La présentation des trois prévenus français devant le juge d’instruction devait avoir lieu le 8 août dernier mais elle a été reportée au 26 de ce mois pour un complément d’enquête.D’après nos sources, cette église clandestine a été inaugurée le 16 avril dernier en présence d'un prêtre français qui avait distribué, à cette occasion, des cadeaux onéreux au profit des femmes et des enfants du village en vue de les convertir au christianisme.
Le 26 septembre le tribunal de Larbâa Nath Irathen dans la wilaya de Tizi Ouzou va trancher dans l’affaire des trois prévenus français poursuivis pour avoir créer un lieu de culte religieux dans un logement sans l’autorisation des autorités légales et pour délit d’hébergement d’étrangers sans en aviser les autorités. L'affaire qui fait les gorges chaudes dans la région remonte au mois de janvier lorsque l’un des prosélytes de la christianisation de Tizi Ouzou a décidé d’acheter une maison dans la localité de Ath Aâtli distante de 2 km de Larbâa Nath Irathen. Cette maison étaient destinée à être transformée en église grâce à des fonds étrangers et ce malgré une farouche opposition des populations locales.
D’après nos sources, cette église clandestine a été inaugurée le 16 avril dernier en présence d'un prêtre français qui a distribué, à cette occasion, des cadeaux onéreux au profit des femmes et des enfants en vue de les convertir au christianisme. De même qu’il procédera à une messe suivie d'une cérémonie spirituelle. Aussitôt parvenue aux populations du village l’information est vite relayée en direction des autorités concernées qui prennent attache à leur tour avec la direction des affaires religieuses. S’ensuivra une plainte collective contre ces prosélytes qui, d’après la population locale, voulaient imposer leur autorité sur le village et évangéliser leurs enfants. Aussitôt, l’action judiciaire enclenchée, le procureur du tribunal de Larbâa Nath Irathen convoque alors trois individus notamment la personne qui a acheté le logement en question pour… 2 milliards de centimes ! La première présentation devant le juge d’instruction devait avoir lieu le 8 août dernier mais elle a été reportée au 26 de ce mois pour un complément d’enquête. Ces prévenus sont sous la menace d’une peine d’emprisonnement notamment pour leurs relations avec le prêtre étranger entré en Algérie en tant que touriste mais qui est venu en réalité célébrer l’inauguration de l’église à l'insu des autorités.
Par ailleurs, un communiqué virulent a été rendu public hier, par les habitants du village, Ath Aâtli où ils dénoncent les activités du lieu de culte qui n’ont pas cessés notamment depuis le premier jour du mois de Ramadan. D’après cette déclaration l’église serait toujours ouverte aux « apostats » alors que l'affaire n’est toujours pas tranchée par les autorités judiciaires. Les signataires de cette pétition condamnent ainsi la christianisation, qui d’après eux, cause des ravages dans le village. Beaucoup se convertiraient, ainsi, au christianisme en particulier les enfants, les jeunes et même plus âgés qui en viennent à quitter la religion de leurs ancêtres. En plus des étrangers, plusieurs visiteurs de différentes régions accourent quotidiennement au village Ath Aâtli pour s’adonner au culte chrétien. La pétition des habitants du village invite explicitement et urgemment les autorités à intervenir alléguant la célébration de plusieurs cérémonies de mariage dans cette église qui, d'aprés eux, a toujours pignon sur rue.
echourouk
Le 26 septembre le tribunal de Larbâa Nath Irathen dans la wilaya de Tizi Ouzou va trancher dans l’affaire des trois prévenus français poursuivis pour avoir créer un lieu de culte religieux dans un logement sans l’autorisation des autorités légales et pour délit d’hébergement d’étrangers sans en aviser les autorités. L'affaire qui fait les gorges chaudes dans la région remonte au mois de janvier lorsque l’un des prosélytes de la christianisation de Tizi Ouzou a décidé d’acheter une maison dans la localité de Ath Aâtli distante de 2 km de Larbâa Nath Irathen. Cette maison étaient destinée à être transformée en église grâce à des fonds étrangers et ce malgré une farouche opposition des populations locales.
D’après nos sources, cette église clandestine a été inaugurée le 16 avril dernier en présence d'un prêtre français qui a distribué, à cette occasion, des cadeaux onéreux au profit des femmes et des enfants en vue de les convertir au christianisme. De même qu’il procédera à une messe suivie d'une cérémonie spirituelle. Aussitôt parvenue aux populations du village l’information est vite relayée en direction des autorités concernées qui prennent attache à leur tour avec la direction des affaires religieuses. S’ensuivra une plainte collective contre ces prosélytes qui, d’après la population locale, voulaient imposer leur autorité sur le village et évangéliser leurs enfants. Aussitôt, l’action judiciaire enclenchée, le procureur du tribunal de Larbâa Nath Irathen convoque alors trois individus notamment la personne qui a acheté le logement en question pour… 2 milliards de centimes ! La première présentation devant le juge d’instruction devait avoir lieu le 8 août dernier mais elle a été reportée au 26 de ce mois pour un complément d’enquête. Ces prévenus sont sous la menace d’une peine d’emprisonnement notamment pour leurs relations avec le prêtre étranger entré en Algérie en tant que touriste mais qui est venu en réalité célébrer l’inauguration de l’église à l'insu des autorités.
Par ailleurs, un communiqué virulent a été rendu public hier, par les habitants du village, Ath Aâtli où ils dénoncent les activités du lieu de culte qui n’ont pas cessés notamment depuis le premier jour du mois de Ramadan. D’après cette déclaration l’église serait toujours ouverte aux « apostats » alors que l'affaire n’est toujours pas tranchée par les autorités judiciaires. Les signataires de cette pétition condamnent ainsi la christianisation, qui d’après eux, cause des ravages dans le village. Beaucoup se convertiraient, ainsi, au christianisme en particulier les enfants, les jeunes et même plus âgés qui en viennent à quitter la religion de leurs ancêtres. En plus des étrangers, plusieurs visiteurs de différentes régions accourent quotidiennement au village Ath Aâtli pour s’adonner au culte chrétien. La pétition des habitants du village invite explicitement et urgemment les autorités à intervenir alléguant la célébration de plusieurs cérémonies de mariage dans cette église qui, d'aprés eux, a toujours pignon sur rue.
echourouk