippin au large d’Oran. Ces derniers se trouvaient dans une situation difficile et n’ont du leur salut qu’à l’intervention du pétrolier philippin. Le corps d’un Harrag a été repêché alors que deux autres sont portés disparus sur les 11 Harraga parti des côtes oranaises.
Huit Harraga de Chlef prennent la mer en direction des côtes espagnoles pendant le Ramadhan sur une barque achetée à Tipaza une semaine avant la date du départ. Les Harraga étaient âgés entre 19 et 35 ans, en majorité de la région de Dechria près de Mostaganem.
170 Harraga arrêtés, 127 arrivent à leur destination, un mort et 22 sauvés de la noyade.
Le nombre de Harraga vers l’autre rive, et plus précisément vers la Sardaigne, au sud de l’Italie a diminué durant les trois derniers mois de l’année en cours, en comparaison avec les années précédentes.
Les services concernés par la lutte contre le phénomène de l’émigration clandestine ont réussi durant les trois derniers mois à arrêter 170 harrag tous originaires de l’est du pays et d’Alger, leur âge varie entre 18 et 45 ans. Ces derniers payent des sommes entre 7 et 10 millions de centimes aux passeurs.
Par ailleurs, les autorités italiennes ont annoncé l’arrivée de 127 émigrés clandestins nord africains (à partis des côtes de Annaba). Ces derniers ont été arrêtés.
Bien que le nombre de Harraga ait diminué pendant les trois derniers mois, plusieurs cas ont été enregistrés et un jeune de 21 ans originaire de Annaba est mort lorsque la barque s’est renversée au large.
Ennahar/ Habiba M./ S. Karima/ A. El Farouk/ Hicham K
les matches de football de l’équipe nationale, dans le cadre de la CAN et le Mondial 2010 en Afrique du sud, avaient diminué de manière signifiante le nombre de Harraga, mais le mois de carême n’a pas empêché la reprise de ce phénomène puisque dès le premier jour du Ramadhan, huit Harraga ont été interceptés sur la côte oranaise.
Les gardes côtes ont réussi, durant une période de sept mois, à faire échouer pas moins de 25 tentatives dans lesquelles six femmes, dont quatre étudiantes, une mineure et une autre enceinte, ont été arrêtées.
Trois corps de Harraga repêchés et huit secourus par un pétrolier philippin près d'Oran
Huit Harraga ont été sauvé d’une mort certaine par un pétrolier philippin au large d’Oran. Ces derniers se trouvaient dans une situation difficile et n’ont du leur salut qu’à l’intervention du pétrolier philippin. Le corps d’un Harrag a été repêché alors que deux autres sont portés disparus sur les 11 Harraga parti des côtes oranaises.
Huit Harraga de Chlef prennent la mer en direction des côtes espagnoles pendant le Ramadhan sur une barque achetée à Tipaza une semaine avant la date du départ. Les Harraga étaient âgés entre 19 et 35 ans, en majorité de la région de Dechria près de Mostaganem.
170 Harraga arrêtés, 127 arrivent à leur destination, un mort et 22 sauvés de la noyade.
Le nombre de Harraga vers l’autre rive, et plus précisément vers la Sardaigne, au sud de l’Italie a diminué durant les trois derniers mois de l’année en cours, en comparaison avec les années précédentes.
Les services concernés par la lutte contre le phénomène de l’émigration clandestine ont réussi durant les trois derniers mois à arrêter 170 harrag tous originaires de l’est du pays et d’Alger, leur âge varie entre 18 et 45 ans. Ces derniers payent des sommes entre 7 et 10 millions de centimes aux passeurs.
Par ailleurs, les autorités italiennes ont annoncé l’arrivée de 127 émigrés clandestins nord africains (à partis des côtes de Annaba). Ces derniers ont été arrêtés.
Bien que le nombre de Harraga ait diminué pendant les trois derniers mois, plusieurs cas ont été enregistrés et un jeune de 21 ans originaire de Annaba est mort lorsque la barque s’est renversée au large.
Ennahar/ Habiba M./ S. Karima/ A. El Farouk/ Hicham K