La mort par électrocution du jeune Salah Boumaâza, un lycéen âgé de 17ans, le 4 novembre dernier, à Oum El-Bouaghi, vient de connaître un nouveau rebondissement. La famille de la victime a déposé une plainte auprès du procureur de la République près le tribunal de Aïn Beïda, pour ouvrir une enquête et faire toute la lumière sur la mort du jeune Salah.
Ce dernier est, rappelons-le, décédé, au début du mois de novembre, après avoir été victime d’une électrocution qui lui a coûté la vie.
La famille de la victime, soutenue par l’association de quartier haï El-Jadid, avec une requête signée par 150 habitants, fait part de plusieurs correspondances écrites adressées à l’agence Sonelgaz de Aïn Beïda ainsi qu’aux responsables locaux, les informant de la présence d’un poteau électrique défectueux, situé à l’intersection de la rue Rahmani-Allaoua et la rue Yousfi-Mostefa de la cité haï El-Jadid, et qui constitue un danger permanent sur la vie des riverains. Le poteau en question comporte, en effet, des fils sans protection et dégage des étincelles électriques et des masses, notamment en période de pluie.
De son côté, la direction de Sonelgaz de la wilaya d’Oum El-Bouaghi, selon un document parvenu à notre rédaction, explique que la mort du lycéen est due à un contact avec un support de réseau électrique basse tension.
Il a été ainsi procédé à la mise hors service du réseau d’éclairage, géré par les services de la commune.
Une enquête ouverte par les services de Sonelgaz a, dans le même sillage, déterminé que la fuite du courant électrique qui a causé la mort du lycéen de la victime, est due au fait que le câble de l’éclairage public était détérioré ainsi que le bas du fourreau métallique protégeant le câble en question. L’accident aurait pu être évité si la protection électrique de l’éclairage public était adéquate, selon les éléments de l’enquête.
La protection n’était, en fait, assurée que par quelques coupe-courant et non par un disjoncteur différentiel qui peut être dé-enclenché au moindre court-circuit.
Par ailleurs, des sources concordantes ont affirmé, hier, que le personnel des services de l’APC, ont été auditionnés par les services de sécurité, ainsi que les responsables de l’entreprise Sonelgaz de Aïn Beïda.
libertè
Ce dernier est, rappelons-le, décédé, au début du mois de novembre, après avoir été victime d’une électrocution qui lui a coûté la vie.
La famille de la victime, soutenue par l’association de quartier haï El-Jadid, avec une requête signée par 150 habitants, fait part de plusieurs correspondances écrites adressées à l’agence Sonelgaz de Aïn Beïda ainsi qu’aux responsables locaux, les informant de la présence d’un poteau électrique défectueux, situé à l’intersection de la rue Rahmani-Allaoua et la rue Yousfi-Mostefa de la cité haï El-Jadid, et qui constitue un danger permanent sur la vie des riverains. Le poteau en question comporte, en effet, des fils sans protection et dégage des étincelles électriques et des masses, notamment en période de pluie.
De son côté, la direction de Sonelgaz de la wilaya d’Oum El-Bouaghi, selon un document parvenu à notre rédaction, explique que la mort du lycéen est due à un contact avec un support de réseau électrique basse tension.
Il a été ainsi procédé à la mise hors service du réseau d’éclairage, géré par les services de la commune.
Une enquête ouverte par les services de Sonelgaz a, dans le même sillage, déterminé que la fuite du courant électrique qui a causé la mort du lycéen de la victime, est due au fait que le câble de l’éclairage public était détérioré ainsi que le bas du fourreau métallique protégeant le câble en question. L’accident aurait pu être évité si la protection électrique de l’éclairage public était adéquate, selon les éléments de l’enquête.
La protection n’était, en fait, assurée que par quelques coupe-courant et non par un disjoncteur différentiel qui peut être dé-enclenché au moindre court-circuit.
Par ailleurs, des sources concordantes ont affirmé, hier, que le personnel des services de l’APC, ont été auditionnés par les services de sécurité, ainsi que les responsables de l’entreprise Sonelgaz de Aïn Beïda.
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