Sal Esposito, résidant à Boston, a été appelé ce mois-ci à faire partie du jury d’un procès. Une histoire tout à fait banale si cette personne n’était pas un chat, a rapporté lundi le New York Daily News.
«Sal est un membre de la famille donc je l’avais inscrit au dernier recensement sous la mention animal de compagnie, mais il y a eu une vraie confusion», a expliqué Anna Esposito, sa propriétaire, à WHDH, une chaîne de télévision locale.
Fan de séries policières
«J’ai lu la convocation et je me suis dit: "Oh mon Dieu, comment pourra-t-il y aller, c’est un chat!"», a-t-elle ajouté, tout aussi choquée que son mari, Guy, qui a précisé malgré tout que Sal était fan de séries policières et qu’il savait faire la différence entre «bon et mauvais».
Anna Esposito a alors tenté de faire retirer son chat de la liste des jurés au motif qu’il était «incapable de parler et de comprendre l’anglais». Elle a même inclus dans sa requête une lettre du vétérinaire de Sal pour confirmer qu’il ne s’agissait pas d’un humain, mais d’un «félin domestique castré au poil court», a précisé WHDH.
Mais le tribunal de Boston a rejeté les arguments de ses maîtres et Sal reste bel et bien convoqué pour le procès. «Comment pourra-t-il communiquer?», s’est alors interrogé le New York Daily News. Anna Esposito de répondre: «Il miaulera, sans doute».
«Sal est un membre de la famille donc je l’avais inscrit au dernier recensement sous la mention animal de compagnie, mais il y a eu une vraie confusion», a expliqué Anna Esposito, sa propriétaire, à WHDH, une chaîne de télévision locale.
Fan de séries policières
«J’ai lu la convocation et je me suis dit: "Oh mon Dieu, comment pourra-t-il y aller, c’est un chat!"», a-t-elle ajouté, tout aussi choquée que son mari, Guy, qui a précisé malgré tout que Sal était fan de séries policières et qu’il savait faire la différence entre «bon et mauvais».
Anna Esposito a alors tenté de faire retirer son chat de la liste des jurés au motif qu’il était «incapable de parler et de comprendre l’anglais». Elle a même inclus dans sa requête une lettre du vétérinaire de Sal pour confirmer qu’il ne s’agissait pas d’un humain, mais d’un «félin domestique castré au poil court», a précisé WHDH.
Mais le tribunal de Boston a rejeté les arguments de ses maîtres et Sal reste bel et bien convoqué pour le procès. «Comment pourra-t-il communiquer?», s’est alors interrogé le New York Daily News. Anna Esposito de répondre: «Il miaulera, sans doute».