Le coordinateur national du Canpest, Nouar Larbi, a précisé, dimanche 31 octobre, à Boumerdès, que leur syndicat compte changer son mode d’action et recourir « aux grèves alternatives, pour arracher nos revendications et améliorer la situation socio-professionnelle des enseigants du secondaire ».
Ce nouveau moyen de lutte qui a été adopté dimanche à l’issue du conseil nationale du syndicat, organisé à Boumerdès, sera selon M.Larbi, « une arme qui va nous permettre de faire face aux mesures de ponction sur salaires appliquées par la tutelle contre les grévistes ». M.Larbi souligne que cette option de « grève alternative est une invention propre à leur syndicat ».
Elle a été décidée pour éviter les désagréments que subissent les élèves suite aux blocages des cours pendant nos actions de protestations. « Désormais les grèves seront suivies à tour de rôle par nos adhérents au niveau de chaque établissement. Les cours ne seront donc pas bloqués totalement. Mais les établissements vont être plongés dans une sorte de désordre organisé.
Et cela ne va pas pénaliser beaucoup les élèves et ne revient pas cher aux grévistes puisque les ponctions sur salaire ne seront effectuées qu’en fonction du nombre de journées de grève observées par chaque enseignant », a-t-il expliqué, avant de dénoncer les atermoiements de la tutelle quant à la résolution des questions liées à la gestion des œuvres sociales et à la médecine du travail.
el watan
Ce nouveau moyen de lutte qui a été adopté dimanche à l’issue du conseil nationale du syndicat, organisé à Boumerdès, sera selon M.Larbi, « une arme qui va nous permettre de faire face aux mesures de ponction sur salaires appliquées par la tutelle contre les grévistes ». M.Larbi souligne que cette option de « grève alternative est une invention propre à leur syndicat ».
Elle a été décidée pour éviter les désagréments que subissent les élèves suite aux blocages des cours pendant nos actions de protestations. « Désormais les grèves seront suivies à tour de rôle par nos adhérents au niveau de chaque établissement. Les cours ne seront donc pas bloqués totalement. Mais les établissements vont être plongés dans une sorte de désordre organisé.
Et cela ne va pas pénaliser beaucoup les élèves et ne revient pas cher aux grévistes puisque les ponctions sur salaire ne seront effectuées qu’en fonction du nombre de journées de grève observées par chaque enseignant », a-t-il expliqué, avant de dénoncer les atermoiements de la tutelle quant à la résolution des questions liées à la gestion des œuvres sociales et à la médecine du travail.
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