Le nombre de personnes atteintes du Sida et de séropositifs enregistrés en Algérie est de l’ordre de 6615 cas, a déclaré aujourd’hui à l’APS, le directeur de la prévention au ministère de la Santé, le professeur Smaïl Mesbah.
S’exprimant à la veille de la célébration de la journée mondiale de lutte contre le Sida (1er décembre), le professeur Mesbah a précisé que ces statistiques sont relatives à la période allant de 1985, date de l’apparition du premier cas dans le pays, au 30 septembre 2011.
Le Pr Mesbah a relevé que parmi les 6615 personnes, 1234 sont arrivées au stade de SIDA, c’est à dire que leurs défenses immunitaires ont connu une " chute brutale ", alors que " 600 nouveaux cas de séropositifs " s’ajoutent annuellement au bilan de cette maladie grave.
Le spécialiste a noté que grâce à la " riposte nationale multisectorielle ", conforme aux recommandations internationales auxquelles l’Algérie a adhéré, l’épidémie VIH/SIDA en Algérie demeure " peu active ", voire, a-t-il dit, " concentrée ".
Le directeur de la prévention a, en outre, indiqué que la prévalence de l’épidémie VIH/SIDA est de 0,1 % seulement en Algérie, relevant toutefois qu’en dépit de cet état de fait, " la vigilance doit rester de mise ".
Les mesures prises par l’état, a-t-il, fait savoir, s’inscrivent dans le cadre des " efforts " de prise en charge de la maladie et la limitation de sa propagation au sein des franges sociales, notamment juvénile.
Parmi les autres aspects positifs qui contribuent à enrayer la maladie, le spécialiste a cité " la prise en charge de la femme enceinte " pour éviter la transmission du virus à l’enfant.
S’agissant de la prévention de la transmission mère enfant (PTME), le Pr Mesbah a rappelé que celle-ci constitue, depuis 2008, une priorité " de premier plan ", dans la mesure où, a-t-il souligné, elle a fait l’objet d’un programme pilote suite à une consultation MSPRH/UNICEF (fond des nations unies pour l’enfance, ndlr).
Désormais, a-t-il assuré, les enfants, même nés de mères séropositives, peu vent ne pas être atteints par le VIH/SIDA, assurant que l’objectif " zéro cas " de nouveaux nés de mères séropositives est " à notre portée ".
Le Pr Mesbah a, par ailleurs, mis l’accent sur la nécessité de lutter contre la " stigmatisation " dont sont l’objet les malades du SIDA, rappelant l’existence d’une instruction ministérielle en vertu de laquelle toute personne peut accéder à la prévention et aux soins qu’elle que soit son statut.
S’exprimant à la veille de la célébration de la journée mondiale de lutte contre le Sida (1er décembre), le professeur Mesbah a précisé que ces statistiques sont relatives à la période allant de 1985, date de l’apparition du premier cas dans le pays, au 30 septembre 2011.
Le Pr Mesbah a relevé que parmi les 6615 personnes, 1234 sont arrivées au stade de SIDA, c’est à dire que leurs défenses immunitaires ont connu une " chute brutale ", alors que " 600 nouveaux cas de séropositifs " s’ajoutent annuellement au bilan de cette maladie grave.
Le spécialiste a noté que grâce à la " riposte nationale multisectorielle ", conforme aux recommandations internationales auxquelles l’Algérie a adhéré, l’épidémie VIH/SIDA en Algérie demeure " peu active ", voire, a-t-il dit, " concentrée ".
Le directeur de la prévention a, en outre, indiqué que la prévalence de l’épidémie VIH/SIDA est de 0,1 % seulement en Algérie, relevant toutefois qu’en dépit de cet état de fait, " la vigilance doit rester de mise ".
Les mesures prises par l’état, a-t-il, fait savoir, s’inscrivent dans le cadre des " efforts " de prise en charge de la maladie et la limitation de sa propagation au sein des franges sociales, notamment juvénile.
Parmi les autres aspects positifs qui contribuent à enrayer la maladie, le spécialiste a cité " la prise en charge de la femme enceinte " pour éviter la transmission du virus à l’enfant.
S’agissant de la prévention de la transmission mère enfant (PTME), le Pr Mesbah a rappelé que celle-ci constitue, depuis 2008, une priorité " de premier plan ", dans la mesure où, a-t-il souligné, elle a fait l’objet d’un programme pilote suite à une consultation MSPRH/UNICEF (fond des nations unies pour l’enfance, ndlr).
Désormais, a-t-il assuré, les enfants, même nés de mères séropositives, peu vent ne pas être atteints par le VIH/SIDA, assurant que l’objectif " zéro cas " de nouveaux nés de mères séropositives est " à notre portée ".
Le Pr Mesbah a, par ailleurs, mis l’accent sur la nécessité de lutter contre la " stigmatisation " dont sont l’objet les malades du SIDA, rappelant l’existence d’une instruction ministérielle en vertu de laquelle toute personne peut accéder à la prévention et aux soins qu’elle que soit son statut.