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L’entrepreneur I. Lounes, kidnappé le 3 juillet par un groupe armé près du village Tala Tegana dans la région de Fréha, au nord-est de Tizi Ouzou, a été libéré dimanche 11 juillet par ses ravisseurs, selon la radio nationale. Agé de 34 ans, l’entrepreneur a été libéré à l’aube par ceux qui l’avaient enlevé il y a 9 jours, selon la même source.
La libération de l’otage intervient au lendemain d’une imposante marche populaire organisée à l’appel des comités de village de la région des Aït Jennad. La manifestation avait pour objet de dénoncer l’enlèvement de l'entrepreneur de Fréha il y a une semaine et d'exiger sa libération sans conditions. Ils étaient des centaines à sillonner les principales artères de la petite ville de Fréha en réponse à l’appel des comités de village.
« Halte aux kidnappings », « Libérez la vicitime », pouvait-on lire sur les banderoles déployées par les marcheurs qui scandaient à pleins poumons des slogans réclamant la libération de l’otage I. Lounès. Ayant démarré à partir du stade municipal, la manifestation s’est arrêtée devant le siège de la mairie de Fréha, où les organisateurs ont pris la parole pour réitérer leur refus de céder devant le chantage des ravisseurs. Les orateurs ont rappelé la détermination de la population à ne pas céder devant les auteurs des kidnappings devenus monnaie courante dans la région de Kabylie, particulièrement dans la wilaya de Tizi Ouzou. Les ravisseurs auraient notamment exigé une rançon de 30 millions de dinars (3 milliards de centimes).
tsa
La libération de l’otage intervient au lendemain d’une imposante marche populaire organisée à l’appel des comités de village de la région des Aït Jennad. La manifestation avait pour objet de dénoncer l’enlèvement de l'entrepreneur de Fréha il y a une semaine et d'exiger sa libération sans conditions. Ils étaient des centaines à sillonner les principales artères de la petite ville de Fréha en réponse à l’appel des comités de village.
« Halte aux kidnappings », « Libérez la vicitime », pouvait-on lire sur les banderoles déployées par les marcheurs qui scandaient à pleins poumons des slogans réclamant la libération de l’otage I. Lounès. Ayant démarré à partir du stade municipal, la manifestation s’est arrêtée devant le siège de la mairie de Fréha, où les organisateurs ont pris la parole pour réitérer leur refus de céder devant le chantage des ravisseurs. Les orateurs ont rappelé la détermination de la population à ne pas céder devant les auteurs des kidnappings devenus monnaie courante dans la région de Kabylie, particulièrement dans la wilaya de Tizi Ouzou. Les ravisseurs auraient notamment exigé une rançon de 30 millions de dinars (3 milliards de centimes).
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