LONDRES (Reuters) - Une poignée de main ferme serait le signe d'une plus longue espérance de vie, avancent des chercheurs britanniques dans une étude publiée lundi par le British Medical Journal.
D'autres aptitudes physiques, comme la vitesse de déplacement, la faculté à se lever d'une chaise ou à se balancer sur une jambe, seraient autant de signes des risques de mortalité sur une période donnée.
Pour parvenir à leurs conclusions, les chercheurs, spécialistes du vieillissement, ont compilé les données de 33 études existantes concernant au total plusieurs dizaine de milliers de personnes, âgées de plus de 60 ans pour la plupart.
Quatorze de ces études traitaient notamment de la vigueur des poignées de main. Sur une période de temps donnée, il apparaît que la mortalité des hommes et femmes à la main molle est supérieure de 67% à celle des hommes et femmes à poigne.
La mortalité varie de un à trois pour ce qui est de la vitesse de la marche.
"Je n'irai pas jusqu'à suggérer que nous mettions ces résultats en pratique dès demain, mais ils pourraient être utiles à l'avenir", a déclaré à Reuters Rachel Cooper, du Medical Research Council.
Une personne âgée se levant sans trop de difficulté d'un fauteuil, s'avançant rapidement vers vous et vous serrant fermement la main peut donc s'attendre à vivre plus longtemps que ses pairs se déplaçant avec plus de difficulté et dont la poignée de main manque de vigueur.
D'autres aptitudes physiques, comme la vitesse de déplacement, la faculté à se lever d'une chaise ou à se balancer sur une jambe, seraient autant de signes des risques de mortalité sur une période donnée.
Pour parvenir à leurs conclusions, les chercheurs, spécialistes du vieillissement, ont compilé les données de 33 études existantes concernant au total plusieurs dizaine de milliers de personnes, âgées de plus de 60 ans pour la plupart.
Quatorze de ces études traitaient notamment de la vigueur des poignées de main. Sur une période de temps donnée, il apparaît que la mortalité des hommes et femmes à la main molle est supérieure de 67% à celle des hommes et femmes à poigne.
La mortalité varie de un à trois pour ce qui est de la vitesse de la marche.
"Je n'irai pas jusqu'à suggérer que nous mettions ces résultats en pratique dès demain, mais ils pourraient être utiles à l'avenir", a déclaré à Reuters Rachel Cooper, du Medical Research Council.
Une personne âgée se levant sans trop de difficulté d'un fauteuil, s'avançant rapidement vers vous et vous serrant fermement la main peut donc s'attendre à vivre plus longtemps que ses pairs se déplaçant avec plus de difficulté et dont la poignée de main manque de vigueur.