Bien plus qu'une offrande onéreuse, une pensée affective, un mot doux, suffisent pour combler cet être cher, le plus cher, en ce jour béni qui fête les mamans du monde entier.
La fête des mères fait partie de ces fêtes qui ne nécessitent pas de se ruiner pour apporter beaucoup de bonheur. Du dessin naïf exécuté par les petites mains du tout dernier à la crèche, au beau cadeau qui a rassemblé sa progéniture pour l'acheter, en passant par le bouquet de fleurs ramené le soir par la fille chérie, appelée elle-même à devenir maman un jour, ce qui réchauffe surtout le cœur de cet être sensible, c'est de n'être pas oublié.
Plus que toute autre, notre religion reconnaît l'importance et la valeur de la mère, au point " de placer le Paradis sous ses pieds ". Quelle meilleure reconnaissance au sacrifice de celle qui donne la vie, qui apaise la douleur de ses enfants, qui éduque les générations. La mère c'est tout cela et plus encore.
L'épaule la plus large pour venir pleurer son chagrin, c'est elle. Les mains les plus douces pour calmer toutes les douleurs et la tombe capable de taire les secrets les plus intimes, c'est encore elle. Le cœur le plus gros pour aimer de la même façon un enfant unique ou dix, c'est toujours elle. Celle dont la perte est la plus difficile à vivre, c'est enfin elle. Comme le dit un dicton bien de chez nous: "
Si vous perdez le père, il vous reste la mère, si vous perdez la mère, il ne vous reste plus rien ". La mère est unique et irremplaçable. Lui dire, chaque jour son amour et sa tendresse, n'est jamais de trop, même en dehors de cette rituelle fête des mères, que la fin mai n'oublie jamais de nous offrir !
La fête des mères fait partie de ces fêtes qui ne nécessitent pas de se ruiner pour apporter beaucoup de bonheur. Du dessin naïf exécuté par les petites mains du tout dernier à la crèche, au beau cadeau qui a rassemblé sa progéniture pour l'acheter, en passant par le bouquet de fleurs ramené le soir par la fille chérie, appelée elle-même à devenir maman un jour, ce qui réchauffe surtout le cœur de cet être sensible, c'est de n'être pas oublié.
Plus que toute autre, notre religion reconnaît l'importance et la valeur de la mère, au point " de placer le Paradis sous ses pieds ". Quelle meilleure reconnaissance au sacrifice de celle qui donne la vie, qui apaise la douleur de ses enfants, qui éduque les générations. La mère c'est tout cela et plus encore.
L'épaule la plus large pour venir pleurer son chagrin, c'est elle. Les mains les plus douces pour calmer toutes les douleurs et la tombe capable de taire les secrets les plus intimes, c'est encore elle. Le cœur le plus gros pour aimer de la même façon un enfant unique ou dix, c'est toujours elle. Celle dont la perte est la plus difficile à vivre, c'est enfin elle. Comme le dit un dicton bien de chez nous: "
Si vous perdez le père, il vous reste la mère, si vous perdez la mère, il ne vous reste plus rien ". La mère est unique et irremplaçable. Lui dire, chaque jour son amour et sa tendresse, n'est jamais de trop, même en dehors de cette rituelle fête des mères, que la fin mai n'oublie jamais de nous offrir !