La CAF, qui d’habitude traite dans les 48h qui suivent de tels faits, a «décidé» de renvoyer l’affaire JSK- Ahly, une fois la phase des poules terminée.
Jusqu’à quand la CAF sera-t-elle au service des Egyptiens? D’une manière directe ou indirecte, la Confédération africaine du football rend toujours service au football égyptien. Au sujet de l’agression des joueurs du Ahly du Caire, auteurs de l’agression perpétrée contre l’arbitre-assistant qui faisait partie du trio togolais à l’occasion du match aller JSK- Ahly, la CAF se dit prendre tout le temps pour trancher sur le cas. Alors que ses règlements sont clairs, la commission de discipline relevant de la CAF a visiblement décidé de ne pas traiter le cas sus-cité, au demeurant appuyé par un solide rapport de l’arbitre central togolais, non pas dans les 48h, mais plutôt au cours de la deuxième quinzaine du mois prochain. Et si c’est vraiment ce que vient de décider la plus haute instance africaine de football, il y a, une fois de plus, un énième parti- pris de sa part. Pourtant, les faits reprochés aux joueurs égyptiens du Ahly sont graves, et ne souffrent d’aucune contestation possible.
Les arbitres togolais, victimes d’une «agression physique caractérisée», et qui auraient pu connaître le pire, sans l’intervention énergique des personnes chargées de leur sécurité, ont bel et bien transmis leur rapport dans les temps impartis à leur «tutelle», en l’occurrence la CAF. Mais cette dernière, d’habitude si prompte à traiter dans les 48h qui suivent de tels faits, comme elle avait jugé utile de le faire au lendemain du match Ahly du Caire-Al Ismaïli, aurait «décidé» de renvoyer l’affaire JSK- Ahly, une fois la phase des poules terminée. Il s’agit d’un cadeau offert par l’instance de Hayatou à ses «amis» pour terminer ce premier tour avec tous ses joueurs. Car au minimum trois joueurs ahlaouis méritent d’être sanctionnés à la suite de l’agression de l’arbitre assistant.
La CAF a l’habitude d’étudier et de trancher, en moins de 48h, sur les rapports des arbitres. Or, cette fois-ci, elle va prendre tout son temps pour venir au secours du Ahly. Donc, une fois de plus, les «frères» du Caire auraient joué dans les coulisses, un jeu devenu coutumier, d’autant plus que la Confédération africaine de football est de longue date considérée comme leur «propre fédération».
Un siège de la CAF situé au niveau du Caire, a rarement joué en défaveur des Egyptiens, même lorsque ces derniers «commettaient» l’irréparable, comme cela a été le cas dernièrement à Tizi Ouzou. En prenant la décision de renvoyer aux calendes grecques un dossier en béton établi à partir des faits avérés et surtout flagrants, la commission de discipline de la CAF permet ainsi à l’équipe du Ahly du Caire d’agir en toute impunité sur un terrain de football. Ce qui est loin d’être le cas, quand il s’agit des clubs algériens, ou autres du Continent noir.
Ne pas «traiter» dans les temps impartis l’affaire des joueurs ahlaouis coupables de faits «hautement condamnables», notamment lorsqu’il s’agit «d’agression physique», c’est tout simplement interprété comme une autre «faiblesse» de la part de la CAF vis-à-vis des Egyptiens. Les joueurs sévèrement sanctionnés «sur-le-champ» pour avoir «franchi le rubicond», comme viennent de le faire au stade du 1er-Novembre de Tizi Ouzou, les Chawki et consorts, sont légion au niveau africain. Malheureusement, dès qu’il s’agit de faire passer sur le banc des «accusés» un joueur égyptien, la Confédération africaine de football devient subitement «hésitante».
