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On pouvait s'y attendre. Après la débâcle qu'a connu le Brésil en quarts de finale de la coupe du Monde contre les Pays-Bas, la fédération brésilienne a décidé de remercier le sélectionneur, Dunga.
La méthode employée, le jeu développé par le Brésil, des choix discutables comme celui de laisser Ronaldinho et Pato à la maison, et enfin une élimination précoce lors du mondial auront finalement eu raison de Dunga. Pas épargné par la presse, il n'aura pas non plus eu la clémence de la fédération brésilienne qui vient de déclarer officiellement son renvoi : "le cycle de travail qui a commencé en août 2006, s'est terminé avec l'élimination du Brésil en Coupe du monde en Afrique du Sud. Le CBF annonce que le comité technique de l'équipe nationale a été libéré. Le nouveau comité technique sera annoncé vers la fin du mois de juillet".
Dès sa prise de fonction, Dunga n'a pas manqué de se faire critiquer pour ses choix résolument défensifs. Son Brésil, trop strict et rigoureux, aura finalement joué à contre nature. Après l'échec de la Séléçao lors de la coupe du Monde 2006, sortie au même stade de la compétition face à la France, Dunga avait été nommé à la tête de la sélection. Son constat était clair : si le Brésil avait échoué, c'est parce qu'il avait été trop joueur. Fini donc le football champagne prôné par l'ex sélectionneur Alberto Parreira. Place à la rigueur tactique.
Une reconstruction en vue du Mondial 2014 au Brésil
Au final, ce fut un nouvel échec. Force est de constater que le Brésil n'aura jamais été brillant lors de ce mondial 2010. Poussif face à la Corée du Nord, apathique face au Portugal, le Brésil n'aura eu qu'un soupçon de folie lors du match contre le Chilie, remporté 3-0. Pire, le jeu développé par la Séléçao ne reflétait plus l'identité brésilienne. C'est donc sans surprise que Dunga est démis de ses fonctions aujourd'hui, alors que se profile le mondial 2014 qui aura lieu au Brésil.
Les premiers noms pour lui succéder commence à sortir. Parmi les pistes les plus crédibles, on évoque notamment l'arrivée de Scolari, Leonardo ou de l'actuel coach des Corinthians, Mano Menezes. Muricy Ramalho ou Vanderlei Luxemburgo pourraient, quant à eux, créer la surprise en étant només à la tête de la Séléçao.
goal.com
La méthode employée, le jeu développé par le Brésil, des choix discutables comme celui de laisser Ronaldinho et Pato à la maison, et enfin une élimination précoce lors du mondial auront finalement eu raison de Dunga. Pas épargné par la presse, il n'aura pas non plus eu la clémence de la fédération brésilienne qui vient de déclarer officiellement son renvoi : "le cycle de travail qui a commencé en août 2006, s'est terminé avec l'élimination du Brésil en Coupe du monde en Afrique du Sud. Le CBF annonce que le comité technique de l'équipe nationale a été libéré. Le nouveau comité technique sera annoncé vers la fin du mois de juillet".
Dès sa prise de fonction, Dunga n'a pas manqué de se faire critiquer pour ses choix résolument défensifs. Son Brésil, trop strict et rigoureux, aura finalement joué à contre nature. Après l'échec de la Séléçao lors de la coupe du Monde 2006, sortie au même stade de la compétition face à la France, Dunga avait été nommé à la tête de la sélection. Son constat était clair : si le Brésil avait échoué, c'est parce qu'il avait été trop joueur. Fini donc le football champagne prôné par l'ex sélectionneur Alberto Parreira. Place à la rigueur tactique.
Une reconstruction en vue du Mondial 2014 au Brésil
Au final, ce fut un nouvel échec. Force est de constater que le Brésil n'aura jamais été brillant lors de ce mondial 2010. Poussif face à la Corée du Nord, apathique face au Portugal, le Brésil n'aura eu qu'un soupçon de folie lors du match contre le Chilie, remporté 3-0. Pire, le jeu développé par la Séléçao ne reflétait plus l'identité brésilienne. C'est donc sans surprise que Dunga est démis de ses fonctions aujourd'hui, alors que se profile le mondial 2014 qui aura lieu au Brésil.
Les premiers noms pour lui succéder commence à sortir. Parmi les pistes les plus crédibles, on évoque notamment l'arrivée de Scolari, Leonardo ou de l'actuel coach des Corinthians, Mano Menezes. Muricy Ramalho ou Vanderlei Luxemburgo pourraient, quant à eux, créer la surprise en étant només à la tête de la Séléçao.
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