Six vols sur onze prévus mercredi à destination de la France ont été annulés en raison de la grève des contrôleurs aériens français. “Il n’y aura aucun avion sur Lyon aujourd’hui. On s’adapte à la situation. Les 2.000 passagers des six vols annulés seront pris en charge. La grève est un moyen de chantage. On prend les passagers en otages. Air Algérie ne laissera pas tomber les voyageurs qui ont payé cher pour passer des vacances dans le pays”, a déclaré Abdewahid Bouabdallah, président directeur général d’Air Algérie, invité mercredi de la chaîne III de la radio nationale.
Selon lui, la procédure “Ready to go” (prêt à partir) a été engagée. “Une cellule de crise a été installé. Sur chaque vol nous avons mis deux équipages qui couvrent la journée pour être prêt à tout moment à embarquer les passagers à destination de la France. Des passagers pris en charge sur le plan de la restauration et de l’information”, a-t-il précisé. Le PDG d’Air Algérie a reconnu l’existence “d’un gros problème” d’information au niveau de la compagnie. “Nous allons mettre en place des capacités additionnelles. Les avions qui ne vont pas être utilisés sur la plateforme parisienne vont être utilisés ailleurs.”, a-t-il précisé.
A l'aéroport parisien d'Orly, 50% des vols ont été annulés mercredi. Les aiguilleurs du ciel français refusent un projet européen de fusion du contrôle aérien. “Cette saison a été pénible pour nos passagers. Nous avons battu tous les records en matière de retards. Ce n’est pas dû à la volonté d’Air Algérie”, a souligné Abdelwahid Bouabdallah. Il a expliqué cela par des perturbations en matière d’acquisition de capacité additionnelle d’affrêtement liées à “des problèmes admnistratifs” et aux délais lents de réparation des pannes en raison d’un approvisionement de pièces détachées moins rapide. “La procudure est devenue compliquée depuis la promulgation de la loi de finances complémentaire 2009. On a introduit des demandes auprès du gouvernement pour essayer de régler le problème d’approvisionnement en pièces détachées", a-t-il assuré.
Selon lui, la procédure “Ready to go” (prêt à partir) a été engagée. “Une cellule de crise a été installé. Sur chaque vol nous avons mis deux équipages qui couvrent la journée pour être prêt à tout moment à embarquer les passagers à destination de la France. Des passagers pris en charge sur le plan de la restauration et de l’information”, a-t-il précisé. Le PDG d’Air Algérie a reconnu l’existence “d’un gros problème” d’information au niveau de la compagnie. “Nous allons mettre en place des capacités additionnelles. Les avions qui ne vont pas être utilisés sur la plateforme parisienne vont être utilisés ailleurs.”, a-t-il précisé.
A l'aéroport parisien d'Orly, 50% des vols ont été annulés mercredi. Les aiguilleurs du ciel français refusent un projet européen de fusion du contrôle aérien. “Cette saison a été pénible pour nos passagers. Nous avons battu tous les records en matière de retards. Ce n’est pas dû à la volonté d’Air Algérie”, a souligné Abdelwahid Bouabdallah. Il a expliqué cela par des perturbations en matière d’acquisition de capacité additionnelle d’affrêtement liées à “des problèmes admnistratifs” et aux délais lents de réparation des pannes en raison d’un approvisionement de pièces détachées moins rapide. “La procudure est devenue compliquée depuis la promulgation de la loi de finances complémentaire 2009. On a introduit des demandes auprès du gouvernement pour essayer de régler le problème d’approvisionnement en pièces détachées", a-t-il assuré.