C’est reparti. La Coordination nationale pour la démocratie et le changement (CNCD) a adopté dimanche 13 février la décision d’organiser une nouvelle marche à Alger samedi 19 février.
Le consensus autour d’une nouvelle manifestation s’est dégagé après une réunion tenue ce dimanche après-midi à Alger. Le principe d’une grève générale a été également retenu. Samedi 12 février, les autorités algériennes ont durement réprimée la marche initiée par la CNDC en déployant quelque 30 000 policiers autour de la capitale.
L’opposition accentue la presse. Une nouvelle marche à l’appel de la Coordination nationale pour la démocratie et le changement (CNCD) qui regroupe partis d’opposition, associations, syndicats autonomes, personnalités de la société civile, aura lieu samedi prochain à Alger.
La décision a été prise au terme d’une réunion qui a regroupé différentes composantes de la coordination.
La marche du 19 février aura lieu à la même heure, 11 heures du matin, et sur le même itinéraire : Place du 1er mai vers la Place des Martyrs.
La coordination s’est également entendue sur le principe d’une grève générale qui devrait paralyser le pays. Toutefois, cette initiative devrait être peaufinée en concertation avec les différents partenaires sociaux.
Mustapha Bouchachi, président de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH) et le porte-parole de la Coordination, indiquait hier que la mobilisation citoyenne contre le régime n’en est qu’à ses débuts.
« Les gens qui sont venues à la marche aujourd’hui ( samedi 12 février) nous disaient que 2011 serait l’année du changement et de la démocratisation en Algérie », a-t-il affirmé dans un entretien à DNA.
La marche pour le changement du système et pour la démocratie s’est heurtée samedi à un impressionnant dispositif policiers. Quelque 30 000 policiers ont été déployés autour de la capitale pour empêcher les manifestants de marcher.
Les manifestants, massés à la place 1er Mai, point de départ de la marche, scandant à tue-tête des slogans hostiles au régime, se sont vite retrouvés entre les mâchoires d’un étau, formé de plusieurs cordons de policiers antiémeutes.
Plus de 300 personnes ont été brutalement arrêtées par la police avant d’être relâchés. Parmi les interpellés figuraient des élus et des femmes.
dna
Le consensus autour d’une nouvelle manifestation s’est dégagé après une réunion tenue ce dimanche après-midi à Alger. Le principe d’une grève générale a été également retenu. Samedi 12 février, les autorités algériennes ont durement réprimée la marche initiée par la CNDC en déployant quelque 30 000 policiers autour de la capitale.
L’opposition accentue la presse. Une nouvelle marche à l’appel de la Coordination nationale pour la démocratie et le changement (CNCD) qui regroupe partis d’opposition, associations, syndicats autonomes, personnalités de la société civile, aura lieu samedi prochain à Alger.
La décision a été prise au terme d’une réunion qui a regroupé différentes composantes de la coordination.
La marche du 19 février aura lieu à la même heure, 11 heures du matin, et sur le même itinéraire : Place du 1er mai vers la Place des Martyrs.
La coordination s’est également entendue sur le principe d’une grève générale qui devrait paralyser le pays. Toutefois, cette initiative devrait être peaufinée en concertation avec les différents partenaires sociaux.
Mustapha Bouchachi, président de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH) et le porte-parole de la Coordination, indiquait hier que la mobilisation citoyenne contre le régime n’en est qu’à ses débuts.
« Les gens qui sont venues à la marche aujourd’hui ( samedi 12 février) nous disaient que 2011 serait l’année du changement et de la démocratisation en Algérie », a-t-il affirmé dans un entretien à DNA.
La marche pour le changement du système et pour la démocratie s’est heurtée samedi à un impressionnant dispositif policiers. Quelque 30 000 policiers ont été déployés autour de la capitale pour empêcher les manifestants de marcher.
Les manifestants, massés à la place 1er Mai, point de départ de la marche, scandant à tue-tête des slogans hostiles au régime, se sont vite retrouvés entre les mâchoires d’un étau, formé de plusieurs cordons de policiers antiémeutes.
Plus de 300 personnes ont été brutalement arrêtées par la police avant d’être relâchés. Parmi les interpellés figuraient des élus et des femmes.
dna