D’ailleurs, sa «partialité» à l’égard de l’Egypte ne date pas d’aujourd’hui, et c’est certainement pas demain que les choses vont changer tant que le siège de l’auguste instance africaine de football «résidera» dans la capitale égyptienne.
l'expression
Jusqu’à quand la CAF sera-t-elle au service des Egyptiens? D’une manière directe ou indirecte, la Confédération africaine du football rend toujours service au football égyptien. Au sujet de l’agression des joueurs du Ahly du Caire, auteurs de l’agression perpétrée contre l’arbitre-assistant qui faisait partie du trio togolais à l’occasion du match aller JSK- Ahly, la CAF se dit prendre tout le temps pour trancher sur le cas. Alors que ses règlements sont clairs, la commission de discipline relevant de la CAF a visiblement décidé de ne pas traiter le cas sus-cité, au demeurant appuyé par un solide rapport de l’arbitre central togolais, non pas dans les 48h, mais plutôt au cours de la deuxième quinzaine du mois prochain. Et si c’est vraiment ce que vient de décider la plus haute instance africaine de football, il y a, une fois de plus, un énième parti- pris de sa part. Pourtant, les faits reprochés aux joueurs égyptiens du Ahly sont graves, et ne souffrent d’aucune contestation possible.
Les arbitres togolais, victimes d’une «agression physique caractérisée», et qui auraient pu connaître le pire, sans l’intervention énergique des personnes chargées de leur sécurité, ont bel et bien transmis leur rapport dans les temps impartis à leur «tutelle», en l’occurrence la CAF. Mais cette dernière, d’habitude si prompte à traiter dans les 48h qui suivent de tels faits, comme elle avait jugé utile de le faire au lendemain du match Ahly du Caire-Al Ismaïli, aurait «décidé» de renvoyer l’affaire JSK- Ahly, une fois la phase des poules terminée. Il s’agit d’un cadeau offert par l’instance de Hayatou à ses «amis» pour terminer ce premier tour avec tous ses joueurs. Car au minimum trois joueurs ahlaouis méritent d’être sanctionnés à la suite de l’agression de l’arbitre assistant.
La CAF a l’habitude d’étudier et de trancher, en moins de 48h, sur les rapports des arbitres. Or, cette fois-ci, elle va prendre tout son temps pour venir au secours du Ahly. Donc, une fois de plus, les «frères» du Caire auraient joué dans les coulisses, un jeu devenu coutumier, d’autant plus que la Confédération africaine de football est de longue date considérée comme leur «propre fédération».
Un siège de la CAF situé au niveau du Caire, a rarement joué en défaveur des Egyptiens, même lorsque ces derniers «commettaient» l’irréparable, comme cela a été le cas dernièrement à Tizi Ouzou. En prenant la décision de renvoyer aux calendes grecques un dossier en béton établi à partir des faits avérés et surtout flagrants, la commission de discipline de la CAF permet ainsi à l’équipe du Ahly du Caire d’agir en toute impunité sur un terrain de football. Ce qui est loin d’être le cas, quand il s’agit des clubs algériens, ou autres du Continent noir.
Ne pas «traiter» dans les temps impartis l’affaire des joueurs ahlaouis coupables de faits «hautement condamnables», notamment lorsqu’il s’agit «d’agression physique», c’est tout simplement interprété comme une autre «faiblesse» de la part de la CAF vis-à-vis des Egyptiens. Les joueurs sévèrement sanctionnés «sur-le-champ» pour avoir «franchi le rubicond», comme viennent de le faire au stade du 1er-Novembre de Tizi Ouzou, les Chawki et consorts, sont légion au niveau africain. Malheureusement, dès qu’il s’agit de faire passer sur le banc des «accusés» un joueur égyptien, la Confédération africaine de football devient subitement «hésitante».
D’ailleurs, sa «partialité» à l’égard de l’Egypte ne date pas d’aujourd’hui, et c’est certainement pas demain que les choses vont changer tant que le siège de l’auguste instance africaine de football «résidera» dans la capitale égyptienne.
l'expression