Une étude démographique a démontré que si le nombre de naissances par saison ne connaît plus tellement de variation, elles sont plus nombreuses en septembre avec les conceptions du nouvel an, et que les conceptions sont moindres en période de fortes chaleurs.
Arnaud Régnier-Loilier, de l’Institut national des études démographiques, explique que si les parents disent vouloir que leur enfant naisse en mai ou en juin, 5 à 6% des naissances ont lieu à la fin du mois de septembre, cela correspondant "à des conceptions du Jour de l'an". Cela peut s’expliquer par des rapports sexuels plus nombreux, ou à des accidents plus fréquents, en raison d’une baisse de la vigilance contraceptive.
Et l’AFP de préciser qu’il existait également un pic au printemps auparavant, mais que celui-ci n’est plus aujourd’hui. Pour autant, les femmes conçoivent un enfant de plus en plus tard, 30 ans en moyenne, alors que leur fertilité a déjà commencé à baisser. Et l’étude de montrer également qu’après des périodes de très fortes chaleurs, une baisse des naissances est à constater neuf mois plus tard.
AFP
Arnaud Régnier-Loilier, de l’Institut national des études démographiques, explique que si les parents disent vouloir que leur enfant naisse en mai ou en juin, 5 à 6% des naissances ont lieu à la fin du mois de septembre, cela correspondant "à des conceptions du Jour de l'an". Cela peut s’expliquer par des rapports sexuels plus nombreux, ou à des accidents plus fréquents, en raison d’une baisse de la vigilance contraceptive.
Et l’AFP de préciser qu’il existait également un pic au printemps auparavant, mais que celui-ci n’est plus aujourd’hui. Pour autant, les femmes conçoivent un enfant de plus en plus tard, 30 ans en moyenne, alors que leur fertilité a déjà commencé à baisser. Et l’étude de montrer également qu’après des périodes de très fortes chaleurs, une baisse des naissances est à constater neuf mois plus tard.
AFP