Quelque 145 personnes âgées de 11 à 75 ans ont participé dimanche matin sur une plage de Fouesnant, dans le Finistère, à la «baignade des otaries» organisée traditionnellement entre Noël et le Nouvel an, a constaté l'AFP. Le thermomètre de l'eau marquait cinq degrés, et celui de l'air ne dépassait guère zéro degré, faisant de cette édition une des plus froides. En 2009, avec une eau à huit degrés, 220 courageux s'étaient jetés à l'eau.
Pour des raisons de sécurité, la baignade, surveillée par les sauveteurs de la SNSM et les pompiers était limitée à 15 minutes, mais la plupart des «otaries» ne sont restées que quelques minutes dans l'eau avant de profiter du café et du vin chaud offert par les organisateurs. «C'est génial, ça ravigote, ça élimine toutes les toxines du réveillon, j'ai même pas froid», s'est exclamée Michèle, 46 ans, seule «otarie» à être restée un quart d'heure dans l'eau.
Un défi
«C'est un bon vaccin anti-grippe», a ajouté Odette, 75 ans, la doyenne de cette édition, qui se baigne régulièrement tout au long de l'année, quelle que soit la température. Plusieurs baigneurs avaient endossé une combinaison, mais les plus courageux, se sont élancés torse nu, parfois déguisés en père Noël, voire en pingouins, après s'être échauffés sur un air de cornemuse.
«C'est un défi qu'on s'est lancé, pour nous c'est une première», a indiqué un des «pingouins». A la sortie du bain, les commentaires rapides des baigneurs insistaient sur le caractère «psychologique de l'épreuve».
«Tout est dans la tête, quand le corps lache, c'est la tête qui commande», a souligné Michel, un marathonien. «On l'a fait, je ne sens plus mes jambes, tout ça, c'est mental. Le plus dur, c'est pas de rentrer, c'est de rester», ont déclaré plusieurs baigneurs frigorifiés, mais visiblement heureux d'avoir réussi leur défi.
AFP
Pour des raisons de sécurité, la baignade, surveillée par les sauveteurs de la SNSM et les pompiers était limitée à 15 minutes, mais la plupart des «otaries» ne sont restées que quelques minutes dans l'eau avant de profiter du café et du vin chaud offert par les organisateurs. «C'est génial, ça ravigote, ça élimine toutes les toxines du réveillon, j'ai même pas froid», s'est exclamée Michèle, 46 ans, seule «otarie» à être restée un quart d'heure dans l'eau.
Un défi
«C'est un bon vaccin anti-grippe», a ajouté Odette, 75 ans, la doyenne de cette édition, qui se baigne régulièrement tout au long de l'année, quelle que soit la température. Plusieurs baigneurs avaient endossé une combinaison, mais les plus courageux, se sont élancés torse nu, parfois déguisés en père Noël, voire en pingouins, après s'être échauffés sur un air de cornemuse.
«C'est un défi qu'on s'est lancé, pour nous c'est une première», a indiqué un des «pingouins». A la sortie du bain, les commentaires rapides des baigneurs insistaient sur le caractère «psychologique de l'épreuve».
«Tout est dans la tête, quand le corps lache, c'est la tête qui commande», a souligné Michel, un marathonien. «On l'a fait, je ne sens plus mes jambes, tout ça, c'est mental. Le plus dur, c'est pas de rentrer, c'est de rester», ont déclaré plusieurs baigneurs frigorifiés, mais visiblement heureux d'avoir réussi leur défi.
AFP