Optimiser la protection des personnes âgées … C’est là l’une des préoccupations majeures abordée par le Conseil des ministres, sachant que cette frange compte aujourd’hui pas moins de 2 millions de personnes, sur une population algérienne totale de 35 millions, et qu’ils seront 6 millions à l’horizon 2030.
Plusieurs mesures dont l'assistance à domicile, des foyers d'accueil et des retraites plus élevées ont été adoptées par la réunion présidée par le chef de l’Etat.
Le texte entériné par le Conseil vise, en fait, la prise en charge des personnes âgées dans un cadre familial, d'abord en rappelant les obligations légales de leurs descendants directs, ensuite en établissant le principe d'une aide de l'Etat aux familles démunies pour la prise en charge de leurs membres âgés, et, enfin, en étendant, le cas échéant, ce soutien public aux familles d'accueil sans lien de parenté avec les personnes âgées démunies.
Il s’appuie également sur la protection et l'assistance de l'Etat au bénéfice des personnes âgées en situation de vulnérabilité, ainsi que leur assistance en matière de soins, d'aide sociale et d'activités spécifiques. Enfin, il précise davantage les conditions d'ouverture et de gestion des établissements spécialisés, publics ou privés, destinés aux personnes âgées.
Pour rappel, le monde dont l’Algérie célèbre, chaque année, la journée internationale des personnes âgées et la journée mondiale de la maltraitance des personnes âgées. Dans le cadre de ce Conseil et au vu des mesures prises antérieurement, le Gouvernement fait part d’une intention d’accorder prioritairement une attention particulière à ces personnes.
Dans une population composée de jeunes majoritairement on à tendance un peu a oublier cette catégorie ; c’est pourquoi les pouvoirs publics veulent faire valoir une meilleure vie à cette catégorie sociale en lui préservant ses droits et en en l’aidant dans son quotidien.
Cela d’autant plus que le respect et l’égard en direction des personnes âgées fait partie des valeurs nationales du pays. "Nos valeurs spirituelles et civilisationnelles exigent de l'Etat qu'il ne ménage aucun effort pour mettre un terme à l'abandon des personnes âgées dans des centres de vieillesse, en faisant observer par les enfants leur devoir de prendre soin de leurs ascendants, en apportant une aide publique aux familles des personnes âgées lorsque celles-ci sont démunies, ou même en encourageant, y compris financièrement, des familles disposées à accueillir des personnes âgées démunies qui n'ont plus de proches", a souligné le Chef de l'Etat, au cours de cette réunion.
Et de ponctuer : "Dans le même temps, l'allongement de l'espérance de vie qui progresse dans notre pays dicte aux pouvoirs publics de renforcer le réseau des centres publics spécialisés de soins et d'accompagnement des personnes âgées, de former, en nombre suffisant, un personnel d'accueil et de soins de qualité et d'encourager les intervenants privés et la société civile à s'investir dans ce domaine qui doit être régulé et contrôlé par la puissance publique".
Nadjib Hadded "L'Authentique"
Plusieurs mesures dont l'assistance à domicile, des foyers d'accueil et des retraites plus élevées ont été adoptées par la réunion présidée par le chef de l’Etat.
Le texte entériné par le Conseil vise, en fait, la prise en charge des personnes âgées dans un cadre familial, d'abord en rappelant les obligations légales de leurs descendants directs, ensuite en établissant le principe d'une aide de l'Etat aux familles démunies pour la prise en charge de leurs membres âgés, et, enfin, en étendant, le cas échéant, ce soutien public aux familles d'accueil sans lien de parenté avec les personnes âgées démunies.
Il s’appuie également sur la protection et l'assistance de l'Etat au bénéfice des personnes âgées en situation de vulnérabilité, ainsi que leur assistance en matière de soins, d'aide sociale et d'activités spécifiques. Enfin, il précise davantage les conditions d'ouverture et de gestion des établissements spécialisés, publics ou privés, destinés aux personnes âgées.
Pour rappel, le monde dont l’Algérie célèbre, chaque année, la journée internationale des personnes âgées et la journée mondiale de la maltraitance des personnes âgées. Dans le cadre de ce Conseil et au vu des mesures prises antérieurement, le Gouvernement fait part d’une intention d’accorder prioritairement une attention particulière à ces personnes.
Dans une population composée de jeunes majoritairement on à tendance un peu a oublier cette catégorie ; c’est pourquoi les pouvoirs publics veulent faire valoir une meilleure vie à cette catégorie sociale en lui préservant ses droits et en en l’aidant dans son quotidien.
Cela d’autant plus que le respect et l’égard en direction des personnes âgées fait partie des valeurs nationales du pays. "Nos valeurs spirituelles et civilisationnelles exigent de l'Etat qu'il ne ménage aucun effort pour mettre un terme à l'abandon des personnes âgées dans des centres de vieillesse, en faisant observer par les enfants leur devoir de prendre soin de leurs ascendants, en apportant une aide publique aux familles des personnes âgées lorsque celles-ci sont démunies, ou même en encourageant, y compris financièrement, des familles disposées à accueillir des personnes âgées démunies qui n'ont plus de proches", a souligné le Chef de l'Etat, au cours de cette réunion.
Et de ponctuer : "Dans le même temps, l'allongement de l'espérance de vie qui progresse dans notre pays dicte aux pouvoirs publics de renforcer le réseau des centres publics spécialisés de soins et d'accompagnement des personnes âgées, de former, en nombre suffisant, un personnel d'accueil et de soins de qualité et d'encourager les intervenants privés et la société civile à s'investir dans ce domaine qui doit être régulé et contrôlé par la puissance publique".
Nadjib Hadded "L'Authentique"