Le comédien algérien Lakhdar Boukhres, connu sous le nom de « Hadj Lakhdar » a déclaré hier à Echorouk que ce qui avait été rapporté sur son implication dans la mort d’un patient à l’hôpital de Kouba le 11 de ce mois-ci, ne repose sur rien et qu’il n’est pas du tout impliqué dans cette affaire.
Il convient de souligner que Hadj Lakhdar a filmé quelques scènes de son feuilleton « Clinique d'El Hadj Lakhdar » au niveau de l'hôpital sus-cité, lequel revient sur les problèmes rencontrés par les citoyens à leur admission à des établissements hospitaliers, à savoir notamment les erreurs médicales, le mauvais accueil et la négligence du personnel médical.
Il a dit que les scènes de son feuilleton prévu pour ce mois de ramadhan ont été enregistrées au niveau du service de rééducation de cet hôpital et c'était au mois de mai dernier et en l'espace de trois jours seulement.
Lakhdar Boukhres a précisé qu’à cette date du 11 juillet, la date à laquelle le patient a rendu l’âme, il était à l’étranger et plus exactement en Grande-Bretagne, ce qui veut dire qu’il n’est guère impliqué dans la mort de ce malade au niveau du service des urgences à l’hôpital de Kouba à Alger.
Il s’est d’ailleurs étonné par les accusations qui leur ont été reprochées par la sœur de la victime. Il a dit que s’il était à ce moment-là au niveau de ce service il aurait même agi pour sauver la vie de la victime.
Il convient de souligner que Hadj Lakhdar a filmé quelques scènes de son feuilleton « Clinique d'El Hadj Lakhdar » au niveau de l'hôpital sus-cité, lequel revient sur les problèmes rencontrés par les citoyens à leur admission à des établissements hospitaliers, à savoir notamment les erreurs médicales, le mauvais accueil et la négligence du personnel médical.
Il a dit que les scènes de son feuilleton prévu pour ce mois de ramadhan ont été enregistrées au niveau du service de rééducation de cet hôpital et c'était au mois de mai dernier et en l'espace de trois jours seulement.
Lakhdar Boukhres a précisé qu’à cette date du 11 juillet, la date à laquelle le patient a rendu l’âme, il était à l’étranger et plus exactement en Grande-Bretagne, ce qui veut dire qu’il n’est guère impliqué dans la mort de ce malade au niveau du service des urgences à l’hôpital de Kouba à Alger.
Il s’est d’ailleurs étonné par les accusations qui leur ont été reprochées par la sœur de la victime. Il a dit que s’il était à ce moment-là au niveau de ce service il aurait même agi pour sauver la vie de la victime.