Son amie, Barbara Gandolfi est dans la ligne de mire de la police belge, qui la soupçonne de le manipuler pour lui soutirer de l'argent...
Jean-Paul Belmondo est-il victime d'un abus de faiblesse? C’est ce que semble penser la justice belge, qui a depuis 3 ans dans le viseur l’amie de l’acteur, Barbara Gandolfi, pour blanchiment d’argent et proxénétisme.
Extorsion?
Cette dernière, une jeune femme belge d'origine italienne de 33 ans, a rencontré le monstre sacré du cinéma français, 75 ans alors, à Antibes à l'été 2008, après sa séparation d’avec sa femme, Natty. Un juge d’instruction de Bruges la soupçonne de manipuler l’interprète du Professionnel, victime d'une attaque cérébrale en 2001, avec l'aide de son ex-compagnon, Frédéric Vanderwilt, pour lui soutirer de l’argent.
En juin 2009, l’acteur avait d’ailleurs déjà été entendu comme «victime potentielle» après la découverte en Belgique d’une promesse de prêt de 200.000 euros qu’il aurait consentie à la jeune femme, qu’il avait vigoureusement démenti à l'époque. Le 22 juin dernier, Jean-Paul Belmondo est de nouveau entendu, cette fois en qualité de témoin, par des policiers français à la demande des enquêteurs de Bruges.
Ces derniers veulent vérifier des mouvements financiers suspects notamment un chèque de 400.000 euros que l'acteur a signé pour racheter la maison de sa compagne à Ostende, et un autre de 20.000 euros qui, selon les policiers belges, aurait servi à financer les clubs de striptease que les anciens époux possèdent.
Mensonge et prostitution
Lors de l’audition de l’acteur, les policiers lui ont fait écouter des enregistrements téléphoniques qui révèlent les intentions réelles de l’ex-candidate à miss Belgique, affirme ce jeudi RTL, qui a eu accès aux procès-verbaux de l'audition. Lors de ces écoutes on entend notamment Frédéric Vanderwilt dire à Barbara Gandolfi: «Si on avait plusieurs Belmondo à 200.000 euros, ça serait bien», en référence au fameux prêt du printemps 2009.
Les enregistrements laissent également entendre que l’ancienne playmate ment à l’acteur sur son emploi du temps, et se livre à la prostitution.
Des bandes qui l’ont tellement bouleversé qu'il aurait envisagé de porter plainte contre son amie, avant de se rétracter quelques heures plus tard après avoir vu son amie, et de finalement porter plainte… contre les policiers belges. La «romance» entre l’acteur et la femme d’affaires ne semble pas sur le point de s’arrêter, au grand dam des proches de Bébel, qui disent craindre pour sa santé financière, comme pour sa santé physique.
Jean-Paul Belmondo est-il victime d'un abus de faiblesse? C’est ce que semble penser la justice belge, qui a depuis 3 ans dans le viseur l’amie de l’acteur, Barbara Gandolfi, pour blanchiment d’argent et proxénétisme.
Extorsion?
Cette dernière, une jeune femme belge d'origine italienne de 33 ans, a rencontré le monstre sacré du cinéma français, 75 ans alors, à Antibes à l'été 2008, après sa séparation d’avec sa femme, Natty. Un juge d’instruction de Bruges la soupçonne de manipuler l’interprète du Professionnel, victime d'une attaque cérébrale en 2001, avec l'aide de son ex-compagnon, Frédéric Vanderwilt, pour lui soutirer de l’argent.
En juin 2009, l’acteur avait d’ailleurs déjà été entendu comme «victime potentielle» après la découverte en Belgique d’une promesse de prêt de 200.000 euros qu’il aurait consentie à la jeune femme, qu’il avait vigoureusement démenti à l'époque. Le 22 juin dernier, Jean-Paul Belmondo est de nouveau entendu, cette fois en qualité de témoin, par des policiers français à la demande des enquêteurs de Bruges.
Ces derniers veulent vérifier des mouvements financiers suspects notamment un chèque de 400.000 euros que l'acteur a signé pour racheter la maison de sa compagne à Ostende, et un autre de 20.000 euros qui, selon les policiers belges, aurait servi à financer les clubs de striptease que les anciens époux possèdent.
Mensonge et prostitution
Lors de l’audition de l’acteur, les policiers lui ont fait écouter des enregistrements téléphoniques qui révèlent les intentions réelles de l’ex-candidate à miss Belgique, affirme ce jeudi RTL, qui a eu accès aux procès-verbaux de l'audition. Lors de ces écoutes on entend notamment Frédéric Vanderwilt dire à Barbara Gandolfi: «Si on avait plusieurs Belmondo à 200.000 euros, ça serait bien», en référence au fameux prêt du printemps 2009.
Les enregistrements laissent également entendre que l’ancienne playmate ment à l’acteur sur son emploi du temps, et se livre à la prostitution.
Des bandes qui l’ont tellement bouleversé qu'il aurait envisagé de porter plainte contre son amie, avant de se rétracter quelques heures plus tard après avoir vu son amie, et de finalement porter plainte… contre les policiers belges. La «romance» entre l’acteur et la femme d’affaires ne semble pas sur le point de s’arrêter, au grand dam des proches de Bébel, qui disent craindre pour sa santé financière, comme pour sa santé physique.