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De violents affrontements ont éclaté entre les services de sécurité et les éléments de 12 familles, habitant dans une tente à la rue des jardins à Sidi El Houari à Oran. En effet, les éléments de la sureté avaient expulsé les 12 familles et détruit la tente, mais ils ont été confronté à une lutte très féroce, ponctuée par une tentative de suicide, en essayant de faire exploser une bouteille de gaz. Les policiers ont dû intervenir et arrêter deux jeunes. Cela a coïncidé avec la visite du wali dans le secteur urbain.
La rue des jardins à Sidi El Houari, à Oran, ont vibré suite à l’opération d’expulsion de 12 familles effectuée par les services de l’APC aux environs de 11h du matin, accompagnés par les services de sécurité en cas de dérapages ou d’évolutions empêchant l’opération. Les 12 familles ont été choquées par la décision, alors qu’elles vivaient dans de mauvaises conditions à l’intérieur de la tente, qui a été mise en place sur le trottoir depuis plus d’une année. Cette nouvelle habitation a été faite suite aux effondrements successifs de la vieille maison, où elles résidaient depuis des dizaines d’années. Ainsi donc, leur situation n’a pas bougé d’un iota, mais bien au contraire, elle s’est envenimée, puisque ces familles ont été définitivement expulsées des lieux sans même qu’elles bénéficient d’un logement décent, et ont enlevé la tente en faisant appel aux forces publiques. Cela a été perçu par les 12 familles comme étant un acte illogique et inconcevable, et c’est ainsi qu’elles ont usé d’une très forte résistance refusant l’expulsion. Et au moment des affrontements entre les concernées et les forces de l’ordre, des éléments ont fait sortir une bouteille de gaz afin de se suicider en la faisant exploser. Tout cela s’est passé dans une situation morose, des cris et des larmes. Mais, les éléments de la police ont intervenus et réussirent à avorter la tentative de suicide et ont procédé à l’arrestation de deux jeunes. Le sort de ces familles est qu’elles sont jetées dehors, condamnées à passer l’hiver sans abri. Elles voulaient faire appel au wali afin de les aider pour bénéficier d’un toit leur assurant une habitation décente, mais c’était peine perdu puisque le wali était affairé par d’autres soucis. Les citoyens étaient sidérés par cette situation et se posent des questions sur « la négligence de la situation de ces familles qui souffrent en cette saison hivernale, pendant que les enfants de responsables sont logés dans des villas bien au chaud. »
echourouk
La rue des jardins à Sidi El Houari, à Oran, ont vibré suite à l’opération d’expulsion de 12 familles effectuée par les services de l’APC aux environs de 11h du matin, accompagnés par les services de sécurité en cas de dérapages ou d’évolutions empêchant l’opération. Les 12 familles ont été choquées par la décision, alors qu’elles vivaient dans de mauvaises conditions à l’intérieur de la tente, qui a été mise en place sur le trottoir depuis plus d’une année. Cette nouvelle habitation a été faite suite aux effondrements successifs de la vieille maison, où elles résidaient depuis des dizaines d’années. Ainsi donc, leur situation n’a pas bougé d’un iota, mais bien au contraire, elle s’est envenimée, puisque ces familles ont été définitivement expulsées des lieux sans même qu’elles bénéficient d’un logement décent, et ont enlevé la tente en faisant appel aux forces publiques. Cela a été perçu par les 12 familles comme étant un acte illogique et inconcevable, et c’est ainsi qu’elles ont usé d’une très forte résistance refusant l’expulsion. Et au moment des affrontements entre les concernées et les forces de l’ordre, des éléments ont fait sortir une bouteille de gaz afin de se suicider en la faisant exploser. Tout cela s’est passé dans une situation morose, des cris et des larmes. Mais, les éléments de la police ont intervenus et réussirent à avorter la tentative de suicide et ont procédé à l’arrestation de deux jeunes. Le sort de ces familles est qu’elles sont jetées dehors, condamnées à passer l’hiver sans abri. Elles voulaient faire appel au wali afin de les aider pour bénéficier d’un toit leur assurant une habitation décente, mais c’était peine perdu puisque le wali était affairé par d’autres soucis. Les citoyens étaient sidérés par cette situation et se posent des questions sur « la négligence de la situation de ces familles qui souffrent en cette saison hivernale, pendant que les enfants de responsables sont logés dans des villas bien au chaud. »
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