On l’avait quitté capuche sur la tête et écouteurs vissés sur les oreilles à l’aéroport de Londres après son exclusion de l’équipe de France, après la révélation de son insulte à l'encontre de Raymond Domenech. Un mois après, Nicolas Anelka s’est brièvement livré dans France-Soir. Et il ne se sent pas responsable de l’échec des Bleus: «Si ce n'était pas par moi que tout s'était précipité, cela serait arrivé par quelqu'un d'autre. Ça devait exploser», assure l’attaquant de Chelsea.
«Lizarazu, c’est qui?»Concernant la grève de l’entraînement qui a suivi son exclusion, le joueur affirme, comme ses coéquipiers qui se sont exprimés jusqu’alors, que la décision était unanime: «Tout le monde, je dis bien tout le monde, était solidaire. S'il y avait des joueurs qui voulaient s'entraîner, qu'ils parlent maintenant. Mais je suis certain à 100% que personne ne le fera.» Enfin, Anelka profite de sa sortie médiatique pour tacler Bixente Lizarazu, très critique sur l’attitude des Bleus: «Lorsqu'on a été joueur, il faut une forme de respect. Lizarazu, c'est qui? C'est juste un ancien joueur en manque de reconnaissance. Tout ce qu'il a trouvé comme reconversion, c'est le torpillage.»
20minutes.fr
«Lizarazu, c’est qui?»Concernant la grève de l’entraînement qui a suivi son exclusion, le joueur affirme, comme ses coéquipiers qui se sont exprimés jusqu’alors, que la décision était unanime: «Tout le monde, je dis bien tout le monde, était solidaire. S'il y avait des joueurs qui voulaient s'entraîner, qu'ils parlent maintenant. Mais je suis certain à 100% que personne ne le fera.» Enfin, Anelka profite de sa sortie médiatique pour tacler Bixente Lizarazu, très critique sur l’attitude des Bleus: «Lorsqu'on a été joueur, il faut une forme de respect. Lizarazu, c'est qui? C'est juste un ancien joueur en manque de reconnaissance. Tout ce qu'il a trouvé comme reconversion, c'est le torpillage.»
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