SAN FRANCISCO (Reuters) - Google a annoncé vendredi faire l'objet d'une enquête du parquet général du Texas au sujet de l'équité des classements de résultats dans son moteur de recherche sur internet.
Il s'agit de la première enquête de la justice américaine sur le fonctionnement du moteur de recherche numéro un dans le monde, dont le classement influence grandement l'activité et parfois la survie de sites commerciaux.
Google fait l'objet d'une procédure similaire en Europe, où la Commission européenne examine des plaintes de sites internet qui se sont plaints d'être retrogradés injustement dans l'affichage des résultats de recherche.
Le site britannique de comparateurs de prix Foundem et le moteur de recherche juridique français ejustice.fr ont affirmé en début d'année que l'algorithme de recherche de Google les plaçait loin parce qu'ils lui font concurrence.
Le ministère public du Texas a demandé des informations au sujet de plaintes déposées par plusieurs entreprises, dit Google sur son site internet. Il cite notamment Foundem, ainsi que TradeComet et myTriggers.
Une porte-parole du parquet général a confirmé la procédure mais s'est refusée à donner des précisions.
Il s'agit de la première enquête de la justice américaine sur le fonctionnement du moteur de recherche numéro un dans le monde, dont le classement influence grandement l'activité et parfois la survie de sites commerciaux.
Google fait l'objet d'une procédure similaire en Europe, où la Commission européenne examine des plaintes de sites internet qui se sont plaints d'être retrogradés injustement dans l'affichage des résultats de recherche.
Le site britannique de comparateurs de prix Foundem et le moteur de recherche juridique français ejustice.fr ont affirmé en début d'année que l'algorithme de recherche de Google les plaçait loin parce qu'ils lui font concurrence.
Le ministère public du Texas a demandé des informations au sujet de plaintes déposées par plusieurs entreprises, dit Google sur son site internet. Il cite notamment Foundem, ainsi que TradeComet et myTriggers.
Une porte-parole du parquet général a confirmé la procédure mais s'est refusée à donner des précisions.