La nomination de Hany Abou Ridha, en qualité de président par intérim, est de bon augure pour le retour aux bonnes relations «sportives» algéro-égyptiennes.
Alors que la Fédération égyptienne de football vient de connaître quelques changements, notamment au niveau de son conseil fédéral et à la lumière de la visite du président de la République égyptienne, M.Hosni Moubarak à Alger, le week-end dernier, il est donc très logique de prédire que la délégation de la JS Kabylie serait bien reçue en terre égyptienne lors de son prochain déplacement dans quelques jours. La JS Kabylie, devant rencontrer Ismaïly entre le 16 et le 18 du mois en cours pour le compte du groupe B des éliminatoires des poules de la Ligue des champions africaine de football.
La source principale du mal ayant envenimé les relations algéro-égyptiennes qui ont connu un froid après le 12 novembre: le caillassage du bus transportant l’Equipe nationale au Caire où trois joueurs avaient été blessés. Or, le président de la Fédération égyptienne de football, M.Samir Zaher, vient d’être écarté de son poste de président de l’instance fédérale égyptienne. Il est remplacé par le vice-président de la même instance, M.Hany Abou Ridha et ce, conformément aux statuts de la Fédération égyptienne de football. C’est ce qu’a entrepris le Conseil national du sport après la décision de la Cour suprême égyptienne qui a exclu Samir Zaher du poste de président de la Fédération égyptienne, tout en lui signifiant qu’il n’est plus éligible pour une éventuelle candidature à l’inverse de son ennemi uré, l’autre ex-candidat malheureux des dernières élections, M. Oussama Khalil.
La nomination de M.Hany Abou Ridha, en qualité de président par intérim, est de bon augure pour le retour aux bonnes relations «sportives» algéro-egyptiennes. Ce qui permet d’entrevoir un nouvel état d’esprit «sportif» égyptien à l’encontre de tout ce qui est algérien, à commencer par notre représentant, la JS Kabylie, devant disputer ses matchs en terre égyptienne pour le compte de la Ligue des champions africaine face aux clubs locaux Ismaïly et Ahly et ce, à partir de la mi-juillet en cours. Plusieurs observateurs égyptiens ont démontré que le désormais ex-président de la Fédération égyptienne de football, Samir Zaher, a été l’un des principaux instigateurs des mauvaises relations algéro-egyptiennes suite à cette campagne, sans précédant menée en Egypte contre tout ce qui est algérien. Les «mensonges» de Zaher ont été découverts par ses propres responsables et la dernière en date fut celui relatif à la décision de la Fifa sur le dossier du caillassage du bus de l’Equipe nationale, le 12 novembre dernier alors que les pseudo-violences de Khartoum contre les Egyptiens ne furent qu’une pure création de Zaher et ses supporters. D’ailleurs, Zaher a refusé de faire appel de cette décision de la Fifa et ce, sans se référer à sa tutelle. Ce qui a incité le Conseil national du sport à le lui faire bien comprendre. Et c’est donc la dernière décision de la Cours suprême égyptienne qui dévoile le côté négatif de la gestion Zaher, puisque le concerné est inéligible pour avoir été condamné dans une affaire de factures impayées et ce, sans parler du tour de passe-passe dont il a été l’auteur principal afin d’écarter son principal rival de la présidence de la Fédération égyptienne de football, M.Oussama Khalil qui a eu recours à la justice qui, finalement, a tranché en sa faveur.
Ainsi, le Conseil national pour le sport devrait donc officiellement avaliser la décision de justice à l’encontre de Zaher pour permettre à Hany Abou Ridha d’assumer la responsabilité de la présidence de la Fédération égyptienne de football avant la prochaine assemblée générale pour élire un nouveau président qui devrait avoir lieu dans un délai ne pouvant dépasser le 30 septembre prochain. Le tout, selon bien évidemment, les statuts de l’instance fédérale égyptienne et sans aucune ingérence, puisque c’est l’article 37 des statuts qui est appliqué et qui stipule que si le poste de président du conseil fédéral est vacant, c’est le vice- président qui assure l’intérim et à la première assemblée générale, ce poste sera pourvu lors d’une élection y compris pour le reste du Conseil fédéral.
Kamel Darwich, candidat ayant reçu le plus grand nombre de voix lors de la dernière élection ne pourrait être le nouveau président en remplacement de Zaher pour la simple raison que le décret ministériel 175 datant de 2008, stipule que le candidat doit gagner 50 + 1 voix pour être élu président. Ce que n’a pas atteint M.Darwich qui a voulu profiter de cette situation pour devenir président comme ce fut le cas de la Fédération égyptienne de judo. Mais, selon les responsables égyptiens, cette réciprocité administrative ne peut avoir lieu du fait que le cas est totalement différent de celui du football. Donc, d’ici à la prochaine élection que connaîtra la Fédération égyptienne, au plus tard fin septembre prochain, la JSK et le CRB devront donc jouer dans un climat plus propice en terre égyptienne et ce, dans un esprit qui serait en principe totalement fair-play. La dernière visite du président de la République égyptienne, M.Hosni Moubarak en Algérie témoigne, si besoin est, du retour à la normale des relations algéro-égyptiennes et il faudra donc s’attendre à plus de concret de la part des Egyptiens à commencer par cette fameuse décision du Comité olympique égyptien de boycotter toute compétition où se trouverait les Algériens...
l'expression
Alors que la Fédération égyptienne de football vient de connaître quelques changements, notamment au niveau de son conseil fédéral et à la lumière de la visite du président de la République égyptienne, M.Hosni Moubarak à Alger, le week-end dernier, il est donc très logique de prédire que la délégation de la JS Kabylie serait bien reçue en terre égyptienne lors de son prochain déplacement dans quelques jours. La JS Kabylie, devant rencontrer Ismaïly entre le 16 et le 18 du mois en cours pour le compte du groupe B des éliminatoires des poules de la Ligue des champions africaine de football.
