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Défenseur du CS Constantine et ancien joueur de l’US Biskra, Brahim Amiour s’est donné la mort par immolation.
Une mort tragique qui a jeté l’émoi au sein de toute la famille sportive constantinoise, mais aussi biskrie, où le joueur avait passé de nombreuses saisons. Amiour, qui est arrivé à l’automne 2009 au CSC en provenance de l’US Biskra, avait signé pour une seule saison. Une saison au cours de laquelle il a défendu de toute son énergie les couleurs du club constantinois à chaque fois qu’il était aligné. Des problèmes familiaux survenu en cours de saison ont fait que celui qui portait le dossard 25 au sein des Sanafir, son club d’enfance, sombra dans une profonde dépression, menaçant même plusieurs fois de se suicider. Un acte qu’il a fini par exécuter jeudi dernier.
En effet, après avoir quitté le domicile familial de la cité El Hayet de Sidi Mabrouk, un quartier populeux de l’antique Cirta, il s’est rendu à une station-service pour acheter 5 litres d’essence avec lesquels il s’était aspérgé le corps avant d’y mettre le feu, sous les yeux médusés des passants. L’intervention rapide des éléments de la Protection civile n’a pu sauver le jeune homme du fait que les flammes avaient déjà consumé son corps. Il a rendu l’âme une demi-heure après son admission aux urgences de l’hôpital de Constantine. Né en 1980, Brahim Amiour devait fêter, le 31 décembre prochain, ses 30 ans. En cette pénible et atroce circonstance, la rédaction sportive d’El Watan présente à sa famille ainsi qu’à celle du CSC ses condoléances les plus sincères et les assure de sa profonde sympathie
el watan
Une mort tragique qui a jeté l’émoi au sein de toute la famille sportive constantinoise, mais aussi biskrie, où le joueur avait passé de nombreuses saisons. Amiour, qui est arrivé à l’automne 2009 au CSC en provenance de l’US Biskra, avait signé pour une seule saison. Une saison au cours de laquelle il a défendu de toute son énergie les couleurs du club constantinois à chaque fois qu’il était aligné. Des problèmes familiaux survenu en cours de saison ont fait que celui qui portait le dossard 25 au sein des Sanafir, son club d’enfance, sombra dans une profonde dépression, menaçant même plusieurs fois de se suicider. Un acte qu’il a fini par exécuter jeudi dernier.
En effet, après avoir quitté le domicile familial de la cité El Hayet de Sidi Mabrouk, un quartier populeux de l’antique Cirta, il s’est rendu à une station-service pour acheter 5 litres d’essence avec lesquels il s’était aspérgé le corps avant d’y mettre le feu, sous les yeux médusés des passants. L’intervention rapide des éléments de la Protection civile n’a pu sauver le jeune homme du fait que les flammes avaient déjà consumé son corps. Il a rendu l’âme une demi-heure après son admission aux urgences de l’hôpital de Constantine. Né en 1980, Brahim Amiour devait fêter, le 31 décembre prochain, ses 30 ans. En cette pénible et atroce circonstance, la rédaction sportive d’El Watan présente à sa famille ainsi qu’à celle du CSC ses condoléances les plus sincères et les assure de sa profonde sympathie
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