Stade : Josy-Barthel (Luxembourg)
Affluence : nombreuse
Arbitres : Stippel, Schiffner, Hofmann
Luxembourg : Joubert, Kintziger, Blaise, Hoffman, Schnell, Kettenmeyer (Damota 46’), Joachim (Martino 64’), Bettmer, Payal, Leweck (Janisch 83’), Mutsch
Entraîneur : Holtz
Algérie : Mbolhi (Zemmamouche 87’), Mustapha (Meftah 70’), Mesbah, Yahia, Medjani, Lemouchia, Lacen (Metref 70’), Boudebouz, Ziani (Aoudia 76’), Djabou (Mesloub) (46’), Benyamina (Zerdab 80’)
Entraîneur : Benchikha
Le Luxembourg et l’Algérie se sont séparés sur un score vierge. S’il est vrai que les Verts ont outrageusement dominé un match qui a presque tourné à sens unique, il n’en demeure pas moins que l’efficacité offensive a fait défaut. Encore une fois. En gros, pour résumer la situation, les rôles ont été en quelque sorte inversés, hier soir, au Josy-Barthel Stadium. L’Algérie, qui s’était organisée en 4-2-3-1 de manière à asseoir une domination technique, d’un côté. De l’autre, le Luxembourg qui a cherché à jouer à l’italienne avec une équipe ultra défensive. Techniquement plus à l’aise, les Algériens n’ont pas mis beaucoup de temps pour asseoir leur domination, même si qualité jeu, ce n’est pas encore l’Amérique ! Ceci, il faut bien le noter. Il est vrai que le ballon a circulé de manière fluide entre les trois lignes par moments, seulement, face à une équipe qui attendait à huit derrière, ce n’était pas évident ! Qu’à cela ne tienne, le sélectionneur national s’est endormi avec bien des certitudes. Notamment en ce qui concerne certains nouveaux qui ont été mis dans le bain à l’occasion de ce match. Si Benyamina était resté un peu timide devant- conséquence du système à une pointe- Mehdi Mostefa, Meftah, Metref à plus forte raison ont donné bien des raisons à Abdelhak Benchikha de les reconduire, en prévision des échéances futures. C’est, en fait, le but du jeu. Tester de nouveaux éléments. «Le Général», qui entamait sa révolution par l’éviction de plusieurs «vieux éléphants» et la sélection des nouveaux débarqués, faisait de ce match face au Luxembourg un point de départ. Privé de Halliche, Bougherra, Matmour et de Yabda, Benchikha a dû revoir ses choix en fonction des indisponibilités. Le fait de s’être lancé dans une politique de renouveau fait que ce serait vraiment inopportun de se mettre ici à juger la prestation d’ensemble d’un onze qui vient à peine de faire connaissance. Il faudra du temps pour que la mayonnaise prenne. S’il est vrai que du temps, Benchikha n’en a pas beaucoup, il n’en demeure pas moins qu’il n’y a pas de raison de le presser. Ce que l’on notera du match d’hier soir, en définitive, c’est que ceux qui revendiquaient du nouveau ont été copieusement servis. Pas moins de six «bleus» ont été mis dans le bain avec des degrés de satisfaction différents, même si dans l’ensemble, ils ont rendu une copie plus satisfaisante. Après, il faudra attendre de les voir dans d’autres échéances avant de tirer les conclusions. Autre fait saillant : la stérilité ! L’Algérie n’a, encore une fois, pas marqué. La faute à qui ? Peut-être à un adversaire qui a joué pour ne pas perdre. A une jambe qui vient dégager à l’emporte-pièce. Car, il y a eu quand même des occasions de scorer. A travailler.
lebuteur
Affluence : nombreuse
Arbitres : Stippel, Schiffner, Hofmann
Luxembourg : Joubert, Kintziger, Blaise, Hoffman, Schnell, Kettenmeyer (Damota 46’), Joachim (Martino 64’), Bettmer, Payal, Leweck (Janisch 83’), Mutsch
Entraîneur : Holtz
Algérie : Mbolhi (Zemmamouche 87’), Mustapha (Meftah 70’), Mesbah, Yahia, Medjani, Lemouchia, Lacen (Metref 70’), Boudebouz, Ziani (Aoudia 76’), Djabou (Mesloub) (46’), Benyamina (Zerdab 80’)
Entraîneur : Benchikha
Le Luxembourg et l’Algérie se sont séparés sur un score vierge. S’il est vrai que les Verts ont outrageusement dominé un match qui a presque tourné à sens unique, il n’en demeure pas moins que l’efficacité offensive a fait défaut. Encore une fois. En gros, pour résumer la situation, les rôles ont été en quelque sorte inversés, hier soir, au Josy-Barthel Stadium. L’Algérie, qui s’était organisée en 4-2-3-1 de manière à asseoir une domination technique, d’un côté. De l’autre, le Luxembourg qui a cherché à jouer à l’italienne avec une équipe ultra défensive. Techniquement plus à l’aise, les Algériens n’ont pas mis beaucoup de temps pour asseoir leur domination, même si qualité jeu, ce n’est pas encore l’Amérique ! Ceci, il faut bien le noter. Il est vrai que le ballon a circulé de manière fluide entre les trois lignes par moments, seulement, face à une équipe qui attendait à huit derrière, ce n’était pas évident ! Qu’à cela ne tienne, le sélectionneur national s’est endormi avec bien des certitudes. Notamment en ce qui concerne certains nouveaux qui ont été mis dans le bain à l’occasion de ce match. Si Benyamina était resté un peu timide devant- conséquence du système à une pointe- Mehdi Mostefa, Meftah, Metref à plus forte raison ont donné bien des raisons à Abdelhak Benchikha de les reconduire, en prévision des échéances futures. C’est, en fait, le but du jeu. Tester de nouveaux éléments. «Le Général», qui entamait sa révolution par l’éviction de plusieurs «vieux éléphants» et la sélection des nouveaux débarqués, faisait de ce match face au Luxembourg un point de départ. Privé de Halliche, Bougherra, Matmour et de Yabda, Benchikha a dû revoir ses choix en fonction des indisponibilités. Le fait de s’être lancé dans une politique de renouveau fait que ce serait vraiment inopportun de se mettre ici à juger la prestation d’ensemble d’un onze qui vient à peine de faire connaissance. Il faudra du temps pour que la mayonnaise prenne. S’il est vrai que du temps, Benchikha n’en a pas beaucoup, il n’en demeure pas moins qu’il n’y a pas de raison de le presser. Ce que l’on notera du match d’hier soir, en définitive, c’est que ceux qui revendiquaient du nouveau ont été copieusement servis. Pas moins de six «bleus» ont été mis dans le bain avec des degrés de satisfaction différents, même si dans l’ensemble, ils ont rendu une copie plus satisfaisante. Après, il faudra attendre de les voir dans d’autres échéances avant de tirer les conclusions. Autre fait saillant : la stérilité ! L’Algérie n’a, encore une fois, pas marqué. La faute à qui ? Peut-être à un adversaire qui a joué pour ne pas perdre. A une jambe qui vient dégager à l’emporte-pièce. Car, il y a eu quand même des occasions de scorer. A travailler.
lebuteur