Le représentant du ministère public auprès du tribunal d’Hussein-dey a demandé qu’une peine de trois années d’emprisonnement ferme, assortie d’une amende de 100 000 dinars, soit infligée à une dame, M., une quinquagénaire, ancienne fonctionnaire de la société Digromed, filiale de Saidal. Les mêmes peines ont été requises à l’encontre un fonctionnaire de la marine marchande, qui se trouve être le gendre de la dame.
* Celle-ci, pour des raisons d’intérêt, lui avait donné sa fille en mariage, mais tout s’est tenu de manière illégitime, du moins jusqu’à ce jour, puisque le mariage, « orfi », n’a pas été confirmé par l’état-civil.
* Le marin affirme être lui-même dupé par la dame, et assure qu’il s’apprêtait à se marier dans les meilleurs délais, avant d’être arrêté par la police. La dame indigne, dans le même temps, avait accordé la main de sa fille à un autre homme, un algérien établi en Grande-Bretagne, qui, la nuit des faits, été sorti avec sa fiancée dîner dans un restaurant huppé à Staouali. Le second virtuel mari, avait auparavant loué un appartement un Badjarah, et lorsqu’il revint chez lui, il trouva la porte d’entrée fracassée et la maison entière sens dessus- dessous. Avaient disparus de la maison des effets personnels, un micro-portable Toshiba, 3 téléphones portables, 30 millions de centimes et 200 euros. Surpris, choqué, il alla vite déposer plainte auprès des services de police. Bien sur, à aucun moment il ne pensa que ce pouvait être le fait de sa future belle-mère.
* Les investigations de la police purent localiser les téléphones portables chez un revendeur à Bab El Oued, lequel connaissait le vendeur, qui s’avérait être le marin, premier virtuel mari de la fille, objet d’entourloupes de la part de sa mère. C’est ainsi, que les deux comparses ont été mis en prison pour escroquerie et recel.
* Le défense a plaidé pour un acte de vengeance de la part de l’émigré, à qui la dame avait refusé sa fille, « d’autant plus qu’il s’agit d’une ancienne fonctionnaire de Saidal, mise à la retraite récemment, et qui a bénéficié de 70 millions de centimes ».
echourouk
* Celle-ci, pour des raisons d’intérêt, lui avait donné sa fille en mariage, mais tout s’est tenu de manière illégitime, du moins jusqu’à ce jour, puisque le mariage, « orfi », n’a pas été confirmé par l’état-civil.
* Le marin affirme être lui-même dupé par la dame, et assure qu’il s’apprêtait à se marier dans les meilleurs délais, avant d’être arrêté par la police. La dame indigne, dans le même temps, avait accordé la main de sa fille à un autre homme, un algérien établi en Grande-Bretagne, qui, la nuit des faits, été sorti avec sa fiancée dîner dans un restaurant huppé à Staouali. Le second virtuel mari, avait auparavant loué un appartement un Badjarah, et lorsqu’il revint chez lui, il trouva la porte d’entrée fracassée et la maison entière sens dessus- dessous. Avaient disparus de la maison des effets personnels, un micro-portable Toshiba, 3 téléphones portables, 30 millions de centimes et 200 euros. Surpris, choqué, il alla vite déposer plainte auprès des services de police. Bien sur, à aucun moment il ne pensa que ce pouvait être le fait de sa future belle-mère.
* Les investigations de la police purent localiser les téléphones portables chez un revendeur à Bab El Oued, lequel connaissait le vendeur, qui s’avérait être le marin, premier virtuel mari de la fille, objet d’entourloupes de la part de sa mère. C’est ainsi, que les deux comparses ont été mis en prison pour escroquerie et recel.
* Le défense a plaidé pour un acte de vengeance de la part de l’émigré, à qui la dame avait refusé sa fille, « d’autant plus qu’il s’agit d’une ancienne fonctionnaire de Saidal, mise à la retraite récemment, et qui a bénéficié de 70 millions de centimes ».
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