La source principale du mal ayant envenimé les relations algéro-égyptiennes qui ont connu un froid après le 12 novembre: le caillassage du bus transportant l’Equipe nationale au Caire où trois joueurs avaient été blessés. Or, le président de la Fédération égyptienne de football, M.Samir Zaher, vient d’être écarté de son poste de président de l’instance fédérale égyptienne. Il est remplacé par le vice-président de la même instance, M.Hany Abou Ridha et ce, conformément aux statuts de la Fédération égyptienne de football. C’est ce qu’a entrepris le Conseil national du sport après la décision de la Cour suprême égyptienne qui a exclu Samir Zaher du poste de président de la Fédération égyptienne, tout en lui signifiant qu’il n’est plus éligible pour une éventuelle candidature à l’inverse de son ennemi uré, l’autre ex-candidat malheureux des dernières élections, M. Oussama Khalil.
La nomination de M.Hany Abou Ridha, en qualité de président par intérim, est de bon augure pour le retour aux bonnes relations «sportives» algéro-egyptiennes. Ce qui permet d’entrevoir un nouvel état d’esprit «sportif» égyptien à l’encontre de tout ce qui est algérien, à commencer par notre représentant, la JS Kabylie, devant disputer ses matchs en terre égyptienne pour le compte de la Ligue des champions africaine face aux clubs locaux Ismaïly et Ahly et ce, à partir de la mi-juillet en cours. Plusieurs observateurs égyptiens ont démontré que le désormais ex-président de la Fédération égyptienne de football, Samir Zaher, a été l’un des principaux instigateurs des mauvaises relations algéro-egyptiennes suite à cette campagne, sans précédant menée en Egypte contre tout ce qui est algérien. Les «mensonges» de Zaher ont été découverts par ses propres responsables et la dernière en date fut celui relatif à la décision de la Fifa sur le dossier du caillassage du bus de l’Equipe nationale, le 12 novembre dernier alors que les pseudo-violences de Khartoum contre les Egyptiens ne furent qu’une pure création de Zaher et ses supporters. D’ailleurs, Zaher a refusé de faire appel de cette décision de la Fifa et ce, sans se référer à sa tutelle. Ce qui a incité le Conseil national du sport à le lui faire bien comprendre. Et c’est donc la dernière décision de la Cours suprême égyptienne qui dévoile le côté négatif de la gestion Zaher, puisque le concerné est inéligible pour avoir été condamné dans une affaire de factures impayées et ce, sans parler du tour de passe-passe dont il a été l’auteur principal afin d’écarter son principal rival de la présidence de la Fédération égyptienne de football, M.Oussama Khalil qui a eu recours à la justice qui, finalement, a tranché en sa faveur.
Ainsi, le Conseil national pour le sport devrait donc officiellement avaliser la décision de justice à l’encontre de Zaher pour permettre à Hany Abou Ridha d’assumer la responsabilité de la présidence de la Fédération égyptienne de football avant la prochaine assemblée générale pour élire un nouveau président qui devrait avoir lieu dans un délai ne pouvant dépasser le 30 septembre prochain. Le tout, selon bien évidemment, les statuts de l’instance fédérale égyptienne et sans aucune ingérence, puisque c’est l’article 37 des statuts qui est appliqué et qui stipule que si le poste de président du conseil fédéral est vacant, c’est le vice- président qui assure l’intérim et à la première assemblée générale, ce poste sera pourvu lors d’une élection y compris pour le reste du Conseil fédéral.
Kamel Darwich, candidat ayant reçu le plus grand nombre de voix lors de la dernière élection ne pourrait être le nouveau président en remplacement de Zaher pour la simple raison que le décret ministériel 175 datant de 2008, stipule que le candidat doit gagner 50 + 1 voix pour être élu président. Ce que n’a pas atteint M.Darwich qui a voulu profiter de cette situation pour devenir président comme ce fut le cas de la Fédération égyptienne de judo. Mais, selon les responsables égyptiens, cette réciprocité administrative ne peut avoir lieu du fait que le cas est totalement différent de celui du football. Donc, d’ici à la prochaine élection que connaîtra la Fédération égyptienne, au plus tard fin septembre prochain, la JSK et le CRB devront donc jouer dans un climat plus propice en terre égyptienne et ce, dans un esprit qui serait en principe totalement fair-play. La dernière visite du président de la République égyptienne, M.Hosni Moubarak en Algérie témoigne, si besoin est, du retour à la normale des relations algéro-égyptiennes et il faudra donc s’attendre à plus de concret de la part des Egyptiens à commencer par cette fameuse décision du Comité olympique égyptien de boycotter toute compétition où se trouverait les Algériens...
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