Le médecin légiste, Zouaoui Mounir, du service de médecine légale de l’EPH de Mostaganem, a confirmé la thèse des autorités espagnoles au sujet du décès le 29 décembre dernier, dans la prison d’Archidona, en Espagne, de l’algérien Mohammed Boudarbala, âgé de 36 ans, à savoir un éventuel suicide.
Selon le rapport du médecin, dont un compte-rendu a été publié aujourd’hui par le journal «Liberté», la mort de ce jeune «est en rapport, le plus probablement, avec une pendaison vitale dont les circonstances ne peuvent être déterminées que par les éléments de l’enquête judiciaire», soit les mêmes conclusions auxquelles est arrivée l’expertise espagnole.
De plus, ajoute-t-on de même source, il n’y a aucune «trace objective de lésions de violence suspecte». Les membres de la famille du défunt contestent également ces conclusions, eux qui ont, dès le départ, privilégiés la thèse de l’ «assassinat» et de «maltraitance» de la part des agents des services de sécurité espagnols en exercice dans la prison d’Archidona, transformé depuis quelques mois en centre de rétention pour les «sans papiers». Il faut noter, en dernier lieu, que Mohammed Boudarbala a été inhumé, le 3 février dernier, dans son village natal à Mostaganem.
Une avocate espagnole engagée par la famille de ce «harag», avait évoqué le traitement «rapide» de ce dossier par les enquêteurs.
Elyas Nour
Selon le rapport du médecin, dont un compte-rendu a été publié aujourd’hui par le journal «Liberté», la mort de ce jeune «est en rapport, le plus probablement, avec une pendaison vitale dont les circonstances ne peuvent être déterminées que par les éléments de l’enquête judiciaire», soit les mêmes conclusions auxquelles est arrivée l’expertise espagnole.
De plus, ajoute-t-on de même source, il n’y a aucune «trace objective de lésions de violence suspecte». Les membres de la famille du défunt contestent également ces conclusions, eux qui ont, dès le départ, privilégiés la thèse de l’ «assassinat» et de «maltraitance» de la part des agents des services de sécurité espagnols en exercice dans la prison d’Archidona, transformé depuis quelques mois en centre de rétention pour les «sans papiers». Il faut noter, en dernier lieu, que Mohammed Boudarbala a été inhumé, le 3 février dernier, dans son village natal à Mostaganem.
Une avocate espagnole engagée par la famille de ce «harag», avait évoqué le traitement «rapide» de ce dossier par les enquêteurs.
Elyas Nour