Evo Morales, le président de la Bolivie, est un homme au sang chaud. Malgré la retenue que doit lui conférer sa fonction, Morales a parfois du mal à garder ses nerfs. Illustration sur un terrain de football où il s'est fait justice en portant un coup vraiment très bas à un adversaire...
En politique comme en sport, il faut savoir maîtriser ses nerfs malgré les coups bas. Zinedine Zidane en sait quelque chose, exclu en finale de Coupe du monde après avoir violemment réagi à une insulte de l'Italien Marco Materazzi. Plus de quatre ans après les faits, Zizou continue à faire des émules. Mais cette fois, c'est au plus haut sommet de l'état bolivien que cela s'est passé.
Numéro 10 sur le dos, Evo Morales, le président de la Bolivie et grand amateur de football, a disputé lundi un match de football avec son équipe présidentielle contre la mairie de la Paz, d'un bord politique différent. Victime d'une semelle non sanctionnée par l'arbitre, Morales a donc décidé de sévir lui même en adressant un violent coup de genou dans l'entrejambe de son opposant politique... Un incident qui a provoqué une échauffourée, conclue par l'expulsion du défenseur fautif et d'un garde du corps présidentiel. "J'ai passé le ballon et j'ai reçu d'un coup une semelle, et ce n'est pas la première fois que cela se produit", a déclaré Morales à l'issue d'un match houleux (4 expulsions). Mais à l'inverse de Zidane, Morales n'a pas pris de carton rouge. Peut-être une nouvelle sorte d'immunité présidentielle.
chronofoot
En politique comme en sport, il faut savoir maîtriser ses nerfs malgré les coups bas. Zinedine Zidane en sait quelque chose, exclu en finale de Coupe du monde après avoir violemment réagi à une insulte de l'Italien Marco Materazzi. Plus de quatre ans après les faits, Zizou continue à faire des émules. Mais cette fois, c'est au plus haut sommet de l'état bolivien que cela s'est passé.
Numéro 10 sur le dos, Evo Morales, le président de la Bolivie et grand amateur de football, a disputé lundi un match de football avec son équipe présidentielle contre la mairie de la Paz, d'un bord politique différent. Victime d'une semelle non sanctionnée par l'arbitre, Morales a donc décidé de sévir lui même en adressant un violent coup de genou dans l'entrejambe de son opposant politique... Un incident qui a provoqué une échauffourée, conclue par l'expulsion du défenseur fautif et d'un garde du corps présidentiel. "J'ai passé le ballon et j'ai reçu d'un coup une semelle, et ce n'est pas la première fois que cela se produit", a déclaré Morales à l'issue d'un match houleux (4 expulsions). Mais à l'inverse de Zidane, Morales n'a pas pris de carton rouge. Peut-être une nouvelle sorte d'immunité présidentielle.
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