Les corps de trois personnes, tuées par arme à feu, ont été découverts jeudi dans une maison d'un village, près de Toulouse.
Les premiers éléments laissent penser à un drame familial. Les cadavres de trois personnes ont été découverts jeudi dans une maison du Vernet, dans la périphérie de Toulouse. Les corps sont ceux d'un couple de retraités, âgés de 77 ans et 72 ans, et celui de leur fils, âgé de 55 ans. Tous les trois ont été tués par arme à feu. L'arme supposée des meurtres a été retrouvée près du corps du père de famille. Le procureur de la République de Toulouse, Michel Valet, a évoqué «un drame familial, sans doute lié en partie à une situation de surendettement».
«Nous sommes très probablement en présence du cas d'un double assassinat suivi du suicide de l'auteur présumé de ces assassinats», a expliqué le procureur lors d'une conférence de presse. Selon Michel Valet, «le père de famille aurait tué avec son fusil sa femme avant de tuer son fils dans la chambre voisine puis de revenir se donner la mort dans sa chambre à coucher». Il a en outre indiqué qu’«un message faisant état de l'intention du meurtrier présumé d'en finir avec la vie, ainsi qu'avec celle de sa femme et de son fils, a été retrouvé dans la maison».
Des SMS pour prévenir ses proches
Quelques minutes avant de passer à l'acte, le meurtrier supposé a envoyé au moins trois messages SMS à ses proches pour faire part de ses intentions. C’est ce texto qui a alerté l'un des proches, selon le site de «20 minutes». Rapidement parvenu sur les lieux, il a découvert les corps sans vie des membres de la famille vers 07h20. «C’était des gens très discrets gentils, une famille unie et solide», a confié 20minutes.fr, un habitant du Vernet, âgé d’une soixantaine d’années.
Serge Demange, le maire de cette commune de 2000 âmes, a expliqué que le fils de cette famille était employé à France Télécom à Toulouse et que son père était retraité de cette même société. Le procureur Michel Valet s'est refusé à confirmer cette information «pour ne pas stigmatiser des situations ou des entreprises» par allusion à la vague de suicides qui a récemment touché France Télécom.
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Les premiers éléments laissent penser à un drame familial. Les cadavres de trois personnes ont été découverts jeudi dans une maison du Vernet, dans la périphérie de Toulouse. Les corps sont ceux d'un couple de retraités, âgés de 77 ans et 72 ans, et celui de leur fils, âgé de 55 ans. Tous les trois ont été tués par arme à feu. L'arme supposée des meurtres a été retrouvée près du corps du père de famille. Le procureur de la République de Toulouse, Michel Valet, a évoqué «un drame familial, sans doute lié en partie à une situation de surendettement».
«Nous sommes très probablement en présence du cas d'un double assassinat suivi du suicide de l'auteur présumé de ces assassinats», a expliqué le procureur lors d'une conférence de presse. Selon Michel Valet, «le père de famille aurait tué avec son fusil sa femme avant de tuer son fils dans la chambre voisine puis de revenir se donner la mort dans sa chambre à coucher». Il a en outre indiqué qu’«un message faisant état de l'intention du meurtrier présumé d'en finir avec la vie, ainsi qu'avec celle de sa femme et de son fils, a été retrouvé dans la maison».
Des SMS pour prévenir ses proches
Quelques minutes avant de passer à l'acte, le meurtrier supposé a envoyé au moins trois messages SMS à ses proches pour faire part de ses intentions. C’est ce texto qui a alerté l'un des proches, selon le site de «20 minutes». Rapidement parvenu sur les lieux, il a découvert les corps sans vie des membres de la famille vers 07h20. «C’était des gens très discrets gentils, une famille unie et solide», a confié 20minutes.fr, un habitant du Vernet, âgé d’une soixantaine d’années.
Serge Demange, le maire de cette commune de 2000 âmes, a expliqué que le fils de cette famille était employé à France Télécom à Toulouse et que son père était retraité de cette même société. Le procureur Michel Valet s'est refusé à confirmer cette information «pour ne pas stigmatiser des situations ou des entreprises» par allusion à la vague de suicides qui a récemment touché France Télécom.
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