OMC : l’Algérie n’est pas pressée d’adhérer
Sonia Lyes
L’Algérie n’est pas pressée à l’idée d’intégrer l’Organisation mondiale du commerce (OMC), a indiqué, mardi 29 juin à Alger, Mustapha Benabada, ministre du Commerce. « Nous avons répondu aux 96 questions émanant de l'Union européenne et des Etats-Unis, mais nous ne sommes pas pressés d'adhérer à cette organisation », a déclaré M. Benbada qui s’exprimait en marge de la présentation du projet de loi sur la concurrence à l'Assemblée nationale.
« On souhaite adhérer avec les conditions qui vont dans le sens de nos intérêts économiques », a-t-il ajouté. Selon lui, la conjoncture internationale actuelle est favorable à l’Algérie.
Depuis le début du processus de négociations entamé à la fin des années 80, l’Algérie a eu à répondre à 1600 questions relatives à son système économique. Selon de nombreux spécialistes, les négociations et une éventuelle adhésion vont continuer à buter sur la question du prix du gaz sur le marché domestique et celle des services notamment l’audiovisuel sur lequel l’Algérie n’est pas disposée à faire un geste.
Sonia Lyes
L’Algérie n’est pas pressée à l’idée d’intégrer l’Organisation mondiale du commerce (OMC), a indiqué, mardi 29 juin à Alger, Mustapha Benabada, ministre du Commerce. « Nous avons répondu aux 96 questions émanant de l'Union européenne et des Etats-Unis, mais nous ne sommes pas pressés d'adhérer à cette organisation », a déclaré M. Benbada qui s’exprimait en marge de la présentation du projet de loi sur la concurrence à l'Assemblée nationale.
« On souhaite adhérer avec les conditions qui vont dans le sens de nos intérêts économiques », a-t-il ajouté. Selon lui, la conjoncture internationale actuelle est favorable à l’Algérie.
Depuis le début du processus de négociations entamé à la fin des années 80, l’Algérie a eu à répondre à 1600 questions relatives à son système économique. Selon de nombreux spécialistes, les négociations et une éventuelle adhésion vont continuer à buter sur la question du prix du gaz sur le marché domestique et celle des services notamment l’audiovisuel sur lequel l’Algérie n’est pas disposée à faire un geste.